Ci dessus : Une des trois chapelles
Ci- dessous : Le Christ sis en hauteur sur la colline qui surplombe le domaine religieux.
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Ci dessus : Une des trois chapelles
Ci- dessous : Le Christ sis en hauteur sur la colline qui surplombe le domaine religieux.
"Daigne le Dieu de notre Seigneur Jésus Christ, le Père de la gloire, vous donner un esprit de sagesse et de révélation, qui vous fasse vraiment connaître ! Puisse-t-il illuminer les yeux de votre coeur pour vous faire voir quelle espérance vous ouvre son appel, quels trésors de gloire renferme son héritage parmi les saints, et quelle extraordinaire grandeur sa puissance revêt pour nous, les croyants, selon la vigueur de sa force"
Eph 1, 17
Façade à deux tourelles
Saint-Pierre
"La mise au tombeau de la famille des galliens" 1431
Photos Valérie Bergmann
Avant 1885 Musée des Beaux-Arts du Canada
Parvis de l'Eglise du Château de Grignan vue de l'intérieur...
Dieu, je viens jusqu'à toi demander ta clémence
Certes, si je n'ai pas toutes tes connaissances, ton savoir
Merci de m'accorder ton pardon, ton bon vouloir
Toi pour qui je m'agenouille sans honte ni façon
Dans toutes les Paroisses et les Eglises que je croise sur ma route
Avec amour et dévotion sans nul doute
Je te suis et implore ton écoute, ton absolution.
Ainsi soit-il.
Eglise construite en 1830. La première pierre fut bénie le 8 juillet 1838.
Photos Valérie Bergmann
Le jour où Elle s'en ira rejoindre le royaume des chiens devenus ange
Ma vie continuera mais avec une moitié de moi en moins
Le Bon Dieu, lui seul décidera de la puissance de mon chagrin
Depuis les Cieux, au travers des nuages
Je devinerai alors les clins d'oeil
D'une chienne faite Humaine
A force de tant de "je t'aime"
Dont je la nourrissais chaque jour
Pour Toi, Kristal mon Amour.
Faiseur de beautés, créateur pour amateur de charme éclairé, cette photographie est un appel à la frugalité des temps modernes. Plus rien n’a d’importance. Le temps d’un instant enchanteur où le ciel reflète un état d’apesanteur, dans un éclair, léger et fort à la fois, la voie du Seigneur s’agite avec ardeur, tout est clair, limpide et lumineux. Le plaisir des yeux est en faction, il vous illumine, vous transporte dans une seule et unique voix. La voie céleste délicieuse et miraculeuse d’une luminosité qui n’en finit pas de vous enlacer dans ses rayons d’où l’on devine et ressent une chaleur lointaine et le chant des sirènes. Sensualisme à volonté, le temps fait sa dictée, il s’exprime de tous ses prismes. Il n’y a pas de faute, pas besoin de corrigé, le merveilleux a parlé. Le soleil se montre, un court instant, c’est le chant des océans qui se déploie, dans un ciel enchanté, juste le temps de décrire son essaim, volubile et si fin, si délicat. Oh oui, enveloppe moi de ta lumière divine, celle qui fait de moi sa cariatide, me jette dans le vide, un vide sans fond, loin des dangers de la facilité. Le vide des émotions funestes, j’aperçois à l’horizon, le dessin de ta création. Je prends alors mon stylo, et tente de voler haut, très haut, à côté des nuages, du soleil et de son ramage. Je suis la vie qui m’incendie, un instant de folie contrôlée, et je m’élance du grand escalier, celui qui monte au paradis, ou descend en enfer, qu’est-ce-que cela peut bien faire ? Lorsque le divin vous ouvre ses bras, s’abandonner à sa loi, et se laisser nimber de ses bras imprégnés de force tranquille, loin des impures pensées. Dieu, le Très Beau n’appartient qu’à toi, tu es la majesté, l’empereur, le magicien, laissant tomber furtivement quelques flocons neigeux, lumineux et feutrés, le temps est à notre portée. Le temps n’est qu’un siècle qui se serait égaré, dans le plus généreux des hasards passés. La nature doit être visitée, sans cesse, s’imprégner de toute sa beauté, et garder dans son cœur les trésors que forme le décor. La magie des images, au fond des yeux, la jeunesse des cieux qui tous les matins du monde se refait une incroyable beauté et se farde d'éclairages, le feu du ciel vient de faire son entrée. L' Impétueux et magistral côté astral.
