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monde

  • Un shoot littéraire !

    Un livre remue méninges ! On aime ou pas, selon son état d'esprit, ses hérédités, ses dépendances, soit ! Mais il faut savoir et reconnaître le don d'avoir du style. Entendre style littéraire, ce qui est déjà pas mal...

    Une gallerie de personnages perdus dans un monde que l'on connait bien, puisque c'est le nôtre ! Même exilé, on ne peut y échapper, les spots d'information nous maintiennent la tête dedans, de toute façon. A moins de ne plus vouloir se connecter avec tout appareil numérique, on sait ce que les années 2000 ont de ravageur pour l'humanité qui se déshumanise jour après jour et que je ne like pas du tout, pas plus que je ne la follow...

    Merci Virginie, de nous rappeler que tout va mal (très mal), que les jeunes ont l'empreinte de notre hérédité et de nos folies de jeunesse, que l'on a tous quelque chose de démoli en nous et que patati et patata... J'avais failli oublier... Perdue volontairement dans ma campagne, je ne m'attendais pas en vous lisant à m'en (re) prendre plein la gueule. C'est bien écrit, je pourrais dire, si j'avais les moyens d'être  critique littéraire, mais je ne suis qu'une liseuse attentionnée et qui aime bien rêver. Pour le coup, c'est raté. Bref, il me fait mal ce livre, car il dérange mon coté "repentie de la belle époque." La page que j'avais eu tant de mal à tourner, vous venez là me la mettre en pleine gueule. Aie ! Vous auriez pu prévenir avant d'entrer dans mon cogito... D'accord, il fallait s'y attendre, le titre de l'ouvrage ne laisse rien suggérer de très "propret", mais quand même ! Vous êtes pire que moi, dans l'excès, pas de demi mesure, jusqu'au-boutiste, là, bravo ! J'ai acheté le tome 2. Donc, je suis sensée en redemander... La peur du vice ne s'éteindrait-elle donc jamais ?

    J'espère que ce Vernon, héros numéro un de vos histoires ( puisqu'il y en a plusieurs), va bien finir par remonter à la surface, polluée, je vous l'accorde, des pseudos vivants, Bobos compris... A notre âge, ce n'est plus raisonnable, un peu de vertu serait de mise, si peu, mais quand même!!! Il le faut, on doit s'en sortir, la mort est bien trop en avance, n'est ce pas? Si quelques survivants peuvent vous lire, c'est qu'il y a de l'espoir dans l'air, non ?

    Bon, allez, je vais faire un break, mon coeur est fragile en ce moment, avec du Sollers, et de l'art comme s'il en pleuvait, puis je reviens chez vous, Virginie, poursuivre ma déconvenue dans les méandres de l'histoire dans laquelle vous avez noyé vos personnages insensés, comme on les a aimés. A moins qu'on les aime encore. Allez, vous m'avez gonflé, je vous embrasse, si je peux me permettre, bises!!!

     

  • Ce que je pense ...

    article,injustice,avortement,homophobie,euthanasie,monde,vie,mort,folie,bêtise,gouvernement,manifestations,partis,ignoranceSi mes aïeux voyaient ce qu’il se passe dans le monde, ils se retourneraient dans leur tombe. Mais quel est ce monde dans lequel nous vivons ?! Je me relis et je trouve cette phrase digne de mes grands-mères, parenthèse...

    La montée d’un parti d’ignorants car ignorés jusqu’à lors, l’extrême droite, des manifestations d’arriérés mentaux, prêchant la bonne parole au nom des fœtus, on régresse, l’homophobie contre les homosexuels, polémique qui n’est qu’en fait le reflet de leur propre dégoût de frustration. Comment peut-on se mêler des « affaires » des autres quand on voit des couples d’hétéros massacrer leurs propres enfants !!! Non, mais je rêve ? Hélas, non.

    C’est  pas fini, tous ces pisse-vinaigre, ne sachant plus pour qui voter,  traînants leur méchanceté, à gauche, au centre, à droite, puis extrême droite, pour finalement s’allier au banc des extrêmes-extrêmes droite. Ont-ils un cerveau ces gens -là ? J’en doute. Ce qui est effrayant,  c’est l’ignorance dont ils semblent faire preuve ; Rabelais disait très justement de l’ignorance qu’elle est mère de tous les maux, quelle justesse ! Tous ces néo-fascistes profitant de la crise pour brandir des étendards plus pourris les uns que les autres, que savent-ils de l’Histoire la plus horrible de l’humanité ? Ou préfèrent-ils bêtement la haine à l’entraide ? Comment des gens d’un âge avancé peuvent-ils adhérer à cela ???

