chien
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Il manque quelqu'une près de moi...
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La vallée de larmes ou à notre chienne Krystal...
Il y a 5 ans
Oh ma chienne ! Kristal en ce jour si ensoleillé (27 mai 2016) d'un printemps qui semblait vouloir montrer son nez, tu nous as quittée. Ton maître et moi sommes si peinés, si desemparés, que nous ne savons même plus comment continuer sans ta présence. Depuis plus de seize ans, ma chienne, tu nous as tant rendu ce bien que nous t'avions fait en t'adoptant à la SPA. Ta tendresse, les attentions permanentes, tes regards bien dirigés en disaient long et tout cela n'a pas de prix, sauf celui qu'on lui accorde, le tien est inestimable.
Tu me tenais la main et moi la patte à moins que ce ne fusse le contraire....Chaque matin tu montais sur le lit dès 7h, tu venais te glisser et prenait alors la place de ton maître adoré. Nous nous tenions mutuellement comme pour nous rassurer...Puis tu l'attendais jusqu'au soir, sans faillir, jamais.Oh ma fille, ce soir à 19h11 ton coeur si grand a finalement cessé de battre, et c'est nous qui à notre tour t'avons tenu la patte pendant que tu t'endormais grâce à la potion létale du vétérinaire. A cet instant et pour l'éternité tu es une étoile , celle que jamais on ne remplace Ah ça non ! Jamais. Kristal ma douce repose en paix. Et à un de ces jours, on ne peut que se retrouver quand on aime d'un amour si pur et si immense. J'ai confiance. Le temps jouera en notre faveur. Oh ma sœur, ma chienne, ma fille, mon bébé, mon amie, ma vie. Oui tu es et resteras dans nos cœurs. Ma chienne va en paix, là où l'air est doux et la réalité moins cruelle... Va la où la vie ta emporté...
Pas si loin de nous que ça. Je le sens. Toute cette semaine l'angoisse me submergea sans que je ne puisse contrôler quoi que ce soit... Je comprends.
Ainsi soit ilpascal et valerie Bergmann
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Aimer les animaux... Un blog d'air pur !
Gemini, Bobine, Kristal et moi, le 28 aout 2015
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De jolis moments...
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Mes Amours
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Un regard qui se pose, ça et là...
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Carpe Diem.
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Ma passion, ma folie, ma douceur, mon énergie...
Plus que tout au monde ils font danser ma vie et colorent mes jours, par-delà les idiots, les vauriens, les vautours. Ma vie ne tient qu'à leur fil, mais ce fil là, on le tresse à l'infini, et si l'on rencontre qu'une seule fois dans sa vie, cette sorte de bonheur là, sorti du tréfonds de l'amour, c'est que le destin était déjà écrit au creux de nos chemins de vie, loin des livres d'écoles, loin des arts et des lettres, loin de la machine infernale qui dévore le moral et vous laisse nus. Je souhaite à tous ceux qui me lisent, d'aimer ne serait-ce qu'un instant ces Animaux qui n'en n'ont que le nom. Certains de nos humains bien plus bêtes, seraient-ils d'avantage à la fête? Que le Seigneur bénisse à jamais ces âmes pures et saines, qui vous apportent sérénité, paix et réconfort. Dieu, quand je vois le monde, je me dis qu'il y a quelque chose qui cloche... Hommage à mes petits, qui sans mièvrerie m'aiment au-delà de toute folie, au-delà de toutes maladies, mais du coté du coeur, très près.
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Cinéma.
Mes lecteurs n'aiment pas lire mes peines. Ils me "veulent" toujours joyeuse, gaie, enjouée, pourvue d'une vivacité spirituelle et puis c'est tout. Mes humeurs et états d'âmes, je dois les taire, chut, assez de tristesse sur les ondes, conséquentes à une conjoncture en occurrence atonique.
La preuve est donnée, justifiée par le résultat de "The Artist", pourvu de critiques dithyrambiques et tant méritées, pour cause, quel émerveillement ! Je suis encore transportée dans un passé si présent, et si précieux, là où le raffinement avait encore un sens. Suivant le regard de la caméra filmant le savoir faire incontestable d'un acteur à la prestigieuse vélocité, digne d'un Charlie Chaplin ou d'un Maurice Chevalier. Durant quelques secondes on croirait voir Ginger Rogers et Fred Astaire réssuscités, faisant des claquettes, carillonnant dans nos têtes!