Que Dieu Tout puissant entende mes prières
Qu’il illumine le Verbe et la Foi
Que je reste toujours moi-même
Celle qui dit souvent "je t'aime"
Que Dieu vers qui j’avance à grands pas
Soit le témoin de mes dires
Même si je ne suis que simple sbire
Que Dieu entende ma prière
Celle de rester vivante le plus longtemps possible
Qu’il m’accorde ce à quoi je suis utile
Qu’il fasse de ma vie un endroit où il fait bon vivre
Par delà les montagnes, les vallées, les prairies,
Qu’il fasse de moi une éclaircie,
En ce jour de l'Epiphanie
les Rois mages m'ont distribué de sublimes images
L’amour au bord des yeux
Me transporte à chaque vision des cieux.
Cherchant dans le ciel quelques stratus, je m’étonnais devant une étrange similitude : Les nuages semblaient être d’énormes vagues tourbillonnantes dans une mer déchainée. Les cieux étaient un vaste océan dans lequel se profilait une tempête. Le ciel est véritablement un tableau aux couleurs variables et exquises quelque soit le temps, quelque soit la lumière, quelque soit la saison. Les ombres scindaient le ciel en plusieurs parties, Je contemplais dans le froid cette immensité intégrale, dans laquelle les ressacs de la mer fictive se mélangeaient aux ténèbres attractives. L’anthracite embrassait le gris perle, fusionnant avec un noir presque pur où le blanc argenté embrassait des tons pâles et pourtant lumineux du miracle de la vie. La passion de la description me poussait à persévérer dans la contemplation. Tout avait son importance, le royaume de Dieu est un univers qui semblait s’ouvrir devant mes yeux. La lumière grise recouvrait la région, et mon humeur ne cherchait pas le beau temps. La brume, le brouillard et le gris du ciel suffisaient à faire renaître d’autres émotions. J’étais sous le grand chapiteau de la vie, dans une contrée où le ciel avait une grande importance, et semblait recouvrir les plaines, ou du moins les faire émerger au second plan du panorama.
Ce que je vous dis n’est qu’un grand silence déployé. Mais dans l'antre de mes dires, je ressens le besoin impulsif de vous emmener au clair de mes ballades, dans un désir infernal de brûler d’un amour infini dans lequel je noie les soucis... Il n’est pas bon pour l’homme d’être seul, ce n'est pas moi qui le dit, mais ma solitude n’est que partielle, le temps pour moi de parler avec moi-même, et par extension avec vous-mêmes, puisque sans vous tout cela serait sans intérêt.
Lorsque l’on partage les mots que l’on pose sur les choses, le regard dans les cieux est le socle nous reliant, sans que nous nous en apercevions vraiment. L’univers est un support où j’écris tout azimuts, comme lorsque j’écoute sans faire de style, sans prétendre aimer ce que je n’aime pas vraiment, Bach, Haydn ou Brahms. Non, ce n’est pas moi, la richesse de la vérité ne me coûte que de la fatigue. Celle que j’oublie dès que l’inspiration se décline infiniment sur du papier ou sur un écran, je sens monter en moi une explosion d’amour, un rapport lunaire et solitaire dans lequel je m’affaire et nous transporte de l’autre côté du miroir. Narguant le reste du monde, celui auquel je me soustrais, le monde des affaires et des gens intelligents, le jeu de mot est un leitmotiv dans lequel je noie mes chagrins, vous faisant un signe, un signe de mes mains. Solennellement, je suis sur le chemin de la vérité, je ne suis qu’après avoir écrit. Avant, je ne suis qu’une ombre vagabonde, cherchant en vain à exister. Alors, j’ai vite compris qu’il fallait chaque jour vous écrire, vous envahir d’images, vous engluer dans le monde étrange de l’expression jubilatoire. Je ne parle que de choses qui peuvent servir à rendre les gens plus heureux, plus ouverts à l’harmonie des mots dont j’essaie de jouer de manière juste, de manière vraie.
