amour
-
Mes amours... Septembre 2016
-
Tamanda et Texas, l'éternité pour mémoire
-
La vallée de larmes ou à notre chienne Krystal...
Il y a 5 ans
Oh ma chienne ! Kristal en ce jour si ensoleillé (27 mai 2016) d'un printemps qui semblait vouloir montrer son nez, tu nous as quittée. Ton maître et moi sommes si peinés, si desemparés, que nous ne savons même plus comment continuer sans ta présence. Depuis plus de seize ans, ma chienne, tu nous as tant rendu ce bien que nous t'avions fait en t'adoptant à la SPA. Ta tendresse, les attentions permanentes, tes regards bien dirigés en disaient long et tout cela n'a pas de prix, sauf celui qu'on lui accorde, le tien est inestimable.
Tu me tenais la main et moi la patte à moins que ce ne fusse le contraire....Chaque matin tu montais sur le lit dès 7h, tu venais te glisser et prenait alors la place de ton maître adoré. Nous nous tenions mutuellement comme pour nous rassurer...Puis tu l'attendais jusqu'au soir, sans faillir, jamais.Oh ma fille, ce soir à 19h11 ton coeur si grand a finalement cessé de battre, et c'est nous qui à notre tour t'avons tenu la patte pendant que tu t'endormais grâce à la potion létale du vétérinaire. A cet instant et pour l'éternité tu es une étoile , celle que jamais on ne remplace Ah ça non ! Jamais. Kristal ma douce repose en paix. Et à un de ces jours, on ne peut que se retrouver quand on aime d'un amour si pur et si immense. J'ai confiance. Le temps jouera en notre faveur. Oh ma sœur, ma chienne, ma fille, mon bébé, mon amie, ma vie. Oui tu es et resteras dans nos cœurs. Ma chienne va en paix, là où l'air est doux et la réalité moins cruelle... Va la où la vie ta emporté...
Pas si loin de nous que ça. Je le sens. Toute cette semaine l'angoisse me submergea sans que je ne puisse contrôler quoi que ce soit... Je comprends.
Ainsi soit ilpascal et valerie Bergmann
-
À ma chère Michou... Yayouchka n'est plus...
Le chagrin est telle la marée, parfois les sanglots s'en viennent, le coeur à marée haute puis repartent, le coeur à marée basse.
Pour mieux revenir et la marée est là, comme les sanglots, amarrés à toi...
-
De sa prose éprise ...(Texte de Philippe Djian , chanté par Stephane Eicher)
- ELLE MAL ÉTREINT
- Elle ne dort pas la nuit
- Elle garde toujours les yeux ouverts
- Elle me met dans son lit
- Quand il n'y a plus rien à faire
- Elle s'amuse toutes les nuits
- Et me prend comme un dernier verre
- Elle fait Ça si bien si
- Spontanément que je m'y perds
- Mais elle ne m'apporte rien
- Elle s'allume puis elle s'éteint
- Non, elle ne m'apporte rien
- J'en ai l'envie, pas le besoin
- Elle se lève toutes les nuits
- Et s'interroge sur l'univers
- Elle a beaucoup d'esprit
- Beaucoup d'amis, beaucoup d'éclairs
- On m'envie, on me dit
- Qu'on la suivrait jusqu'en enfer
- Qu'à son bras, c'est la vie
- V majuscule qu'on s'est offert
- Mais elle ne m'apporte rien
- Elle s'allume puis elle s'éteint
- Non, elle me m'apporte rien
- Ni la joie, ni le chagrin
- Elle déteste aujourd'hui
- Ce qu'elle avait aimé hier
- Elle a tant d'appétit
- Que rien ne peut la satisfaire
- Elle n'a pas de répit
- Je l'admire d'une certaine manière
- Même si elle m'étourdit
- Même si je suis loin derrière
- Mais elle ne m'apporte rien
- Elle s'allume puis elle s'éteint
- Non, elle ne m'apporte rien
- Glisse comme de l'eau sur la main
- Trop vieux pour ces conneries
- Trop frileux pour les courants d'air
- Je cherche toutes les nuits
- Où est l'endroit de l'envers
- Elle est si pleine de vie
- Je suis si lourd, elle si légère
- Parfois elle m'éblouit
- Et parfois elle me sidère
- Mais elle ne m'apporte rien
- Elle s'allume puis elle s'éteint
- Non elle ne m'apporte rien
- Elle trop embrasse, mal étreint
-
Que serais-je sans lui ?
-
Liberté égalité. ... Frivolités
-
Jeux de rôles ! Pour oublier les années ...
-
Quand Christine devint officiellement Angot...
La douloureuse histoire d'amour entre Pierre et Rachel, les parents de l'écrivaine Christine Angot.
À la fin des années 50, un homme, bourgeois et pervers, Pierre, tombe amoureux d'une très belle femme juive et modeste, Rachel, à laquelle il fera un enfant, Christine. Malgré l'amour fou dont elle le gratifie, il gardera cruellement ses distances avec cette femme à laquelle il fera porter son enfant, toute en le reniant....Durant toute une vie, le fruit de cette passion ainsi que la mère subiront les pires sévices morales et incestueuses, dans le but ignoble et peut- être inconscient, de leur faire payer cet amour qu'il ne maîtrise pas, car il ne l'assume pas... C'est du moins l'analyse que fera Christine Angot, après moult explications et déductions des outragées, comme suite aux propos requis de l'Auteure auprès de sa mère, à la fin de l'histoire.
Un livre autobiographique génialement écrit, comme on peut écrire quand on saigne au plus profond de soi, le récit d'un passé que l'on ne peut dépasser. Les mots traduisent alors les maux d'une enfance brisée et restée trop longtemps sous silence pour qu'un jour on ne pose pas "ses tripes" sur une table, comme une explosion salvatrice de tout son être ensanglanté.
Les dernières pages sont une cascade de larmes pour celui qui les lit. Magnifique, osé car on ne peut plus intime, et dignement raconté. D'une traite.
-
Sauvage comme...
-
... 49...
Mon époux souhaite publier cette photo, prise par lui...
Photo Pascal Bergmann
-
Joyeuses Fêtes à tous les amis des animaux !
-
Ceux qui me portent ...
Avec élégance, toujours plus beaux... Au creux de l'automne, leur robe se confondent aux couleurs de la nature. Un tableau vivant, juste là, devant mes yeux. Moment d'extase, cette sensation de ne rien vouloir rater de leur cadence, de leur posture, de leur beauté naturellement noble, des sabots jusqu'aux bout de leurs crins.
Est-il possible de les aimer davantage? J'en doute. Ils sont ma force et ma faiblesse, ma joie et mes larmes, ma vie tout simplement. Je vous en souhaite autant, si vous les aimez vraiment, intrinsèquement, viscéralement, si vous êtes capable de surmonter le froid et la solitude, vous saurez ce que c'est qu'aimer les chevaux.
Photos Valérie Bergmann
-
What else ?
Photo Pascal Bergmann
-
Subtil Stefan Zweig ...
Une histoire d'amour à sens unique, racontée avec subtilité par une femme éperdue autant que perdue, et tout en nuances, superbement ... triste, et merveilleusement beau. Zweig a la plume raffinée dans les gouffres de l'oubli. Magnifique.