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art - Page 12

  • Passions...

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    Je tiens tout d’abord  à remercier tous les gens qui se sont attardés sur mon blog ; cela me fait chaud au cœur… Il a besoin de tellement d’amour, d’attention, mon cœur ! Je dis merci à ceux qui ont aimé, comme à ceux qui n’ont pas apprécié le site. L’important est de savoir que vous êtes là, qu’importe les commentaires, cela n’est pas l'essentiel. En période de crise, restrictions générales !

    Puis, je remercie L’Eternel, de me donner la santé, ou du moins, de ne pas aggraver son état. Car comme je l’ai dit précédemment,  un de mes organes, celui  que l’on appelle le cœur, semblait être en mauvaise posture.

    Je dus passer une scintigraphie du myocarde, dont je reviens il y a quelques minutes…

    Après une peur plus ou moins aigüe, selon les secondes, j’étais presque certaine qu’il y aurait un souci, le cardiologue le pensait également, j'ai su. Dieu merci, après trois heures d’attente, d’examens, d’imageries, et test à l’effort, on me dit que je n’avais rien. Ouf, quelle joie, j’en embrassai le médecin, du reste, un Monsieur très sympathique, un rien comique. Il me dit, une fois les résultats en main, que mon cœur n’avait rien d’anormal. Donc, pas d’infarctus en prévision, du moins, par pour le moment.

    On ne se rend jamais compte quand on est en forme, combien  est précieuse la santé ! On n’imagine pas qu’elle puisse nous lâcher, alors on abuse des bonnes choses, se pensant invincible, tant et si bien, que lorsque l’inverse se produit, on se trouve dépourvu devant l’irréparable. Nous n’avons qu’une vie, et la préserver fait parti des principes que l’on a souvent tendance à oublier. Il faut que la " faucheuse" montre le bout de son nez pour que l’on sache tout cela, et toutes les souffrances qu’elle peut occasionner. Je célébrerai chaque jour le fait d’être vivante. Même si je ne peux plus festoyer comme par le passé, même si je ne suis plus tout à fait la sportive que je fus, cela n’est plus important. Lire, écrire, contempler, visiter de beaux monuments, (surtout les cathédrales, je voudrais toutes les connaître, toutes ces merveilles architecturales qui jalonnent notre beau pays), voilà désormais ce à quoi je prétends. La Passion démesurée pour l’Art… Tout n’est et fut que démesure, de plaisirs en excès durant la moitié de ma vie, alors, une passion saine, est réellement ce que à quoi je ne pouvais qu’aspirer, après ma quarante cinquième année. Je ne parle pas de mes chers animaux, mes amours...

    Je dois malgré tout rajouter, que ce goût du savoir, ne m’est pas tombé sur la tête d’un seul coup. Il a toujours été présent, mais d’autres passions, beaucoup moins glorieuses,  se présentèrent à moi, avant d’avoir compris le véritable sens d’une vie, la mienne en l’occurrence. 

  • Cathédrale de la Major :(Suite) Voir dernier album photos

    Son architecture est grandiose, sa décoration intérieure, en marbre et porphyre, lui donne un aspect particulier pour un édifice religieux.

    Elle a été érigée en basilique mineure par Léon XIII le 24 Janvier 1896.

    Depuis le Vè siècle plusieurs édifices religieux se sont succédés à cet emplacement.

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    La cathédrale, dite de « la nouvelle Major » s’élève à l’ouest des vestiges de l’église romane dite de « la vieille Major ». Mais les destructions et les fondations nécessaires à l’implantation de la nouvelle cathédrale ont par ailleurs révélé l’existence d’une troisième église paléochrétienne et d’un baptistère établis sur le même site : ainsi peut-on parler des cathédrales de Sainte-Marie-Majeure dite la Major.

     

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  • A ce jour...

    Cathédrale de La Major

    chapelle, marseille, vielle charité, monument, art, beautéJe vous proposerai toutes les splendeurs intérieures dans un album, très bientôt. Ce monument déborde de  trésors inconnus du grand public, moi-même, je n'étais jamais entré dans ce sculptural édifice, à l'instar de pas mal de marseillais, et vraiment, cela en vaut le détour. Beaucoup de jeunes se promenaient humblement; je discutai avec pas mal de gens, à mi-voix.