Il y a les films, puis un jour, un autre, hors norme, toutes catégories confondues vient vous emporter une heure et demie sur une autre planète, dans un autre monde, plus humain au demeurant, et qui n'en finit pas de nous sourire, et nous laissant cois. Vous pleurez, vous riez, vous doutez de la suite des évènements, mais vous êtes vivants. L'humanité toute entière devrait remercier ce réalisateur,ainsi que toute l'équipe au talent incroyable. Film reconnu d'intérêt public, cela devrait être souligné. Que du bonheur…, Non, trop facile à dire, raisonnement factuel qui vous laisse perplexe, des adjectifs? Nuls mots pour définir les émotions procurées par ce super métrage. De la pellicule de soie, des fils d'or brodant un scénario plus que parfait. Des acteurs libres d'aimer, de jouer, de rire et de danser sur la scène des studios des années trente made in Hollywood. Le cinéma parlant n'a plus qu'à se taire, laissez nos sens visuels tracer nos émotions les plus pures qui soient se remettre le plus naturellement possible au gout du jour. Requérant une concentration certaine et obligatoire malgré nous, malgré tout. Un chien dont je suis tombée amoureuse n'a pas fini de me surprendre, malgré une retraite bien méritée. Je vais revoir et revoir jusqu'à plus soif ce chef-d'oeuvre. Uggie le magnifique, l’incroyable talent d’un Animal, à l’intelligence bien plus acérée que nombres d’individus.
Que la vie est belle en Cinémascope et en noir et blanc ! Le passé, loin d'être dépassé s'en revient vous transférer dans un ailleurs tout près du coeur, vous rendre ses sentiments, loin d’être muets, et paradoxalement, sans paroles, si évocateurs, si révélateurs. L'Artiste est de l'Amour, tout simplement, et encore de l'Amour. Le mime vaut tous les idiomes du monde. Le jeu des acteurs, l'ampleur du savoir-faire, le Talent, le vrai, l'unique, tout cela est rendu. Trop court. De toute façon, trois heures n'auraient pas étanché la soif de bonheur et de gaieté dont nous avons besoin. « The Artist », incontestablement et pour longtemps, the only one!
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Uggie Le Magnifique!!!
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Il était une fois...
Ils étaient une fois mes animaux, petits-êtres au cœur immense, qui jamais ne me déçoivent. Ils sont la vie qui bat, l’amour dans toute l'évocation des cœurs et des âmes qui font qu’eux et seulement eux, jamais ne sauraient m’abuser. J’en appelle à leur amour pour poursuivre ce qu’est ma vie, même si votre propre famille vous détruit, eux jamais ne dérogent à faire de vous leur plus grand ami. Lorsque je sors du lit, mon cheval sacré pointe ses oreilles, ce qui m’apparaît comme une prière, une invitation à aller le rejoindre. « Il fait pourtant froid, Gemini, attends que je me réchauffe », malgré le fait que je tienne encore entre mes mains la tasse de café encore bouillant, il ne veut rien savoir et continue à s’avancer vers moi. Instant sublime. « Non, je n’attends pas, je veux que tu viennes m’aimer de plus près, j’ai besoin que tu me caresses, tu me connais depuis que j’ai huit mois, tu devrais comprendre ! ». Alors, à travers la fenêtre, je recommence à être, et je pose tout ce que j’ai en main, enfile juste une veste, la première à portée de vue, et marche d’un pas pressé, accourant même, vers cet être qui me réclame de toutes ses forces ; on ressent ces choses là, aucune de ses postures n’échappent à l’interprétation que j’en fais. Je traduis la moindre de ses attitudes, il sait si bien se faire comprendre ! L’amour que je porte à mes animaux n’a rien d’exceptionnel, c’est juste une question d’amour, (encore un mot sans synonyme !) le vrai, le pur, celui qui jamais ne saurait vous trahir. On parle souvent des liens du sang, mais que sont-ils à côté des liens du cœur ?
Je pourrais en parler des heures, vous dire que ma chienne Kristal, porte bien son nom, aussi pure que son nom l’indique. Mais aussi d’un tempérament extrêmement jaloux, non pas par rapport aux chevaux, elle n’a jamais manifesté la moindre animosité à leur égard. Je l’ai même surprise une fois en train de faire ce qui paraissait être un baiser, à Gemini ! Incroyable ! Par contre, elle ne supporte aucun autre de ses congénères, ma petite chienne Melba, en fit les frais plus d’une fois, elle n’est plus, Dieu prend bien soin d’Elle, je l’espère. Je ne pouvais pas y remédier. Cette petite chienne, un bichon, eut une mauvaise destinée. Comme certaines personnes. Mon mari et moi avons tout fait pour la protéger, mais ce fût en vain. Je ne m’étendrai pas sur le sujet, cela me fait trop mal.
