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marseille

  • Ils ne sont pas humains ces gens là...

    1. Brd des corneilles

    Il est bien loin ce Brd de l'oisiveté
    Qui regarda passer de nombreuses années de ta vie à l'ombre d'un soleil caché mais pourtant bien présent avec le recul du temps passé
    Mais les corneilles avaient vieilli
    Et s'étaient avilies...
    Ils ont vendu le nid que ceux d'antan avaient si soigneusement mis de cotè , protégé, pour leurs descendances
    Vous n'avez pas d'atténuantes circonstances
    L'attrait financier a balayé d'une signature infâme ce qu'il y avait de plus sacré dans votre âme
    Et la mémoire égarée vous avez tout gâché pour aller vivre en d'autres lieux bien moins sacrés
    Respirer loin des cieux de votre enfance et fait fi du seul être qui vit partir un à un ses aïeux sur l'autre rive
    Et depuis ce, elle dérive loin des étages jadis occupés de sa maison, ce Marseille perdu dans ses nostalgiques pensées ....

  • Marseille, enfin un bon règlement ...

    A Marseille, une ordure au nom de Farid Ghilas a été condamné à un an de prison ferme pour avoir fait subir des atrocités sur un être sûrement bien plus vivant que lui, un chat.

    Que cela serve de leçon! Voilà ma prière: car lorsque l'on est capable de barbaries sur un animal, on l'est forcément sur les humains, encore faut-il en avoir le courage !!!

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    Je remercie la justice aux noms de tous mes amis, les animaux.

    Valérie Bergmann

    ps : Bravo à Antoine Decaunes de ne pas avoir hésiter à traiter cette ordure de CONNARD, à l'antenne de Canal + !

  • La plus haute tour à usage de bureaux de Marseille (147 mètres)

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    Photo Valérie Bergmann

  • Passage à Marseille

    Marseille, Port, ville, mer, monde, rues, voitures

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    Je ne reconnais plus cette ville où jadis je vivais avec passion...

    Pollution, foule, la Nature me manque déjà.

  • Cathédrale de la Major :(Suite) Voir dernier album photos

    Son architecture est grandiose, sa décoration intérieure, en marbre et porphyre, lui donne un aspect particulier pour un édifice religieux.

    Elle a été érigée en basilique mineure par Léon XIII le 24 Janvier 1896.

    Depuis le Vè siècle plusieurs édifices religieux se sont succédés à cet emplacement.

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    La cathédrale, dite de « la nouvelle Major » s’élève à l’ouest des vestiges de l’église romane dite de « la vieille Major ». Mais les destructions et les fondations nécessaires à l’implantation de la nouvelle cathédrale ont par ailleurs révélé l’existence d’une troisième église paléochrétienne et d’un baptistère établis sur le même site : ainsi peut-on parler des cathédrales de Sainte-Marie-Majeure dite la Major.

     

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  • La raison de ma présence à Marseille...

    Aujourd'hui vendredi 25 novembre,  je suis sur la route pour me rendre à l'hôpital de jour, celui de Ste marguerite, à Marseille.  Mon mari conduit, il est comme toujours impassible. Quelle chance! Quant à moi, la peur m'envahit, j'ai très mal au bras gauche, j'ai déjà fait des mini infarctus, j'ai peur, oui, pour la première fois, j'ai peur de mourir... Mon Dieu, Vous le Tout-Puissant, "pitié", laissez moi encore un peu de temps. Du temps pour passer avec mes animaux, surtout que nous venons d'acheter une ponette, (je vais la nommer Bobine!) Elle arrive mardi, serais- je encore vivante d'ici là? Oui, il ne peut en être autrement.  Le ciel peut attendre encore un peu, il sait combien je l'aime, le ciel, chaque jour nous avons rendez-vous, vers la fin de l'après midi, quand il descend, quand il décline, c'est à ce moment qu'il est le plus beau. Lorsqu'il se cache derrière les collines, il me tend ses rayons comme des tentacules voulant juste m'effleurer. Alors j'immortalise ces instants avec mon i phone. Les couchers de soleil ne sont jamais les mêmes, ils varient , selon la couleur du ciel. Allez, je m 'allume une cigarette, j'en ai envie. Depuis ces quelques mois., il faut que je la déclenche cette envie, par de la morphine ou de la codéine qui m'aident à ne pas trop souffrir. Parfois je prends même un dafalgan  codéine, alors la cigarette est meilleure. On peut dire que je l'aurais bien cherché la mort, de toute façon, elle est présenté en chacun de nous, prenant de l'ampleur à chaque secondes qui passent. Chez  moi, elle est installée depuis maintenant plus de vingt cinq ans, alors je me sens un peu immortelle, oui, mais moins depuis quelque temps. C'est cela qui me fait peur, m'inquiète,  m'angoisse. C'est terrible l'angoisse, elle vous dévore, vous happe, vous maltraite avec ardeur. Je ne dois pas avoir peur, car comme dit Montaigne "Qui craint de souffrir, souffre déjà de ce ce qu'il craint."