    Icônes, (mes sacro-saintes peintures), Jésus, statues, Saints, autel, perspectives, plafond, Vierge Marie,  porte d'entrée, voûtes, furent autant de trésors à portée de ma vue, c'était surréaliste. Ce fut un instant merveilleux, magique. Je n'étais qu'un oeil grand ouvert, ne sachant plus où poser mon regard, en haut, en bas, de côtés, tout me happait. Je fus durant presque une heure, transportée dans un passé digne d'un film de Woody Allen. J'étais hors du temps... Quelle délicieuse sensation!

    Comment avais-je pu passer à côté de ce chef-d'oeuvre architectural sans m'y attarder? Je connais la réponse et vous la raconterai tout-à-l'heure.

    Les vitraux sont les seuls clichés, à l'exception d'un seul, que je n'ai pu capter, la luminosité du soleil étant trop forte. A l'extérieur le soleil était à son apogée et le ciel d'un bleu uniforme.

    Avant de quitter la Cathédrale, je fis un souhait, pendant que je m'aspergeais délicatement d'eau bénite : Celui d'un monde meilleur, à défaut d'être parfait.

    Quelque chose me frappai : Une jeune et jolie femme voilée était en prière, assise, elle me souriait, je prenai alors cela comme un signe de bon augure... Je n'osai pas (en lui demandant l'autorisation, évidemment) la photographier, je le regrette...

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  • La poésie qui se dégage du Néo-classicisme...

    Je ne peux que succomber devant les splendeurs presque irréelles, de nos chers peintres.

    Pour ce faire, je vais essayer d’analyser le pourquoi de mon choix, favori après l’impressionnisme, le maniérisme, le symbolisme, et le romantisme.

    Le Néo-classicisme prendra vie à partir de la seconde moitié du XVIIème siècle, entre 1650 et 1830 approximativement.

    Surgissant de la  période Rococo, ce mouvement exalte la grandeur et la force : la beauté ajoutée à la vertu.

    Puisant leur inspiration depuis l’antiquité, les Artistes réhabilitent leurs propres "couleuvrines".

    Malgré l’austérité des peintures, ces créateurs souvent pris d’assaut pour décorer des palais, ou des cathédrales, semblent avoir une largesse visuelle et spirituelle, qui jusqu’ici faisait défaut à la peinture dite classique. L’art grec et romain fut un peu leur point de mire, entendons par là qu’ils s’en inspirèrent. C’est peut-être la raison de ce «  bleu absolu » que tous ces peintres déployèrent, la beauté divine éclatée au grand jour.

    Parmi les plus connus, Antoine Gros, René-Antoine  Houasse, Charles Le Brun, Karl Friedrich Schinkel, Ingres, Pierre Narcisse Guérin, Raphaël…

     

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    La peinture que j’ai choisie pour illustrer l’article se nomme « L’Abondance et la Libéralité.;» de René-Antoine Houasse 1645-1710. Elle fut crée par ordonnance du Roi Soleil, Louis XIV, en 1680 au château de Versailles, pour le plafond d’une des pièces du palais.

    Ce salon servit à de nombreux banquets, trois fois par semaine, et il fut nommé « Le salon de jeu » du Roi. Ceci se passait alors sous le règne de Louis XVI.

     

  • "La Promenade"... de Monet -1875-

    Cette peinture s'intitule également "La Femme à l'ombrelle". Elle est conservée au National gallery of Art de Washington.peinture,monet,impressionnisme,art,femme

    Le choix de cette peinture n'est pas fortuit. En effet, contrairement à d'autres peintres, Monet avait le don que je qualifirais d'apaisement. Cette peinture nous transporte au milieu d'un champ, dans lequel peu importent les herbes et les fleurs, car ce qui prime, qui saute aux yeux, c' est LE personnage principal, une femme qui parait nager dans le bonheur, promenant son enfant avec un certain repos dans les yeux. Bien que son visage ne s'exprime qu'avec subrepticité, son ébauche suffit à percevoir un brin de fierté dans le regard. Voilà le génie de Monet. La verdure est un élément décoratif, ce qui ne fait que rajouter à la beauté parsemée de Claude Monet. Quant au ciel, qui semble avoir l'éclat d'un ciel provençal, les quelques nuages ne semblent pas le déranger le moins du monde. Les couleurs sont sublimes de par l'authenticité qui s'en dégage. Les lumières nous allument comme des flammes d'or.

