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amour - Page 4

  • Toi... La spirale

    Photo Jim Brandenburg

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    Tourbillon infini de blancheurs épanouies

    De spirales enneigées d’un paysage sans âge

    Force de la nature tournoyante et aguerrie

    Jamais ne s’aventure au milieu de présages

    Jamais ne circonscrit à ton doux visage

    Toi, homme qui ne saurait me mettre en cage

    Toi, homme de ma survie, moi, petite sauvage

    Toi l’homme avec qui je vis éloignée du rivage

    Toi, l’histoire de ma vie, mon ode à la poésie

    Muse, éternelle rêverie loin de tout clivage

    Ton nom porte à lui seul le plus beau des courages.

     

  • Le Gros!

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  • Les Inséparables.

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    Je ne voulais pas manquer l’express de nuit qui me mènerait jusqu’à la prochaine étape, celle de mon périple journalier. Dès lors, je creusai dans ma mémoire, afin d’y puiser quelques souvenirs. Oh, ce n’est pas ce qu’il me faisait défaut, les souvenirs, ces petites parcelles de notre vie passée, qui surgissent quand on les appelle, ou resurgissent quand on ne le souhaite pas. Mais pour l’heure, je prenais plaisir à me remémorer quelques bribes de mon existence dépassée, même si plus prolixe que jamais.

    Je me souvenais alors du temps où Noël avait encore son sens originel, ce temps où le Père Noël était encore parmi nous. Nous étions soudé comme le plus précieux des métaux. Nous, c’étaient Maman, Mamie, et Mané, la mère de Mamie, qui était la mère de Maman. Cette époque bénie où mon arrière grand-mère, surnommée de tout le monde, Mané, m’appelait son « bâton de vieillesse ». Je comprenais du haut de mon tout jeune âge, ce qu’Elle entendait, en me nommant ainsi. Cela voulait dire, « J’espère que tu prendras soin de Mamie quand elle sera vieille. » Les vieux jours de ma grand-mère lui posaient problème. Les perruches, "les Inséparables", voilà comme on aurait dû nous appeler ! Il n’y avait aucun soucis à se faire en ce qui me concerne, je serai toujours présente pour ma grand-mère, je le lui répétais sans cesse. Sa fille chérie, celle qui vécut avec Elle jusqu’à son dernier soupir. Coup fatal à l’encontre de Mamie. Début du commencement de la fin…de Celle qui est partie, de Celle qui est toujours là, de Celle qui n’a jamais été autant présente, de celle qui sacrifia sa vie pour m’élever, et de Celle que je fis souffrir par mes monstruosités d’une adolescence mal digérée. Tout a une raison, rien n’est gratuit…Je poursuis, de Celle dont je rêve chaque nuit depuis peu, de Celle qui vit en moi pour l’éternité. Le lien qui nous relie est aussi invisible que ce qu’il est indéfectible, presque palpable.

    histoire,inséparables,générations,amour,deuil Sylvain Lagarde

    Je dois dire que durant ses dernières années, je fis tout afin qu’il en soit ainsi. Pendant ces longues années de maladie, « la maladie de l’oubli », je prenais, dès que j’en avais l’occasion, ses mains entre les miennes et je fermais les yeux. Puisqu’Elle ne me reconnaissait plus, (j’en doute encore), je n’éprouvais aucun intérêt à regarder ce corps inerte, ce n’était plus qu’une enveloppe charnelle dont l’esprit s’était dérobé. Je restais alors à ses côtés durant de longs moments, essayant de rentrer en contact spirituellement. Je ressentais alors son fluide,  passer dans tout mon être, et les yeux clos, j’implorais Dieu, (concentration extrême exigée),  d’une éventuelle communion entre toutes les deux. Nous, si proches durant tellement d’années ! Je gardais cela pour moi, car je savais que personne n’y aurait prêté attention. Silence, jardin aussi sacré que secret. Son esprit résonne dans ma mémoire en « ruine », par trop de drogues illicitement absorbées. Mais la mémoire est sélective, elle occulte les pires moments. Puis, ce n’était pas moi, non, on m’avait volé, qui ? Le diable bien-sûr ! La décadence dans laquelle je fus plongée durant plus de quinze années, m’avait pris dans un thriller comme actrice principale, et je jouais mon rôle avec intégrité, rien ne manquait au désastre : Vertige des sens, sens unique, sans issue, sans foi ni loi, sans dessus ni dessous, mais pas sans retour. La preuve ? Je suis plus lucide que je ne l’ai jamais été, plus lucide que la terre entière réunie; aurais-je été ainsi à cette heure de ma vie si j’avais échappé à tous ces démons ? Nietzsche a dit : « Ce qui ne tue pas rend plus fort », et il a toujours raison Nietzsche, même lorsqu’il déraisonne !

