Photo Pascal Bergmann
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Image Valérie Bergmann
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"Le pont japonais sur le bassin aux nymphéas" Claude Monet 1899
De 1883 à 1926, année de sa mort, Monet vécut à Giverny, il décora son jardin de nénuphars et fit construire ce petit pont à l'accent japonais.
Cézanne disait à son propos que c'était qu'un oeil, mais quel oeil! Cette constatation résume très bien le regard que Monet posait sur la nature, qui n'en finissait jamais de l'inspirer. Car la nature est si belle qu'il n'y a pas de limite à la description, qu'elle soit littéraire ou picturale. Chaque jour, c'est un moyen d'évasion, loin de tous les bruits stridents de la cité. Bien que la ville soit parfois un lieu agréble, par ses monuments, ses cathédrales, dans lesquelles on peut s'y ressourcer, faut-il encore qu'elles soient ouvertes...Dans le cas contraire, pour celui qui n'a pas le sou, que reste-t-il? Transition :
J'en arrive à un sujet qui me tient à coeur, celui actuel d'une majorité de Parisiens qui n'acceptent pas le centre pour SDF, sis à Montparnasse. Je trouve cela scandaleux, dès qu'une structure ouvre ses portes pour les malheureux, les nantis se rebiffent: "Ah non, ils n'ont qu'à travailler, (je suis à l 'écoute de France Culture, "Les pieds sur terre", Rien ne va plus à Vavin, Paris 6ème arrondissement), "je déteste la paresse", dit une dame à ce propos. Les "ils n'ont qu'à travailler", me hérissent douloureusement. Les gens sont pour un ordre établi, et ne supportent pas que des plus pauvres qu'eux, soient acceptés dans notre société, quelle misère! Pour le coup, j'ai presque honte de ne manquer de rien, assise devant mon PC, un sandwiche à la main. Rien n'est jamais éternel, tout peut basculer très vite, je prie pour que cela ne se passe pas, mais un peu plus d'humanité m'enchanterait.
Facile comme sujet, je confirme!
Un seul regard pour deux
Fait briller de mille feux
Les étoiles interstellaires
Nébuleuses du Mystère
Là, où je retrouve mes repaires
Mes amours et mes « j’espère »
Dans les chimères de cet amour flou
Je prends soin de l’éphémère pour me rapprocher de Nous
Eblouissantes écritures loin des éphémères déchirures
Je l’aime plus que ce que je ne respire
Et quand le ciel se déchire,
Que L’horizon se fuit, que l’azur s’assombrit
Sur le pont de ses soupirs, d’impures intentions
Font de ma vie une double déclaration
Il sait tout de moi et lit dans mes pensées
Ca vous parait très insensé, je sais, je sais…
Mais il est le dernier amour par mes jours condamnés
Chut, lui seul en mesure la portée.
Je passe ma vie à l’oublier et mon temps à y penser
Et si Je fais semblant de rire tout le temps
C’est juste une comédie de pacotille
Un mélange de folie raisonnée et démesurée
Que je signe avec un certain style,
Mais au sein de son arpège ,
Je ne connais de pires pièges.