Photo Boris Dumont "L'escalier qui monte aux cieux"
Je me rends compte à l’instant, que je pris comme entrée en matière le mystère du ciel, et que nous nous retrouvons beaucoup plus loin, dans un océan d’amour où je tente de vous faire imaginer la musique qui inspire et sur laquelle je peux écrire. Aujourd’hui je navigue sur les ondes du grand Beethoven , plus précisément, la symphonie numéro 5, en adéquation avec le jour, le temps et l’atmosphère. Tout n’est que splendeur et grandeur quand on le veut, quand on y croit, se laisser porter inlassablement par l’étrange plénitude des images, de la musique et de la littérature. Dieu est au dessus de tout et je partage avec Lui les grandes choses de la vie, les accalmies, c’est Lui qui me les dit, m'en envahit. Je n’invente rien, je traduis, j’interprète, je décris. Savoir si cela sonne juste, je ne peux qu’espérer, dans le grand tumulte des remises en questions quotidiennes.
Unir ce qui s’assemble avec naturel, les mots, la musique qui palpite, le cœur sans limite. Vivre de la contemplation demande une force céleste dans laquelle je me déleste, dans laquelle je m’invente, et me réinvente à chaque aube naissante. Sonata Numéro 14, Beethoven toujours, le piano accompagne les silences de mon cœur. Les entendez-vous ? Ils se promènent dans l'inconstance des flots gris du jour qui s’enfuit.
Palette de couleurs, à jamais dans mon cœur ne se soustrait…
Mon âme exprime sa vision colorée sur les cieux azurés qui s’enflamment, dès lors que mes yeux le réclament. Les tons sont donnés, les teintes, jamais éteintes, toujours en fusion, sans jamais de confusion, s’abandonnent au hublot de mon bijou à création, parfaite palette d'esthète, dont je ne suis que l'interprète. Le sublime, l’ocre, les bleus, l’écarlate, le turquoise radieux, jamais ne ternissent l’ardoise d’un ciel sur lequel indéfiniment, je m’épanche avec attention. Les pierres précieuses ont pris modèle sur le grand tissu de la vie. Le saphir et le rubis, l'émeraude, le turquoise et l'aigue-marine sont les gardiens du temple où le précieux se décline, là où les dieux gardent jalousement une kyrielle, une mine d'ocre et de nuances savamment éclairées.
Je mélange passion et beauté, dans la clarté d’un ciel en érection dès le lever du jour, le ciel à toujours ses raisons. Une éclaircie serait presque une hérésie. Il est à lui seul un avantage de beautés sans âge, forces de la nature qui fait que rien ne dure, exceptée la beauté que Dieu nous fait partager selon ses humeurs ; les nuages changeant de couleurs au rythme éclaté que le soleil veut bien leur donner. Au rythme du vent, au rythme du temps, au rythme des saisons, arc-en-ciel à profusion. Les cieux sont condamnés à la plus belle des couleurs. Leur palette est celle d’un artiste peintre, un maniériste, un impressionniste ou un romantique, tous les courants picturaux en sont les témoins, celui qui quelquefois joue du clair-obscur, sans jamais n’user de teinture. C’est une peinture sans peinture, un tableau sans artiste, le ciel est la plus belle et la plus grande toile que l’on ne finira jamais d’enluminer. Il n’y a plus qu’à lever les yeux, et contempler les cieux, où le splendide courtise le radieux, et flatte le chevalet des dieux.
Nous sommes la pierre pour nous abriter
le feu pour nous réchauffer
et l'amour pour nous y lover
Nous sommes tous des enfant bénis
descendants directs du paradis
des croyants infinis
ignorants quelquefois, car indécis
Nous sommes l'amour, le partage et la joie
le bonheur, la félicité et la foi
l'humilité et la gentillesse
nous sommes tout cela
des chercheurs de tendresse
Que cette année soit celle de l'Amour
celui que rien ne peut altérer
soyons heureux et le chemin de la vie
nous mènera droit au paradis terrestre
pour y faire quelques bonnes actions
il nous sera donner en récompense
le bonheur de vivre, et de respirer
sur terre et sur les océans
nous aurons alors toujours vingt ans.