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comédie

  • Nouvelles...

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    Obséquieusement la journée s'achevait comme la fin d' une homélie, sans joie ni peine.

    Plusieurs fois je prenais le stylo, puis plusieurs fois je le reposais. Le temps validait la morosité ambiante. Morosité absolue, envie de rien... Le fait d'écrire manquait à mes heures, comme une nuit sans étoile. Vide intégral. Je visitai alors mes blogs d'inspiration, quelques coïncidences me firent rire, malgré tout. Choix des images, des articles, finalement il ne m'en fallait pas beaucoup pour retrouver l'envie d'écrire. Je gardais toujours près de moi "La Divine comédie", parabole parfaite de la vie, de son sens. La mythologie flirtait avec la théologie et mon rythme s'accélérait. Les mots sortaient de mon antre, la prière m'aidait aussi.  A. N'avait pas donné de nouvelles depuis deux jours, cela m'inquiétait un peu, ça ne lui ressemblait pas, d'ailleurs rien ne lui ressemblait. Elle me manquait , je l'avoue.

    Petite "maîtresse d'amour", dis quand reviendras-tu? Mon mari me sommait de cesser de réfléchir, de me détendre devant....la télé!!!...

    Je sortis alors sous une pluie battante, embrassais mon cheval, caressais ma chienne, toujours près de moi, levais les yeux au ciel, oui finalement la vie était belle. Indéfiniment, quoi qu'il se passât. Le brouillard n'avait d'yeux que pour moi, il ne cessait de me montrer ses volutes fantomatiques. Je fumais aussi, question de partage!

    Ce soir mon "je" n'appartenait qu'à moi et rien qu'à moi. La semaine avait été rude. Je continuais de gravir les hauteurs de l'esprit, en toute humilité, toujours.

    Je pense à vous, et  nous souhaite à tous des jours meilleurs.

     

  • Un seul regard pour deux

     

    168310226.gifUn seul regard pour deux

    Fait briller de mille feux

    Les étoiles  interstellaires

    Nébuleuses du Mystère

    Là, où je retrouve mes repaires

    Mes amours  et mes « j’espère »

    Dans les chimères de cet amour flou

    Je prends soin de l’éphémère pour me rapprocher de Nous

    Eblouissantes écritures loin des éphémères déchirures

    Je l’aime plus que ce que je ne respire

    Et quand le ciel se déchire, 

    Que L’horizon se fuit, que l’azur s’assombrit

    Sur le  pont de ses soupirs, d’impures intentions

    Font de ma vie une double déclaration

    Il sait tout de moi et lit dans mes pensées

    Ca vous parait très insensé, je sais, je sais…

    Mais il est  le dernier amour par mes jours condamnés

    Chut,  lui seul  en mesure la portée.

    Je passe ma vie à l’oublier et mon temps à y penser

    Et si Je fais semblant de rire tout le temps

    C’est juste une comédie de pacotille

    Un mélange de folie raisonnée et démesurée

    Que je signe avec un certain style,

    Mais au sein  de son arpège ,

    Je ne connais  de pires pièges.