    Monet laisse suggérer... un grand vent, sans doute le Mistral. C'est une peinture qui fait du bien à l'esprit, car débordante de tons pastels, elle est reposante. Tout semble tranquille malgré la forte rafale , balayant tout sur son passage, soucis et petits tracas quotidiens... Voilà ce que m'exprime la Toile. Je sais que cette description est personnelle et varie selon tout un chacun, et qu'il ne faut pas oublier la subjectivité de la peinture impressionniste... Radieux!

  • Musiques et Musique

    Ce soir de chez moi

    vie, art, livres, soleil, musique, variétés, classiqueJe ne peux plus écouter de variétés françaises, ce n'est pas un mystère. Ces chansons si chères à mon coeur, sont devenues des textes à prétexte afin de le faire pleurer. Non, depuis que la mort et le deuil frôlèrent ma vie, et semblent poursuivre leurs ambitions, je ne puis plus entendre toutes ces mélodies illustrées par de si beaux textes. Leurs harmonies et leurs mots si tristes par leur véracité, non, je ne puis plus les écouter, tous les Ferré, Biolay, Clerc, Aznavour, et tant d'autres au talent divin, je leur dis au revoir, pour ne pas sombrer dans le désespoir. Mon état liturgique se nourrit désormais de musiques classiques, Bach, Debussy, Vivaldi, Jancek, Wagner, Mozart, Beethoven, Chopin ou Verdi (pour ne citer qu'eux) m'accompagnent dans des instants de nostalgie choisie. Malgré les tons parfois graves de la grande musique, je reste sur mes gardes car aucun mot ne saurait me ramener à mes souvenirs. Le silence et la solitude sont des monts de plénitude sublime et précieux. Il n'est pas besoin d'en rajouter.

    Toucher les cieux, de tous mes sens, ne voir que le lumineux, et pas l'illuminé. Je ne suis plus dans l'auto-contemplation, ce serait du temps perdu, puis les jours passent si vite, qu'il est judicieux pour le bien-être de l'esprit et de l'âme de s'enrichir de beautés sans artifice dont nous sommes les témoins. Tout est à notre portée. A cela, je ne connais qu'une solution, rester vraie, et être surtout animée de curiosités bien placées. aussi longue sera l'ascèse, autant de forces spirituelles aideront ma vie. Les arts, les livres, les hasards, la vie en est remplie, me tiennent chaud. autant que le soleil lorsqu'il décline, autant que la vie quand on sait l'embrasser. Autant de fois où l'on admire le soleil se coucher...

    Bonne soirée...

  • Contrastes...

    "Le pont japonais sur le bassin aux nymphéas" Claude Monet 1899Monet, génie, peintures, art, regard, monde

    De 1883 à 1926, année de sa mort, Monet vécut à Giverny, il décora son jardin de nénuphars et fit construire ce petit pont à l'accent japonais.

    Cézanne disait à son propos que c'était qu'un oeil, mais quel oeil! Cette constatation résume très bien le regard que Monet posait sur la nature, qui n'en finissait jamais de l'inspirer. Car la nature est si belle qu'il n'y a pas de limite à la description, qu'elle soit littéraire ou picturale. Chaque jour, c'est un moyen d'évasion, loin de tous les bruits stridents de la cité. Bien que la ville soit parfois un lieu agréble, par ses monuments, ses cathédrales, dans lesquelles on peut s'y ressourcer, faut-il encore qu'elles soient ouvertes...Dans le cas contraire, pour celui qui n'a pas le sou, que reste-t-il? Transition :

    J'en arrive à un sujet qui me tient à coeur, celui actuel d'une majorité de Parisiens qui n'acceptent pas le centre pour SDF, sis à Montparnasse. Je trouve cela scandaleux, dès qu'une structure ouvre ses portes pour les malheureux, les nantis se rebiffent: "Ah non, ils n'ont qu'à travailler, (je suis à l 'écoute de France Culture, "Les pieds sur terre", Rien ne va plus à Vavin, Paris 6ème arrondissement), "je déteste la paresse", dit une dame à ce propos. Les "ils n'ont qu'à travailler", me hérissent douloureusement. Les gens sont pour un ordre établi, et ne supportent pas que des plus pauvres qu'eux, soient acceptés dans notre société, quelle misère! Pour le coup, j'ai presque honte de ne manquer de rien, assise devant mon PC, un sandwiche à la main. Rien n'est jamais éternel, tout peut basculer très vite, je prie pour que cela ne se passe pas, mais un peu plus d'humanité m'enchanterait.

