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foi

  • Nous sommes...

    pierre,feu,poème,foi,dieu,amour, félicitéNous sommes la pierre pour nous abriter

    le feu pour nous réchauffer

    et l'amour pour nous y lover

    Nous sommes tous des enfant bénis

    descendants directs du paradis

    des croyants infinis

    ignorants quelquefois, car indécis

    Nous sommes l'amour, le partage et la joie

    le bonheur, la félicité et la foi

     l'humilité et la gentillesse 

    nous sommes tout cela

    des chercheurs de tendresse

    Que cette année soit celle de l'Amour

    celui que rien ne peut altérer

    soyons heureux et le chemin de la vie

    nous mènera droit au paradis terrestre

    pour y faire quelques bonnes actions

    il nous sera donner en récompense

    le bonheur de vivre, et de respirer

    sur terre et sur les océans

    nous aurons alors toujours vingt ans.

     

  • "Avoir la foi, c'est signer une feuille blanche et permettre à Dieu d'y écrire ce qu'il veut." Saint-Augustin

  • Le chemin qui monte aux Cieux...

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    Dieu tout-puissant, je vénère ce que tu es

    Sur mon chemin balisé d’amour

    Je suis la voie que tu m’as dévoilée

    Loin des champs où pousse l'ivraie

    Chaque jour mon cœur est rempli de toi

    Et rien ni personne ne pourrait me faire abdiquer

    Dieu tout-puissant je monte vers toi

    L’âme pleine de joie

    Le cœur empli de Toi

     

    Ton aide, si précieuse à ma vie

    Fait de moi une belle éclaircie

    Dans mon ciel bariolé de nuances

    Je prie pour que s’arrête les errances

     

    Toi, le Très-Haut qui voit tout depuis les cieux

    Jamais je ne me parjurerai, de toi j’en ai plein les yeux

    Ta lumière jamais ne m’éblouie

    Ta lumière a éclairé ma vie

     

    Je ne suis qu’une profane

    Défendant ce qui mérite de l’être

    Je ne suis qu’une enfant

    Répétant tes prières au-delà du temps

    Lisant et relisant sans cesse

    Ce qui de toi a fait ma liesse

    La Sainte Bible est mon aide

    Pour percevoir le grand mystère

    Celui qui  jaillit de la terre

    Et que jamais rien ne précède

     

    L’absolue vérité existe-t-elle

    A l’école de la vie je ne l’ai pas trouvé

    Peut-être ne l’avais-je pas mérité

    Car depuis peu me voilà récompensée

    Mon Dieu telle l’hirondelle

    Je voyage à tire d’ailes

    Par ta force et ton pardon

    Seigneur, voilà toute mon admiration.

    Tous les chemins mènent vers toi

    Tous tes chemins ne sont que joie.

     

    Avec force et humilité

    Mon Dieu, je prierai pour l’éternité

    Car tu es mon unique Salut

    Toi, l’Eternel que l’on n’a jamais vu

    Je ne doute jamais de ton existence

    Car ce qui ne se voit pas se ressent

    Et ainsi passe l’Avent.

     

  • Nourrir sa foi...

    Dieu jamais ne m’abandonne

    Aussi périlleux que soit mon destin

    L’Eternel et sa foi en moi abondent

    Car ma croyanceDieu, nourriture, foi, peinture, rembrandt,art est inébranlable tel l’airain

    Grâce au Très-Haut pour son accompagnement

    Puisque je crois en Vous et en vos serments

    Puisqu’à part mes images et mes écrits

    Le silence ne finit pas de rentrer dans ma danse

    Quel bonheur de vous porter dans mon cœur

    Je ne connais que la bonté

    Celle que Vous m’avez donnée.

    Grâce à vous et à Jésus

    Dans ma vie je ne marche plus nue

    Vêtue de Vous, digne je serai, jusqu’au bout.

    Merci Seigneur d’avoir accepté mon cœur.

  • Conditionnel passé

    J’aurais tant voulu aimer la vie le long des jours sans sursis

    J’aurais tant voulu croire que le chemin était balisé le long de la voie ferrée

    J’aurais tant voulu courir la rage au cœur à la recherche du bonheur

    Mais j’ai remonté  les cols enneigés de mes années dangers

    Et mon état damné me fit déraper

    Les portes se sont closent et les souvenirs explosent

    J’aurais tant voulu te d ire la beauté des choses sans que le pire ne devienne un  empire

    J’aurais  tant voulu te dire l’itinéraire qui fait esquiver les galères

    J’aurais  tant voulu te dire l’amour que je te porte avant que le temps  ne l’emporte

    Mais j’ai perdu la foi et le feu sans flamme dans lequel  je baigne mon âme

    Ne brûle que ma peau où le froid me saigne et me blâme

    Mais le silence est de glace et  tout  me dépasse.