    Ah, j’allais oublier, la cerise sur le gâteau, le droit à l’euthanasie… Je suis chrétienne, mais cela ne m’empêche pas de refuser la souffrance. Quand la douleur physique  fait de vos jours un enfer permanent et sans espoir, qu’attendent les malades à part s’endormir  à jamais ? Une autorisation ? Mais on est en 2014, et chacun a le droit de disposer de son corps, ou pardon, devrait être en droit, tout simplement.

    La réponse à tous ces sujets me semble si évidente que l’incompréhension me submerge, et me révolte dans un même temps.

    Mais, moi n’est pas le sujet. Il s’agit de Nous, les citoyens d’une France que je pensais libre avant que certains viennent ternir son image de libérale.

    Je nous souhaite malgré tout, un retournement de situation, et ce, le plus promptement possible, et pour finir, que la presse à scandale aille écrire leurs saloperies ailleurs !Le mal qu'ils font pour du blé me donne la nausée... Pour le coup, j’en deviendrais vulgaire, non, juste vraie.

     

    V.B

  • "Le centre du monde" ...

    Au-dessus du village de La -Baume -Corniliane, petit village drômois avec la chaîne du Vercors comme référence, se dresse un rocher, La Pangée. Le Troisième Supercontinent. Ce nom signifie l’assemblement de tous les continents : Eurasie, Indes, Amérique du Sud, antarctique Australie et Afrique.  En Français le « Pangée » est,  dans sa traduction littérale « tout-le-terre ». C’est Alfred Wegener qui a donné ce nom.

    Il y a environ 250 Millions d’années, cet endroit était un Océan, le seul et l'unique sur terre. Ce mur de pierres est le symbole du centre du monde. Étonnant !

     

    La Pangée se forma dans la période du Carbonifère, et se termine au début de la période Jurassique, soit 300 millions plus tôt.

    Le dit Symbole, ci-dessous :

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    Ruisseau du Tisserand

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    Photos Valérie Bergmann

     

  • Info (Réécrit... car erreurs de manipulation)

    Sachez que si une ou plusieurs de "mes photos" (je précise, "mes", entre guillemets, puisque la nature n'appartient à personne, pas plus que tout ce qui est architectural), vous intéressent, il n'est pas besoin de me demander une quelconque autorisation.

    Un blog, doit être d'utilité publique. Pour d'autres images de peintures, sculptures, célébrités ou autres, également, puisque moi-même, il me fallut les trouver quelque part. Certains m'ont refusé une vidéo, si c'est comme ça qu'ils conçoivent le web, ce n'est pas mon avis. Vive le partage virtuel, c'est un minimum!

     

    Valérie

    PS: il n'est pas besoin d'imprimer sur la photo, au risque de la dénaturer : "Fond d'écran" ! Déconcertant...

    Il suffit juste de préciser le nom de l'auteur.

     

     

     

  • Passage à Marseille

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    Marseille, Port, ville, mer, monde, rues, voitures

    Je ne reconnais plus cette ville où jadis je vivais avec passion...

    Pollution, foule, la Nature me manque déjà.

  • Pas d'image.

    Le baromètre affiche fièrement ses moins dix degrés, expression de la vie, réveillant ce qui était jusqu’ici  endormi. Rares sont les instants où la nature vous croque à pleines dents. Sa morsure est aussi offensive que des crocs d’animal félin. Le corps s’ankylose, se raidit, c’est la vie qui sourit  depuis la banquise, de nous voir si affaiblis quand les saisons jouent à juste titre, leur premier rôle.  C’est la dérive des continents, l’autre côté de la rive, de l’autre côté du globe.