    Facile comme sujet, je confirme!

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  • Vers le Soleil, les émotions sensorielles...


    émotion,art,vivre,soleil,aide,dieuL’émotion est rationnelle, des analyses scientifiques le prouvent. Des liens avec la raison sont présents. Ainsi sont-elles en rapport avec la situation. Je prends le cas, vous l’aurez remarqué, du soleil, car notre système nerveux dépend de ce que l’on voit. Cet astre si précieux est vital, de par la chaleur qu’il dégage, ainsi que par la beauté de ses rayons, qui nous éblouissent. La vision que nous portons sur les choses est symbolisée selon la vue de ceci ou de cela. Jusqu’à notre processus cognitif, fondé sur la logique de ce qui nous est possible de percevoir. Je ne parle que de ce dont je suis capable d’expliquer : Pourquoi mon être est-il précisément en osmose avec les saisons, le temps, le climat ?  Pourquoi tout cela m’est-il devenu vital, aussi soudainement ?

    A mon sens, Dieu aide beaucoup si on l’appelle, essayer ne coûte rien. Les Dieux, (pour ne froisser personne) font la pluie, mais surtout le beau temps, et cela, même en période d’intempéries ! Ce qui fait que nous nous sentons vivants, Il est celui qui nous donne la force de persévérer dans nos projets. Ceci est fondamental pour vivre harmonieusement avec notre entourage, et avec la nature. Car là est le plus intéressant. Se sentir vivant, malgré la «  nuit, », entendons par là,  les soucis financiers, sentimentaux ou autres, les orages existentiels, les deuils ou les événements négatifs, dont les médias ne nous privent certes pas. Alors, prendre le temps de vivre, lire, apprécier l’Art, écouter de la musique classique, contempler la nature et ce qui en découle, une simple fleurette dans la vitrine d’un fleuriste pour les citadins,  s’octroyer de longs moments de solitude, juste pour notre propre bien-être. Afin de faire passer le message. Etre estimé n’est possible que si l’on a une complicité avec soi-même. Pour être aimé, il faut d’abord s’aimer, cela est bien connu ; tous les moyens naturels sont bons. Se laisser aller, mais  pas trop, trouver le juste équilibre, car c’est bien de cela qu’il s’agit,  cela vient avec le temps. Dire adieu aux excès pour mieux vivre, une vie qui vaut le coup. J’ai la chance d’avoir écouté de fabuleux conseils, mais surtout d’avoir pu les mettre en pratique. Voilà pourquoi, le soleil étant à mes yeux une des plus belles choses de l’univers, de par sa luminosité, variable selon les heures de la journée mérite l'attention que je lui porte. Cela me comble de bonheur, alors je voudrais vous offrir en partage cette expérience. Que vous soyez athées, agnostiques, ou croyants, prenez le temps de regarder, de vous extasier même ! Si vous en ressentez le besoin, prier est libérateur, écrire ses propres prières est très important. Tout ce qui est fait avec mesure, jamais ne connaîtra l’usure. Soigner son âme, est essentiel au système cérébral, car l’émotion est omniprésente dans notre cerveau. Je vous souhaite d’être heureux…

    Si je me permets aujourd’hui de donner ces quelques "conseils", c’est parce que je reviens de loin, et que je croyais ma cause perdue. Alors, comme dit l’adage, « Tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir », ou encore « Aide toi, et le ciel t’aidera »… Je confirme. 

    Je précise humblement que toutes les photos du blog, proviennent de la vision que je porte sur ce qui m'entoure. Elles sont prises chaque jour, afin d'illustrer au mieux les poèmes ou les articles.

    " Visse, scrisse, amó "

  • Le libre esclavage poétique...

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    La poésie nous donne la parole

    Aux mots, Elle offre le premier rôle

    Et à la vie, l’ouverture d’Esprit.

    Les poètes en connaissent le prix

    Car un jour sans écrire,

    Et les voilà remisés à de simples sbires

    Cherchant en vain de vaines descriptions

    Ils invoquent Dieu et tous les Saints de la création

    Ils sont prêts à tant de dévotions !

    C’est la rançon de la « gloire »

    Qui blasphème leur mémoire !