Je préfère vous parler de ceux qui sont là, pendant qu’ils sont encore à mes côtés, les chiens ne vivent pas vieux, alors je profite de ma chienne autant qu’il m’en est possible. Elle est déjà âgée de douze ans, et les grands chiens vivent parait-il moins vieux que les autres. Elle me suit pas à pas, participe à tous mes instants, accompagnatrice de mes moments de joie comme ceux de tristesse. S’il m’arrive de pleurer, (Là, je ne passe jamais mon tour…), elle vient d’un coup de langue sécher mes joues. Puis, chose étrange, (je ne fabule pas), elle parle ! Plusieurs fois je l’exprimai, sans que l’on n’y prêta attention ; pourtant un jour, devant d’autres personnes, elle sembla dire « maman », tout au moins ses cordes vocales semblent être un instrument de musique par lequel elle s’applique à répéter ce qu’elle entend. Parfois, je devrais l’enregistrer, tant la résonance est fluide à l’écoute. C’est la voix du bonheur ! Non, je sais que cela n’est que le résultat d’un mimétisme exacerbé. Les animaux nous observent énormément, si vous les regardez pendant ces moments là, vous pourrez lire dans leurs yeux, mieux que dans un livre. Je n’exagère pas, je n’écris que ce dont je suis sûre…Tout autant que je puisse l’être, n’étant pas parole d’évangile !
Pendant que je poursuis mon récit, je vois la neige fondre, quel dommage ! Les paysages enneigés ont toujours suscité chez moi, de grandes émotions. Je ne saurais expliquer pourquoi, l’impression que les nuages se délitent, que le ciel permet la distribution de quelques anges, au travers de flocons cotonneux, impalpables certes, mais visibles. On pourrait les nommer « les intouchables », disparaissant en eaux dès qu’ils touchent la matière. Dieu, que la nature est belle, -nature, encore un mot sans synonyme-. Il faudra un jour en faire la liste. (Nature, amour, écriture, en voilà déjà trois!)
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Jour de bonheur...
Comme prévu, le bébé poney est arrivé. Elle s’appelle Bobine, et est vraiment toute petite, pas plus haute que ma chienne ! Gemini, mon cheval est tout content, cabrioles, sauts, allures "classieuses", c’est son cadeau de Noël, j’espère qu’il sera courtois avec cette petite bête… Ils se sentent, se toisent, elle hennit très souvent, premier jour de sevrage. Je suis aux anges, mon mari aussi ; même si cela représente encore davantage de travail ! Ne jamais donner plus d’amour, de caresses, de gâteries, à un plus qu’à l’autre, très important pour éviter toute jalousie qui entraînerait d’incongrues postures. Je prie le Bon Dieu, pour que cette nouvelle venue n’ait pas à subir les désagréments du cheval. J’avouerais qu’une petite peur siège à l’intérieur de mon cœur. L’aspect de la nouveauté, cela me réjouit, oui mais si lui arrivait malheur, je ne le supporterai pas. Un poney mange autant que vous le lui permettez, je dois donc redoubler de vigilance, car Gemini, lorsqu’il est rassasié cesse d’ingurgiter ; il n’en est pas de même pour les Shetland, qui au contraire, mangent autant que possible. C’est une journée rare dont je susurre les secondes avec délectation, et qui défilent, toujours très vite. Ce temps, qui inévitablement, ne cesse jamais de vous faire avancer, du bon ou du mauvais côté de la barrière, il vous entraîne dans sa course folle, que vous le vouliez ou non. Il est terrible le temps, en vieillissant, on s’en aperçoit vraiment. Il est indéniable de s’y adapter, sinon, vous restez en rade ! Mes animaux sont une source de jouvence pour ceux qui les chérissent. Certes, la loi de la nature est parfois intransigeante, alors surveillance renforcée. Voilà, je vais devoir cesser d’écrire afin de nourrir « mes enfants », qui déjà, vus de la baie vitrée, s’impatientent tels des lions en cage !
Je suis en proie à la lecture d' un superbe roman, celui de Joseph Fadelle, une histoire vraie dont je vous parle un peu plus bas. L'histoire inouïe de deux jeunes militaires de confessions différentes, dont un se convertit à celle qu'il juge la plus adaptée à ses idées, et ce malgré les insurgés, malgré la sainte et fameuse Famille, celle que l'on n'a pas choisi...Il se lirait d’une seule traite pourvu qu’on en ait la possibilité et le temps, le revoilà ce fameux temps, Monsieur l'hyper pressé, qui vous oppresse et vous happe à la vitesse dont il est le maître absolu. A nous de nous adapter, de voler sur les ailes de ce temps qui s'emballe et de remercier la vie pour tous ces instants de félicité.
Bonne soirée
Premier contact
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"Bienheureux celui qui a pu connaitre la raison des choses" Virgile
Mes Amours en pointillisme!!!
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Eux!!!