    Le gris du ciel est uniforme, pas la moindre subdivision, le spectacle est dans la tête et dans les cœurs des animaux, à la facilité d’adaptation attrayante.  Leurs poils sont si condensés que rien ne semble pouvoir  les transpercer. Ils ont l'air surpris de nous voir déguisés en Inuits, de quel drôle d’accoutrement sommes-nous affublés ? Leur odorat est une arme pour nous identifier. Méconnaissables, nous sortons qu’en cas d’extrême urgence, au  moment de ramasser le crottin des chevaux, à l’heure du repas, là je n’y échappe pas, c’est à l’extérieur que ça se passe. Par ce temps, les livres sont des amis très intimes, les mots, les images sont infiniment plus prolixes que le froid qui vous dévore, et s'immisce en nous sans la moindre pitié !

    Pauvres êtres humains que nous sommes, qui par une température extrême, se sentons menacés, violés par un temps qui n’est rien de plus qu’un hiver, un véritable hiver, celui qui mérite le nom de saison. Jusqu’ici nous avions connu des ersatz d’époques. Il est temps d’appréhender les gerçures, celles qui nous épurent, nous lavent le corps et l’esprit. L’âme se révèle par cette fraction de temps. Froideur, gel, glace, verglas, givre, frimas, s’immiscent dans un opéra "roc" de glaciers farauds, c’est l’écume du temps qui culmine au clair gelé d’un hiver fortement exclamé. La Nature prend sa revanche, c’est elle qui mène la danse, la chorégraphie des glaçons, l’arctique est la scène du spectacle.  Nous devenons des manchots avec nos duvets sur le dos. Les bouts de nos nez ont rougis, les doigts se sont engourdis, par un vent cinglant et siffleur. Ah, la menace de la glace, le tourbillon des glaçons, le cinéma des patinoires de verglas, la farandole de l’autre pôle ! Les champs hésitent entre neige et terre, l'avantage de la mélasse. Tout cela depuis la fenêtre, je suis l’Homme dans toute sa fébrilité. Un instant, j’ai presque honte en pensant à tous ceux qui n’ont pas d’abri. Quel temps pourri, c’est insupportable de savoir que quelques millions d’individus se tordent dans les rues, et, sous les ponts,  quartier résidentiel de ceux à qui la vie n’a pas dit oui. Les malheureux, les maudits, les sans abris croulent sous le poids des éléments naturels. Rappelez moi quel siècle nous sommes, pour voir si le passé est dépassé. Je vois que non, les temps modernes n’ont rien apporté comme bonne nouvelle, nous ne faisons pas mieux que lors des temps moyenâgeux. La technique et sa constante évolution n’ont plus de raison d’être quand les gens meurent de froid, moi, j’ai le cœur qui pleure. Au diable, les vers, la littérature, les jolies phrases n’ont plus la même résonance puisque des gens crèvent sur terre, l’intelligence n’a plus qu’à se taire.

  • Contrastes...

    "Le pont japonais sur le bassin aux nymphéas" Claude Monet 1899Monet, génie, peintures, art, regard, monde

    De 1883 à 1926, année de sa mort, Monet vécut à Giverny, il décora son jardin de nénuphars et fit construire ce petit pont à l'accent japonais.

    Cézanne disait à son propos que c'était qu'un oeil, mais quel oeil! Cette constatation résume très bien le regard que Monet posait sur la nature, qui n'en finissait jamais de l'inspirer. Car la nature est si belle qu'il n'y a pas de limite à la description, qu'elle soit littéraire ou picturale. Chaque jour, c'est un moyen d'évasion, loin de tous les bruits stridents de la cité. Bien que la ville soit parfois un lieu agréble, par ses monuments, ses cathédrales, dans lesquelles on peut s'y ressourcer, faut-il encore qu'elles soient ouvertes...Dans le cas contraire, pour celui qui n'a pas le sou, que reste-t-il? Transition :

    J'en arrive à un sujet qui me tient à coeur, celui actuel d'une majorité de Parisiens qui n'acceptent pas le centre pour SDF, sis à Montparnasse. Je trouve cela scandaleux, dès qu'une structure ouvre ses portes pour les malheureux, les nantis se rebiffent: "Ah non, ils n'ont qu'à travailler, (je suis à l 'écoute de France Culture, "Les pieds sur terre", Rien ne va plus à Vavin, Paris 6ème arrondissement), "je déteste la paresse", dit une dame à ce propos. Les "ils n'ont qu'à travailler", me hérissent douloureusement. Les gens sont pour un ordre établi, et ne supportent pas que des plus pauvres qu'eux, soient acceptés dans notre société, quelle misère! Pour le coup, j'ai presque honte de ne manquer de rien, assise devant mon PC, un sandwiche à la main. Rien n'est jamais éternel, tout peut basculer très vite, je prie pour que cela ne se passe pas, mais un peu plus d'humanité m'enchanterait.