    Pour l’instant, je me revois, assise à côté du lit de Mamie, plus combative que jamais, ne laissant rien percevoir de ma peine. Je la fixais parfois de manière on ne peut plus profonde, afin de tenter de pénétrer son âme, pour qu’Elle m’entendit. Je l’implorais de m’écouter, il fallait qu’Elle sache combien je l’aimais, et souvent je lui demandais de m’emmener avec Elle, le jour du grand départ.

    Comment oublier ces instants-là? Avant que la dégradation ne l’éteigne complètement. Ces instants sont plus précieux que tous les diamants bleus du monde. Souvent je pense à Mané, qui me donnait aussi le doux sobriquet de « rayon de soleil », car à cette époque, il n’existait pas de petite fille plus gentille ! Voilà, je me consume devant ma feuille, mais comment résister ? Ce ne sont qu’après tout des larmes d’eau bénite,  celles qui viennent des cieux, celle que j’ai volé à la pluie, celles que Mamie me permet de verser, des larmes de l’Amour des Miennes. Ces écrits sont ma façon de porter le deuil, alors il n’y a rien de triste, croyez-moi, bien au contraire, car je sais, je sens qu’Elle est heureuse, enfin, auprès de sa Maman. La maladie d’Alzheimer détruit les cellules cérébrales, et aussi les gens qui entourent les personnes atteintes. Si je disais que je n’ai jamais été aussi heureuse qu’aujourd’hui, je ne suis plus dans l’expectative de la délivrance, de l’entre-deux vies de la personne que j’affectionne le plus, mon papa mis à part. Il n’est rien de pire ; je détestais cette indescriptible sensation d’attente forcée, qui vous fait sursauter à chaque coup de fils.

    Maintenant c’est fini, définitif, partie, pas à moitié morte, morte véritablement ... Point, finalité, vie terminée, au-delà certifié, existence de la non-existence, comment expliquer sa présence ? Je sais, parce que je suis là, entrain de vous parler d’Elle. Mamie, la sacrifiée, qui voit tout depuis le Paradis, le seul et unique lieu où Dieu put l’accueillir. Avant que l’on rentre son cercueil sous terre, je fis office de « curé », en récitant quelques vers de bénédiction, écrits durant le trajet pour me rendre… là où l’on ira tous… Sourire.

    Ma couronne de fleurs en forme de cœur jamais ne fanera, pas plus que les souvenirs de cette Dame là, pas plus que cette Dame tout court. Sourire. Assurément.

  • Le Rêve...Peinture cubiste de Henri Le Fauconnier 1910

     

    mots, rimes, songe, nuit, amourDouceur d’évasion évasive

    Clameur d’émotions sensitives

    Dans la clarté du soir

    Le bonheur de l’espoir

    Bonsoir

    Partition d’ombres portées

    Sensations d’acuité

    Civilités extrêmes

    Chaleur de l’aubaine

    Je t’aime

    Tableau immaculé

    De joyaux et de divinités

    Dévorés de fidélité

    Délices de déesses

    Caresses et délices

    Quelques soient les faiblesses

    Tendresse

    J’avance dans les mots

    C’est mon cri le plus beau

    Mon chant le plus pur

    Mon  élan le plus sûr

    Dieu, comme je t’aime

    A jamais ton sang

    Coule dans mes veines

    Et purifie mon âme de néophyte

    Dans ma grotte de troglodyte.

     

  • En ce bel après-midi...Liberté au gré du vent

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    Des images plein la tête

    Je  remercie la Nature et Celui qui l'a fit naitre

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    Grâce à vous mon cœur est à la fête

    Chaque jour mon cœur se fait plus pur

    Dieu a entendu ma prière

    Et je lui rends grâce avec la force de l’éclair

    Par les psaumes que je chante

    Par les fleurs auxquelles je parle.

