beauté - Page 3
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Adolph-William Bouguereau -1825-1905- Peintre français académique, inspiré par Ingres :
"La danse" 1856 -
Gustave Moreau -1826-1898- Arts plastiques :
"L'apparition" 1876"Être moderne ne consiste pas à chercher quelque chose en dehors de ce qui a été fait".
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Blog Brigitte Bardot :
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Brigitte Bardot aujourd'hui : Une icone , une légende, une Femme:
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Romy Schneider 1938-1982, Etoile filante :
Le feu finit toujours en cendres... -
"Les Amies" selon Gustave Klimt :
1916-1917 -
"S. ou l'Espérance de vie" Alexandre Diego Gary
Le Digne récit d'un Fils d'Ecrivain,(Emile Ajar-Romain Gary comme pseudonyme, et d'une actrice, Jean Seberg). Vrai, captivant, douloureux, émouvant... Géant. Comment survivre après le double suicide de ses parents? Une écriture immensémment riche d'Amour, malgré l'ignominie de l'Absence errante, dont il nous encense par l'émotion qu'il dégage, et nous éblouie de par sa nostalgie sans concession, sans nulle sensiblerie. Chapeau bas à un rescapé de la vie. (Le contraire d'un Beigbeder, concernant son dernier livre), voir ci-dessus.
"Les mots qui vont surgir savent de nous des choses que nous ignorons d'eux." René Char
"S'il pouvait penser, le coeur s'arrêterait." Fernando Pessoa
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Giotto di Bondone 1267-1337 :
1310 "La Crucifixion" -Fresque de l'eglise Saint-François à Assise- -
Diego Velasquez à son apogée : 1599-1660
"Vénus à son miroir" 1651"Vélasquez a trouvé le parfait équilibre entre l’image idéale qu’on lui demandait de reproduire et l’émotion qui submerge le spectateur" (Francis Bacon) -
Bruno Di Maio, peintre italien né en 1944, l'Homme aux multiples facettes :
"Le portail"
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Paul Claudel :
«Ah, c’est une chose plus enivrante que le vin d’être une belle jeune femme !»
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"Le Temps vaincu par l'Espérance, l'Amour et la beauté"
Simon Vouet 1627 -
Bouguereau, Artiste peintre français du XIXeme
Peintre français du XIX eme siecle, natif de la Rochelle. 1825-1905
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Conditionnel passé
J’aurais tant voulu aimer la vie le long des jours sans sursis
J’aurais tant voulu croire que le chemin était balisé le long de la voie ferrée
J’aurais tant voulu courir la rage au cœur à la recherche du bonheur
Mais j’ai remonté les cols enneigés de mes années dangers
Et mon état damné me fit déraper
Les portes se sont closent et les souvenirs explosent
J’aurais tant voulu te d ire la beauté des choses sans que le pire ne devienne un empire
J’aurais tant voulu te dire l’itinéraire qui fait esquiver les galères
J’aurais tant voulu te dire l’amour que je te porte avant que le temps ne l’emporte
Mais j’ai perdu la foi et le feu sans flamme dans lequel je baigne mon âme
Ne brûle que ma peau où le froid me saigne et me blâme
Mais le silence est de glace et tout me dépasse.
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Au fil de l'odyssée
Au fil de l’odyssée dans laquelle mon état faisait sa route
Je me mis à divaguer sur quelques bonheurs que la vie fait sans doute
Étayant un avenir obscur et sans éclairci
Je me mis à écrire et tant pis si le sens s’en trouvât noirci
La beauté des choses peut souvent prendre le chemin de quelques métamorphoses
Il n’y a qu’à regarder la beauté des roses !
Par quelques vers par quelques rimes embellir la déprime
La décrire au figuré comme au pire, en faire tout un empire
Pour ne pas tomber dans une oisiveté déferlante écumant mon esprit embué
Obsession totale à analyser chaque détail éparpillé
De peur que le non-sens ne croule nonchalamment
Sur l’âme de mes tourments et ce pour longtemps
Je pris mon clavier comme punching-ball
C’était là son onirique et meilleur rôle
C’était ça l’exaltation suprême pour garder mon emblème
Ne puis-je découvrir plus vive satisfaction que des mots qui devant moi font des additions ?
Quel serait le titre qui me servirait d’épitre ?
Tout ceci n’était au fond que des jours en sursis
Dans lesquels je baignais mon esprit
Et ce pour une longue vie
Car de l’étoile je n’avais que la toile, et si je brillais, ce fut par des artifices
Je ne serai jamais un poète commis d’office.