    Quand la page reste indéfiniment blanche

    Leurs émotions paraissent endeuillées,

    Par tant de futilités leurs branches semblent s’effeuiller.

    La poésie est partout, oui mais vaste est le mot

    Que faut-il pour fixer l’attention

    Et ne pas se laisser prendre dans le tourbillon

    De trop d’images perçues, de trop d'images reçues

    Les voilà bien déçus.

    Lorsque les jets de l’inspiration se font attendre

    Ils ne cessent jamais de chercher à comprendre.

    Ils semblent avoir été frappés de cécité

    Quand le mot juste se fait attendre sur le papier.

    La poésie est partout, oui, mais où se cache t- elle

    Au plus profond de soi, ou au dehors dans le froid ?

    Au plus profond du moi, ou au jardin de l’émoi ?

    Des images plein la tête, leur cœur n’est pourtant pas à la fête

    Quand soudain dans un silence céleste

    Ils recommencent à être les esclaves de leur geste

    Les mots glissent sur la feuille jusqu’ici restée blanche

    Et les phrases ressurgissent en avalanche.

    Enfin leur âme se libère

    Et le chant des mystères

    Foisonne sur le papier sacré

    Où ils étalent la vision de la béatitude

    Où ils dévalent avec passion le rythme lyrique

    Des contemplations sismiques de plénitude.

    Leur écueil n’est plus qu’un vilain souvenir

    La rime nouvelle fait toujours oublier le pire

    Car le meilleur est  toujours à venir.

    La poésie monte vers des cieux incandescents

    Et son parcours est toujours lumineux, évanéscent.

     

     

  • Nourrir sa foi...

    Dieu jamais ne m’abandonne

    Aussi périlleux que soit mon destin

    L’Eternel et sa foi en moi abondent

    Car ma croyanceDieu, nourriture, foi, peinture, rembrandt,art est inébranlable tel l’airain

    Grâce au Très-Haut pour son accompagnement

    Puisque je crois en Vous et en vos serments

    Puisqu’à part mes images et mes écrits

    Le silence ne finit pas de rentrer dans ma danse

    Quel bonheur de vous porter dans mon cœur

    Je ne connais que la bonté

    Celle que Vous m’avez donnée.

    Grâce à vous et à Jésus

    Dans ma vie je ne marche plus nue

    Vêtue de Vous, digne je serai, jusqu’au bout.

    Merci Seigneur d’avoir accepté mon cœur.

  • Maniérisme : Le Pape Jules II peint par Raphaël en 1512

    Il fut le 223ème Pape, et, surnommé le tout-puissant, ce Saint-Père fut le protecteur des arts. Tres anticonformiste pour son époque, ce fut l'ennemi acharné des Borgia. il est à l'origine de la construction de la Chapelle Sixtine. 

            Raphael-JulesII-1512.jpg

  • Le joyau du jour :

     

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    Tout n’est que joyaux en ce beau monde

    Des perles de rosée

     Telles du diamant bleu

     Sautèrent à mes yeux

     Et je m’agenouillais devant tant de beauté

     Pour mieux immortaliser un instant d’extrême rareté.

     Le saphir sortant de terre

     Etait alors un grand mystère

     

    Ses  brillants d’un ton éphémère

     N’étaient qu’un secret parmi le joyeux inventaire

    De la vie en plein air

     Quel est cet éclat avec lequel je fusionne 

    Tout ce que je vois, mon regard le façonne

     Comme les couleurs du temps qui appellent

     A la vérité d’une gabelle

     Débordée par son actualité perpétuelle

     

    Je cherchais alors La parade à nos vies malades.

     

     Il suffit de s'épancher sur presque tout pour voir la vie 

     Sous un angle inédit, propice à la rêverie.


  • Thérapie lumineuse!

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    L’ivresse de la lumière nous plonge dans l’éclat des couleurs dont le bleu serait particulièrement bénéfique durant la saison hivernale. Est-ce par ce que la luminosité donne du relief à la vie ? Je crois que oui. L’image est libératrice, salvatrice par ses tons très lumineux. L’eau est assez représentative de la sérénité qui s’en dégage. Elle est le miroir de la vie… Pourtant incolore, l’eau a la couleur que l’on veut bien lui donner, le plus souvent celle du ciel qui s’y miroite. Tout s’enfuit, le temps s’écoule comme l’eau jaillissante d’une fontaine. Belle métaphore à mon sens. Le bruit n’en est pas moins apaisant… Les clapotis de « l’eau de Vie ! »

    J’en viens donc à penser que l’Esprit embué peut être soigné en regardant défiler un diaporama de qualité. Loin de toute mode autour du visuel, la lumière est la vie, et ses effets en découlent sur notre système nerveux.