    Les rivières fusent abondamment 

    Et tout mon être savoure ces instants de plénitude

    Car « je » n’est que bravoure

    Depuis que le Tout-Puissant m’a entendu.

    Des merveilles spontanées d’un simple ru,

    A l’écume enchantée, foisonnante de liberté

    Ne sont rien d'autre que le fruit de ma destinée.

    Les ruines deviennent des palais impériaux

    Tout est si beau, tout est si merveilleux

    Que je n’en finis pas d’ouvrir grands les yeux.

    Quelques pétales de roses  font office de muses

    Et ces humbles mots ne sont que de  la prose

    Dédiée à Dieu, Dieu à qui je dis « je t’aime ».

    Mon cœur est enchanté, par ces instantanés

    Mon cœur ne finira jamais par ces instants d’Aimer.

    Dieu, ne m’abandonnera plus art, nature, beauté, amour, fleurs, eaux, pure

    Je ne suis qu’à Lui, je n’ai besoin que de lui

    L'Homme qui suit mon chemin

    Sait le véritable sens du verbe Aimer

    Connait l’authenticité des cœurs limpides

    Des personnes qui soudain sont devenues « intrépides »

    Devant le chagrin, devant ce feu qui brûle en moi

    Par la force inexorable de l’amour, la force du Toujours.

    Je pourrais psalmodier pour l’éternité

    Dieu m’a rendu à l’être que j’étais.

     

     

     

     

     

     

  • Aujourd'hui... De l'Amour des miens, et rien d'autres.

     Mes Animaux me réclament, alors, en selle! Une très jolie balade auprès des miens. J'ai reçu un ouvrage très très long sur l'Histoire du peuple Arménien, j'en commencerai la lecture cette nuit, si possible. Beaucoup de projets en perspective; serais-je assez compétente, assez forte? Avec la foi, on peut déplacer des montagnes, alors...

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    A ceux que j’aime

    A ceux que j’ai aimés

    A ceux que j’aimerai

    A ceux que j’indiffère

    A la planète entière

    Soyez heureux comme je le suis

    En harmonie avec la vie

    Auprès des choses pures

    Auprès des êtres vrais

     

    Sur les routes ensoleillées

    Et les saisons du cœur

    Sous un ciel azuré, j’entends

    Chanter  le murmure d’un vent léger

    Les nuances automnales

    Se déclinent et partagent

    Tout ce qui n’a pas d’âge.

    Sur les chemins bordés d’herbes folles

    Je reprends mon envol, et que souffle Eole.

     

     

     

     

     

     

     

  • Prier pour l'Arménie

     



    Armenie yerevan-sunshine par flodjian

    Quelque chose de très important me semble injustement oubliée : On parle beaucoup des guerres de ceci, des guerres de cela, de l’extermination du Peuple Juif, mais, étrangement, il est très rare de voir ou d’écouter des articles visuels ou audiovisuels, concernant le génocide Arménien. Notre riche histoire ne serait-elle pas en train d'être balayé du monde petit à petit, comme ce fut le cas de notre Pays, qui au fil des siècles rétrécît à vue d’œil. Envahie par le Peuple Turc, l’Arménie manque d’air ! Je ne suis pas assez bardée de diplômes pour approfondir la question, mais je continue d’apprendre le douloureux parcours de mes origines.  Je tenais juste à le signifier...

    Certes, l'idéal serait un monde sans frontières, un Peuple unique, mais cette approche me parait encore bien trop lointaine. Sachez que je dis cela sans colère, mais avec, malgré tout un petit pincement au coeur.

    Albert et Maryse Khazinedjian ont conçu un ouvrage consacré à l'art Arménien,  je voudrais juste rappeller grâce à eux, que les églises arméniennes furent les premières à se rehausser de dômes à partir du Vème siècle. Sans les Arméniens, Sainte-Sophie ou Ravenne n'auraient pas pris forme, et l'Occident n'aurait pas produit Saint-Sernin, Saint-Jacques de Compostelle, ainsi que Cluny...

    Je ne parlerai pas (au risque de déplaire à quelques- uns), des constructeurs de Saint-Marc de Venise et même Saint-Pierre de Rome, qui sans nos inventions architectoniques n'auraient pas donné la mesure de leur génie.