    Alors,  pas d'affolement. L 'art est très précieux à ma survie. Les classiques surtout.

    Représentation intégrale de mon état, puisque les peintres, poètes, philosophes,ou écrivains auxquels je suis particulièrement attachée, ont cassé leur pipe depuis longtemps. Passéiste totalement partielle!

    Je me dis qu 'il est possible qu'ils m'appellent.  À force de les faire revivre, ils se seraient concertés, concernant mon arrivée dans un éventuel au - delà. Mais je dois déraisonner, je suis très forte à ce jeu là.  De plus ma grand-mère vient de s'éteindre il y a un mois.  Et si elle me voulait à ses côtés? Mais, qui pourrait le dire'? Ce ne sont que des suppositions.

    Je sens que ça va mieux. Le soleil, mon meilleur ami est au zénith en descendant  vers Marseille, puis écrire me fait du bien.  J'exulte. Je prie Dieu, et la Bonne Mère de m'octroyer quelques années supplémentaires, s'il vous plaît Monsieur l'Eternel, ne m'abandonnez pas, pas encore. Je fais le vœu de vivre encore cinq ans, pas une année de plus... promis, je serai sage.  Très sage, que j'aille en enfer si je mens.  Plus sincère,  ce n'est pas possible. Je porte le crucifix que maman à fait bénir par le curé de Notre Dame de la Garde.. Me gardera- t- elle, et si oui, encore combien de temps?  Je prie,  je nourrie ma foi, mon àme, tout ce que je peux   Je prie in petto, à tue- tête ...  Je ne conçois plus ma vie sans la prière...

    Me voilà à l'hôpital, dans ce que j'appelle l'abattoir, il y'a quatre personnes devant moi. J'apprends la patience, armée de philo magazine, ou de beaux-arts magazine, je n'en fini pas de fuir.  Tout pour ne pas voir alentour. J'écoute France culture, " la science publique" est l'intitulé de l'émission. Je remplis presque tous mes sens afin de ne pas perdre, le sens de la vie.

    La culture, toujours.  Ce n'est pas une question de quête du savoir, oui, cela en est un peu, je mens, mais c'est également un besoin de connaître davantage le monde tel qu'il est représenté à l'heure d'aujourd'hui.  Corpus personnel.  Même si je sais qu'on ne sait jamais.  Au plus j'avance dans l'âge, et malgré de nombreuses lectures dans multiples domaines,  je sais que mon savoir est infime, une poussière de l'étoile dans le ciel des connaissances.  Je mets tout en œuvre afin d'avancer, mais souvent je dois courir après ma mémoire.  Mon traitement me joue des tours de passe-passe, comme la concentration qui parfois, est réduite à zéro.  D'où , les fautes  en orthographe, que je fais parfois. Le nom des tableaux, celui des artistes me font parfois défaut, et j'exécute toutes les tentatives afin d'y remédier.

    En attendant mon tour, je continue d'exister, je suis, même si mon "je"est un autre, pour l'instant il est bien à moi.  Je prends une photo de la salle d'attente, cet endroit est très hygiénique, décoré de tableaux à bas prix, mais le calme est présent, c'est le plus important. Certains patients semblent sereins, d'autres beaucoup moins. Les regards se cherchent, se scrutent. Nous communiquons en silence, tous dans le même tableau, réaliste, hélas.

     

     

  • A ce jour...