    Ce n’est qu’après avoir photographié avec la concentration de ces derniers jours, (voir les images plus bas), que je m’en rendis compte. Ce fut une révélation de splendeur, animant chez moi, un bien-être surprenant de simplicité, et inattendu. Je vous fais part de cette réflexion dans un but d’amélioration de nos existences psychiques. Si cela fonctionne pour moi, pourquoi n’en serait-il pas de même pour nous tous?

    Voir également pour la netteté et la clarté des images, l’album ci-contre intitulé « vivre, voir, renaître ».

  • Le Rocher...

    Je gravirai de mes mains nues 

    L'endroit élevé où je vis l'Elu

    La montagne sacrée de l'Eternel

    Jusqu'au sommet j'irai vers elle

     

    De jours et de nuits,

    Par le soleil ou par la pluie

    J'escaladerai le reste de ma vie

    En allant comme attendue 

    À la rencontre de l'Absolu

      

    Je rêve d'immenses solitudes 

    D’espaces infinis et d'altitude

    De désert de sables fins et de dunes 

    Dans lequel je tremperai ma plume

      

    Il me faut écrire encore 

    Il me faut écrire plus fort 

    Il me faut écrire sans cesse

    Il me faut écrire la liesse

    Et exalter les faiblesses

      

    Mes vers sont pour Toi,  l'Eternel 

    Ils ne m'appartiennent pas

    Mes vers sont pour le Très Haut

    Car Dieu seul connaît le partage des mots

    La miséricorde sans ombrage

    Le parfum de l'Amour sans naufrage

     L'arôme des beaux jours

    La répartition de la bonté qui accourt

    Tout ce qui dépend de la volonté Divine.

    Car je suis faite pour Aimer

    Telle Aphrodite, me voilà comblée.

    A ce petit don que Dieu m’à donné pour toujours

    "Je"Lui rends grâce chaque jour

    Par des silences,  des prières

    Par des images et quelques vers.

     

    Je rêve chaque nuit

    De traverser le paradis.

    Les étoiles et la lune

    Comme encrier de fortune

    Ont évincé ma brume.

    Dieu et rien que Lui

    Pour renaître à la vie. 

    Qu'il en soit toujours ainsi.

     

  • En ce bel après-midi...Liberté au gré du vent

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    Des images plein la tête

    Je  remercie la Nature et Celui qui l'a fit naitre

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    Grâce à vous mon cœur est à la fête

    Chaque jour mon cœur se fait plus pur

    Dieu a entendu ma prière

    Et je lui rends grâce avec la force de l’éclair

    Par les psaumes que je chante

    Par les fleurs auxquelles je parle.

    Les rivières fusent abondamment 

    Et tout mon être savoure ces instants de plénitude

    Car « je » n’est que bravoure

    Depuis que le Tout-Puissant m’a entendu.

    Des merveilles spontanées d’un simple ru,

    A l’écume enchantée, foisonnante de liberté

    Ne sont rien d'autre que le fruit de ma destinée.

    Les ruines deviennent des palais impériaux

    Tout est si beau, tout est si merveilleux

    Que je n’en finis pas d’ouvrir grands les yeux.

    Quelques pétales de roses  font office de muses

    Et ces humbles mots ne sont que de  la prose

    Dédiée à Dieu, Dieu à qui je dis « je t’aime ».

    Mon cœur est enchanté, par ces instantanés

    Mon cœur ne finira jamais par ces instants d’Aimer.

    Dieu, ne m’abandonnera plus art, nature, beauté, amour, fleurs, eaux, pure

    Je ne suis qu’à Lui, je n’ai besoin que de lui

    L'Homme qui suit mon chemin

    Sait le véritable sens du verbe Aimer

    Connait l’authenticité des cœurs limpides

    Des personnes qui soudain sont devenues « intrépides »

    Devant le chagrin, devant ce feu qui brûle en moi

    Par la force inexorable de l’amour, la force du Toujours.

    Je pourrais psalmodier pour l’éternité

    Dieu m’a rendu à l’être que j’étais.