  • Prière d'une profane

     Statuette de Michel-Ange

    "Création d'Adam et Eve"

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    Dieu, apprenez-moi la Sagesse

    Long est mon chemin

    Dieu, apprenez-moi la patience

    Périlleux est mon chemin

    Dieu, apprenez-moi la confiance

    Lorsque je doute de tout

    Et que mon âme est en errance

     

    Je n’ai que les livres et les écrits

    Pour faire de moi une érudit

    Car cela est un Besoin

    Pas une prétention

    Faites qu’il soit divin

    Délivrez-moi du malin

     

    J’ai tant d’Amour en moi

    Dieu, aidez moi à ne plus voir le mal

    Il ne m’apporte rien de bon

    Par les Saintes lectures

    Apprenez-moi tout ça

     

    Remplissez-moi de Vous

    Que chaque jour

    Soit le début de ma vie

    Dieu, accordez-moi un peu de Vous

    Peu, c'est déjà beaucoup

    Dieu, apprenez-moi à être à Vous.

     

     

  • ...

    "La richesse spirituelle n'a de sens que dans le partage."

  • Le temps de vivre

    Le temps de vivre

    de respirer à plein poumon

    un air pur qui m'ennivre

    cheveux au vent, ça sent bon

    la nature à ses prétendants

    je prends mon temps

    je lui offre ma vie

    comme une prière d'enfants

    j'implore Dieu mon Ami

    pour les êtres que je chérie

    pour la planète entière

    et celui qui m'est cher

    tout n'est qu'Amour

    je ne ferai pas demi- tour

    le Bien et seulement lui 

    je me noie, pourtant à la surface

    j'apprends la patience dans la joie

    celle que rien n'efface

    au plus profond, infiniment acquise

    si vous saviez comme il est bon

    d'alimenter l'oraison de la genèse

    ne pas refaire le monde

    ne plus souffler sur les braises

    mon coeur inonde moi de joie

    dans cette nature si féconde

    dont je me nourris à chaque seconde

    à chaque instant, je prends mon temps

    Riez, moi, je sourirai!

     

     

     

     

     

     

  • "Bienheureux celui qui a pu connaitre la raison des choses" Virgile

    Mes Amours en pointillisme!!!vie, nature, amour, bonheur

  • "Trésor d'Amour", dernier roman de Philippe Sollers :

    " Douleur d'amour ne dure qu'un moment, Trésor d'amour dure plus que la vie"¨Proverbe vénitien XVIème sièxcle

    "L'amour a toujours été pour moi la plus grande des affaires, ou plutôt la seule." Stendhal

     

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  • Noces D'étain à L'Abbaye de La Celle : Dix ans déjà!

    L'Hostellerie de l'Abbaye de la CelleLa Celle-en-Provence

    L'Hostellerie de l'Abbaye de la Celle

    10 place du Général de Gaulle
    83170 La Celle en Provence, France

    Pour réserver votre table, merci de composer le numéro suivant :

    +33 (0)4 98 05 14 14

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    Maison d'Alain Ducasse en Provence

    Une table gourmande pleine de charme au cœur d’un village viticole jalousement protégé, à l’ombre d’une Abbaye Royale qui accueillit les grands de ce monde…


    Sur la place ombragée d’un petit village tranquille du Haut-Var, cette belle demeure jouxtant une abbaye du 12ème siècle invite les plaisirs gourmands à votre table. Du potager de l’Hostellerie à la Mer Méditerranée, le chef Benoît Witz puise avec passion dans les trésors de la région. Ensoleillée et originale, la carte évolue au fil des saisons, témoignant de l’étendue et de la richesse de son talent : risotto à la fleur de courgette et copeaux de lard croustillant, pressée de canard et foie gras... Pour compléter le délicieux tableau des assiettes, chacun peut assister à la préparation, un ravissement pour les yeux !

    Quelques plaisirs gourmands à découvrir : L'oeuf de ferme défait, girolles et bouts de jambon, Pigeonneau à la broche, échalottes, cerises et amandes fraîches, les Crêpes Suzette, sorbet à l'orange.

     

    Chef : Benoît Witz

    Directeur de salle : Eric Adam

    Sommelier : Cédric Vernice

    Adieu aux velléités ludiques et passagères  de ces dernières années. (Just a piece of cake!), Nothing compares to you.   Couple-d-amoureux-a-Paris_Elise-HARDY_ref~PL174_mode~zoom.jpg

    Photo : Elise Hardy