    Cathédrale de La Major

    chapelle, marseille, vielle charité, monument, art, beautéJe vous proposerai toutes les splendeurs intérieures dans un album, très bientôt. Ce monument déborde de  trésors inconnus du grand public, moi-même, je n'étais jamais entré dans ce sculptural édifice, à l'instar de pas mal de marseillais, et vraiment, cela en vaut le détour. Beaucoup de jeunes se promenaient humblement; je discutai avec pas mal de gens, à mi-voix.

    Icônes, (mes sacro-saintes peintures), Jésus, statues, Saints, autel, perspectives, plafond, Vierge Marie,  porte d'entrée, voûtes, furent autant de trésors à portée de ma vue, c'était surréaliste. Ce fut un instant merveilleux, magique. Je n'étais qu'un oeil grand ouvert, ne sachant plus où poser mon regard, en haut, en bas, de côtés, tout me happait. Je fus durant presque une heure, transportée dans un passé digne d'un film de Woody Allen. J'étais hors du temps... Quelle délicieuse sensation!

    Comment avais-je pu passer à côté de ce chef-d'oeuvre architectural sans m'y attarder? Je connais la réponse et vous la raconterai tout-à-l'heure.

    Les vitraux sont les seuls clichés, à l'exception d'un seul, que je n'ai pu capter, la luminosité du soleil étant trop forte. A l'extérieur le soleil était à son apogée et le ciel d'un bleu uniforme.

    Avant de quitter la Cathédrale, je fis un souhait, pendant que je m'aspergeais délicatement d'eau bénite : Celui d'un monde meilleur, à défaut d'être parfait.

    Quelque chose me frappai : Une jeune et jolie femme voilée était en prière, assise, elle me souriait, je prenai alors cela comme un signe de bon augure... Je n'osai pas (en lui demandant l'autorisation, évidemment) la photographier, je le regrette...

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  • Vitrail de la voûte, chapelle de Notre-Dame-de-La-Garde

    Cette nuit je rêvais d’images pieuses, de chapelles, de vitraux. Je venais de lire un petit missel à propos de la Sainte Vierge Marie, de la béatitude et de son Humilité. Je me retrouvais alors comme transportée, sereine, heureuse.

    Comment avais-je pu passer au travers de tout cela, durant toute ma vie ?

    Le Seigneur ne cessait jamais de m’accompagner, et ce,  jusque dans mes songes. Quelle joie de se laisser aller à cette douce musique, à la faveur de la Sainte Famille.

     

    « La vie en Jésus est un paradis et la vie unie à Jésus en est le chemin. »

     

    Cette sentence résonne en moi pour l’éternité. Le Christ accompagne chacun de mes pas. Il est mon guide,  au-delà de mon imagination ; je ne ressens plus la peur, mais que du bonheur, de l’extase. Tout cela me délivre de mes pêchés antérieurs, moi,  qui m’étais égarée. On m’a ramené à la vie. Mes croyances sont si intenses et si vraies, que je ne craindrai pas la mort des êtres si chers à  mon cœur. Le jour où il me faudra quitter ce monde, mon dernier souffle de vie sera pour Jésus-Christ. L’ancien serpent a épuisé toute ma malice. La bonté du Créateur se répand en mon âme, comme un début de sainteté. L’orgueil ne pourra plus menacer mon esprit ; la Vertu, elle seule me permet d’avancer dans mes choix. Je connais mes lacunes, et, ce monde spirituel est à mes côtés pour y remédier.

    La bienheureuse Vierge Marie est mon modèle, Elle m’initie aux exercices des vertus qu’elle a pratiquées avant d’obtenir la perfection.

     « Apprends-moi que je suis doux et humble de cœur ». Voilà ce que son divin Fils adressait à tous ses disciples. Je dois malgré tout me considérer indigne des grâces du Seigneur. Nous devons tous les jours notre reconnaissance au Très-Haut, il ne faut jamais l’oublier. Nous devons nous renouveler dans la lumière que nous avons reçue. Beaucoup de respect et de révérences sont nécessaires. L’humilité qui rehausse toutes les vertus a sa règle dans l’obéissance.

     

    La prière quotidienne est fondamentale. Soyons heureux, chaleureux et vertueux. Pendant qu’il en est encore temps. Plus le chemin sera difficile et semé d’embûches, et plus il nous faudra prier, et avoir foi en la bonté des Hommes. Là, réside la plus grande difficulté…

     

    Photo Mireille Girardvitail, voûte, chapelle, notre-dame-de-la-garde