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beauté - Page 3

  • Adolph-William Bouguereau -1825-1905- Peintre français académique, inspiré par Ingres :

    la danse bouguereau.jpg"La danse" 1856

  • Gustave Moreau -1826-1898- Arts plastiques :

    l'apparition Moreau.jpg"L'apparition" 1876

    "Être moderne ne consiste pas à chercher quelque chose en dehors de ce qui a été fait".

  • "S. ou l'Espérance de vie" Alexandre Diego Gary

    Gary fils.jpgLe Digne récit d'un Fils d'Ecrivain,(Emile Ajar-Romain Gary comme pseudonyme, et d'une  actrice, Jean Seberg). Vrai, captivant, douloureux, émouvant... Géant. Comment survivre après le double suicide de ses parents? Une écriture immensémment riche d'Amour, malgré l'ignominie de l'Absence errante, dont il nous encense par l'émotion qu'il dégage, et nous éblouie de par sa nostalgie sans concession, sans nulle sensiblerie. Chapeau bas à un rescapé de la vie. (Le contraire d'un Beigbeder, concernant son dernier livre), voir ci-dessus.

    "Les mots qui vont surgir savent de nous des choses que nous ignorons d'eux." René Char

    "S'il pouvait penser, le coeur s'arrêterait." Fernando Pessoa

  • Giotto di Bondone 1267-1337 :

    1310 "La Crucifixion-Fresque de l'eglise Saint-François à Assise-

    Giotto - Scrovegni - [35] - Crucifixion.jpg

  • Diego Velasquez à son apogée : 1599-1660

    venusasonmiroir velasquez.jpg"Vénus à son miroir" 1651
    "Vélasquez a trouvé le parfait équilibre entre l’image idéale qu’on lui demandait de reproduire et l’émotion qui submerge le spectateur"  (Francis Bacon)

  • Paul Claudel :


    «Ah, c’est une chose plus enivrante que le vin d’être une belle jeune femme !»

  • Bouguereau, Artiste peintre français du XIXeme

    da6800c4ba0ddb1ebc065b79940e18ec.gif17d20ff091ba3e718cf485b3788f5010.gif4845ffad85e4c0be1a2642ce79079ec4.gifcd9c25f0ff3587795e7c7dfbdf3f4e92.gif45fdfeaf387aa0b8d688b0b5dadf5b99.gife02c49bdf6dfe2a8ef15c95179e6ab99.gifPeintre français du XIX eme siecle, natif de la Rochelle. 1825-1905

  • Conditionnel passé

    J’aurais tant voulu aimer la vie le long des jours sans sursis

    J’aurais tant voulu croire que le chemin était balisé le long de la voie ferrée

    J’aurais tant voulu courir la rage au cœur à la recherche du bonheur

    Mais j’ai remonté  les cols enneigés de mes années dangers

    Et mon état damné me fit déraper

    Les portes se sont closent et les souvenirs explosent

    J’aurais tant voulu te d ire la beauté des choses sans que le pire ne devienne un  empire

    J’aurais  tant voulu te dire l’itinéraire qui fait esquiver les galères

    J’aurais  tant voulu te dire l’amour que je te porte avant que le temps  ne l’emporte

    Mais j’ai perdu la foi et le feu sans flamme dans lequel  je baigne mon âme

    Ne brûle que ma peau où le froid me saigne et me blâme

    Mais le silence est de glace et  tout  me dépasse.

  • Au fil de l'odyssée

    Au fil de l’odyssée dans laquelle mon état faisait sa route

    Je me mis à divaguer sur quelques bonheurs que la vie fait  sans doute

    Étayant un avenir obscur et sans éclairci                    

    Je me mis à écrire et tant pis si le sens s’en trouvât noirci

    La beauté des choses peut souvent prendre le chemin de quelques métamorphoses

    Il n’y a qu’à regarder la beauté des roses !

    Par quelques vers par quelques rimes embellir la déprime

    La décrire au figuré comme au pire, en faire tout un empire

    Pour ne pas tomber dans une oisiveté déferlante écumant mon esprit embué

    Obsession totale à analyser chaque détail éparpillé

    De peur que le non-sens ne croule nonchalamment                                       

    Sur l’âme de mes tourments et ce pour longtemps

    Je pris mon clavier comme punching-ball                                 

    C’était là son onirique et meilleur rôle

    C’était ça l’exaltation suprême pour garder mon emblème

    Ne puis-je découvrir plus vive satisfaction que des mots qui devant moi font des additions ?

    Quel serait le titre qui me servirait d’épitre ?

    Tout ceci n’était au fond que des jours en sursis

    Dans lesquels je baignais mon esprit

    Et ce pour une longue vie

    Car de l’étoile je n’avais que la toile, et si je brillais,  ce fut  par des artifices

    Je ne serai jamais un poète commis d’office.