    Facile comme sujet, je confirme!

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  • Benoît XVI sur la paix dans le monde, le 27 octobre 2011


    Assise : engagement pour la paix par KTOTV

  • Gilbert Keith Chasterton 1874-1936 Ecrivain anglais :

    "Le monde ne mourra jamais par manque de merveilles mais uniquement par manque d'émerveillement."
     
      

  • Le jour où je t'oublierai...

    Le jour où je t’oublierai

    Je recouvrirai la vie et ses sourires

    De mes ennemis je n’en verrai plus  le pire

    Plus douce sera ma vie puisque j’aurais  perdu mon pire ennemi

    Oui, le jour où je t’oublierai, j’oublierai tout et bien plus encore

    Je ne me souviendrai pas même de notre décor

    Tissé de  haine et de remords

    J’aurai envie de rire et de chanter

    Sans peur de hurler au monde entier

    Que pour moi tu as cessé  d’exister

    Je ne jouerai plus à la roulette russe

    Aussi folle que je fusse

    Mes larmes n’inonderont plus mon visage

    Sur lequel tu fis tant de ravage

    Si je t’oubliais ce serait bien plus facile

    Mais ce jour là, ce jour où,  je t’oublierai

    C’est moi qui aurais fini d’exister.

  • L'Artiste

    Luxe_calme_et_volupte_1903-06 Matisse.jpg 

    Esthète obsessionnel  et épicurien à l’extrême

    Il construit son propre domaine

    Pierre après pierre, l’Artiste a tout son temps

    Il bâtit sa vie sur un chemin verdoyant

    De  paysage rutilant d’authenticité séculaire

    De pureté et de beautés associées

    Avec la Nature comme seule  alliée

    Il défit le monde entier et ses prières

    Négligeant un  univers  délétère

    Sa vie est un mystère,  une construction permanente

    Loin des émotions et de ses conséquences

    N’exister que dans l’absence

     

    Paradoxe de fragilité et d’indifférences confondues

    L’intensité de ses lois grave  la quintessence de son âme

    Ne jamais rien faire« comme » personne ne saurait être un drame !

    Sans  altérer le courage qui en lui fait rage

    Il est son propre roi, et ne fait que suivre la voie

    De son livre, lui seul tourne les pages

    Et si jamais il ne se livre

    C’est qu’il est un homme libre

     

    Quand de ses mains s’accomplit  le talent de la suprématie

    Il est le créateur divin de centaines de mains qui espèrent

    Rien n’est  jamais fini, rien n’est jamais acquis

    Quand on touche à la fertilité  de la terre, à l’infini jachère

     

    Son cheval comme seul ami

    Reste en relief  toujours auprès de lui

    Dans son fief, bien loin de tout ce qui dérange

    Il  ne discourt  qu’avec les anges

    Car c’est au rythme des saisons

    Qu’Il vit sa vie sans contrefaçon.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • Coup de gueule :

    Bravo Brigitte Bardot!
    Tant que l'homme décuplera tout son talent à des actes de barbaries animales, la terre et le monde seront baignés dans les guerres et autres horreurs. (Comme nous le vivons actuellement...)
    Je préfère m'arrêter là...

  • Les mots

    Quand les mots se taisent

    Le silence est de glaise

    Et longue est l’attente

    Des rimes alléchantes

    Ma plume endormie

    Cherche en vain un coin de vie

    L’effondrement de ma religion inspiratrice

    N’est qu’un espace une respiration évocatrice

    Dans un clair obscur où je me glisse

    Les oxymores toujours s’immiscent

    Mais le son cantique des allégories nostalgiques

    Ne se fait plus l’écho de ma rhétorique

    Mieux vaut n’être plus rien

    Qu’une écriture qui ne me dit rien

    Et si mon âme est souvent mise à nue

    Elle seule comme force ténue

    Fera taire la chère muse

    De ma place en ce monde de ruse

    Je me place en classe première

    Où jadis  vivait Diane guerrière

    Les mots sont ma vocation

    Les mots ne sont qu’histrions

     Ils apparaissent et disparaissent au rythme suranné

    Des comédiens de l’antiquité.