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beauté

  • " Les trois fiancées " 1893 de Jan Toorop 1858-1928

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    Jan Toorop est un Peintre néerlandais, né sur l'île de Java.

  • Chili, Terre de beauté


    Source Youtube

  • Mon Jimmy !

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    Pour la beauté du mouvement...

  • Alexandre Cabanel 1823-1889 ou La Beauté pure (Académisme ou Art Pompier)

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    Ophélia 1883

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    Phèdre

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    Auto-portrait

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    Fallen Angel

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    Cléopatre  essayant des poisons sur les comdamnés à mort   1887

  • Astral...

    Faiseur de beautés, créateur pour amateur de charme éclairé, cette photographie est un appel à la frugalité des temps modernes. Plus rien n’a d’importance. Le temps d’un instant enchanteur où le ciel reflète un état d’apesanteur, dans un éclair, léger et fort à la fois, la voie du Seigneur s’agite avec ardeur, tout est clair, limpide et lumineux. Le plaisir des yeux est en faction, il vous illumine, vous transporte dans une seule et unique voix. La voie céleste délicieuse et miraculeuse d’une luminosité qui n’en finit pas de vous enlacer dans ses rayons d’où l’on devine et ressent une chaleur lointaine et le chant des sirènes. Sensualisme à volonté, le temps fait sa dictée, il s’exprime de tous ses prismes. Il n’y a pas de faute, pas besoin de corrigé, le merveilleux a parlé. Le soleil se montre, un court instant, c’est le chant des océans qui se déploie, dans un ciel enchanté, juste le temps de décrire son essaim, volubile et si fin, si délicat. Oh oui, enveloppe moi de ta lumière divine, celle qui fait de moi sa cariatide, me jette dans le vide, un vide  sans fond, loin des dangers de la facilité. Le vide des émotions funestes, j’aperçois à l’horizon,  le dessin de ta création. Je prends alors mon stylo, et tente de voler haut, très haut, à côté des nuages, du soleil et de son ramage. Je suis la vie qui m’incendie, un instant de folie contrôlée, et je m’élance du grand escalier, celui qui monte au paradis, ou descend en enfer, qu’est-ce-que cela peut bien faire ? Lorsque le divin vous ouvre ses bras, s’abandonner à sa loi, et se laisser nimber de ses bras imprégnés de force tranquille, loin des impures pensées. Dieu, le Très Beau n’appartient qu’à toi, tu es la majesté, l’empereur, le magicien, laissant tomber furtivement quelques flocons neigeux, lumineux et feutrés, le temps est à notre portée. Le temps n’est qu’un siècle qui se serait égaré, dans le plus généreux des hasards passés. La nature doit être visitée, sans cesse, s’imprégner de toute sa beauté, et garder dans son cœur les trésors que forme le décor. La magie des images,  au fond des yeux, la jeunesse des cieux qui tous les matins du monde se refait une incroyable beauté et se farde d'éclairages, le feu du ciel vient de faire son entrée. L' Impétueux et magistral côté astral.

  • Les dessus chics...

    Je ne sais plus qui a dit que le plus beau moment de sa vie est celui que l’on n’a pas encore vécu. On ne saurait dire mieux ni plus juste...  Tandis que je scrutais un ciel fébrile, j’attendais patiemment l’heureux évènement, l’augure se profilait dans ma tête depuis quelques instants, le soleil fusionnant avec la lumière obscure des nuages qui se balançaient selon le souffle du vent, me laissait supposer qu’un arc-en-ciel ne saurait tarder à faire son entrée sur le plus grand chapiteau, le toit de la planète. Je ne fus pas déçue, une écharpe de Vénus venait faire la roue, exhibait toute la splendeur du monde d’un bout à l’autre de sa majesté le ciel, il se présentait à moi avec des couleurs suspendues, celles que l’on n’a jamais vu. Tant de beauté me fascinât et me laissât sans voix, le temps de réaliser ce que les cieux m’offraient, quelque chose d’indicible, d’indescriptible,  devant laquelle on ne peut que s’incliner, se taire même. Je reste infiniment troublée par la vision d’un spectacle aussi naturel que divin, rétines fusillées, dose d’adrénaline en faction, ce n’était rien d’autre que la magnifique écriture dont me faisait don de « supérieures instances », celles qui font que l’on reste bouche-bée, couleurs à jamais non élucidées, dossier classé sans suite. Un miracle de la vie, une beauté faraude et déclinée à l’infini. Quand Dieu dessine. De quoi se sentir minuscule face à un firmament,  se servant des couleurs du temps pour écrire expressément  au clair des teintes incroyablement uniques, le ciel est une ardoise magique. C’est un concerto pour personnes en manque de magnificence, esthètes, épicuriens, hédonistes, contemplateurs, simples spectateurs, oculistes, ophtalmologistes, chercheurs d’or à la chance pas ordinaire… Le monde entier aurait pu se prosterner aux pieds du Divin, cette scène me fait penser à une chanson très élégante, intitulée «Fuir le bonheur de peur qu'il ne se sauve. « Over the raimbow, toujours plus haut, le soleil above, radieux », Serge Gainsbourg. L'instant appartient à cette phrase...

    Ce fut des dessus chics. Très chics.

  • A ce jour...

    Cathédrale de La Major

    chapelle, marseille, vielle charité, monument, art, beautéJe vous proposerai toutes les splendeurs intérieures dans un album, très bientôt. Ce monument déborde de  trésors inconnus du grand public, moi-même, je n'étais jamais entré dans ce sculptural édifice, à l'instar de pas mal de marseillais, et vraiment, cela en vaut le détour. Beaucoup de jeunes se promenaient humblement; je discutai avec pas mal de gens, à mi-voix.

    Icônes, (mes sacro-saintes peintures), Jésus, statues, Saints, autel, perspectives, plafond, Vierge Marie,  porte d'entrée, voûtes, furent autant de trésors à portée de ma vue, c'était surréaliste. Ce fut un instant merveilleux, magique. Je n'étais qu'un oeil grand ouvert, ne sachant plus où poser mon regard, en haut, en bas, de côtés, tout me happait. Je fus durant presque une heure, transportée dans un passé digne d'un film de Woody Allen. J'étais hors du temps... Quelle délicieuse sensation!

    Comment avais-je pu passer à côté de ce chef-d'oeuvre architectural sans m'y attarder? Je connais la réponse et vous la raconterai tout-à-l'heure.

    Les vitraux sont les seuls clichés, à l'exception d'un seul, que je n'ai pu capter, la luminosité du soleil étant trop forte. A l'extérieur le soleil était à son apogée et le ciel d'un bleu uniforme.

    Avant de quitter la Cathédrale, je fis un souhait, pendant que je m'aspergeais délicatement d'eau bénite : Celui d'un monde meilleur, à défaut d'être parfait.

    Quelque chose me frappai : Une jeune et jolie femme voilée était en prière, assise, elle me souriait, je prenai alors cela comme un signe de bon augure... Je n'osai pas (en lui demandant l'autorisation, évidemment) la photographier, je le regrette...

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