Détail de la porte du parvis
Photos Valérie Bergmann
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Détail de la porte du parvis
Photos Valérie Bergmann
Chercheur de pierres...
Un temple merveilleux à visiter en famille ... ou pas.
Il était une fois en 1879, un paysan drômois devenu facteur, baptisé Joseph-Ferdinand Cheval, qui rêvait de bâtir son rêve. Durant chacune de ses tournées de postier, il ramassait des tas de pierres qu'il déposait dans sa brouette et avec lesquelles il construit son Palais Idéal, qui plus tard lui servirait de tombeau. Humblement, il se mit à l’œuvre et parvint à lui seul l’achèvement de son rêve, qui jour après jour prenait vie.
Les styles se mélangent, différentes ethnies religieuses y sont représentées de façon délicate, rien n’est laissé au hasard ; chaque détail représente un travail colossal. Une crèche provençale côtoie « La Maison blanche », qui elle-même se trouve aux côtés d’une Mosquée. Le mélange des genres architecturaux donnera l'appellation d'Art naïf. (Le choix des photos fut complexe !)
Des sculptures ingénues d’animaux sont représentées dans des niches, ou bien en relief, à l’intérieur et à l’extérieur du monument, tels que mouton, chien, oiseaux, coq, brebis, éléphant, chat, etc… Peut-on y voir une référence à l'Arche de Noé, qui sait ? Tant de constructions y symbolisent le monde !
Il gravait dans la pierre des inscriptions, telles « Un jour j’ai bâti un rêve », ou encore « J’ai bâti ce palais des mille et une nuit, où j’ai gravé mon souvenir. » Au dessus de sa tombe, on peut lire :« La simplicité du corps rend l’âme merveilleuse. A ce passage on porte pour tout bagage que le bien ou le mal qu’on a fait sur la terre. »
Les fées orientales fraternisent avec l’occident, laissant suggérer une vision d’ouverture sur le monde et les gens peu commune...
Cette visite laisse les visiteurs surpris et perplexes, enchantés par un étonnant travail, celui d’un seul homme, qui un jour eut ce courage là, d’accomplir de ses mains, un empire où il reposerait à jamais. L’aboutissement d’un visionnaire est né, tout simplement, sans fanfaronnades mais avec vaillance.
Charme, paix, volonté et persévérances évoquent le courage sans faille d'un Homme unique.
A visiter, si vous passez par là, et même si la route est longue, cela vaut largement le détour ! Simple avis d'amateur.
Photos Valérie Bergmann
Photos Valérie Bergmann
Eglise romane, Inscrite depuis 1981 à l'Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques.
Cet édifice, joyau d'architecture ancienne, accueille chaque été de nombreux concerts de musique classique, ce qui permet à la commune de Crupies d'entretenir ce lieu magique, fort de dix siècles d'histoire.
Plusieurs fois endommagée, toujours reconstruite.
On peut y apercevoir une trace carolingienne, grâce à la présence d'un oiseau picorant une figue, dans le méplat en dessus du portail d' entrée de la chapelle.
Dans ce lieu solitaire et mystique, chargé d'histoire et situé sur le site d'une villa gallo-romaine, cette bâtisse surplombe la vallée du Roubion.
Témoignage de tant de siècles d'histoire, le calme et la sérénité y règnent en maîtres absolus.
Repos et contemplation appellent à la méditation.
Photos Valérie Bergmann
Ange de Dieu, qui êtes mon gardien, vous à qui la Bonté divine m'a confié, veillez sur moi, éclairez-moi, protégez-moi, et gouvernez-moi, aujourd'hui, tous les jours de ma vie, spécialement à l'heure ma mort. Ainsi soit-il.
Moulé par Le Bernin et modifié sur ordre du Roi par François Girardon
Est inscrit sous la sculpture : Per Ardua (Dans l'adversité)
L'original est situé dans l'Orangerie du jardin de Versailles
"L'illusion, soeur d'Icare" 1894-1896
"Mer méditerranée" (Mer blanche) (Akdeniz)
(Emplacement souhaité )
Michelangelo (di Lodovico Buonarroti Simoni) 1475-1564
Basilique de Rome
1513*1515
Jeunesse, vitalité, vigueur et puissance sont ici représentées symboliquement. Hébé, est selon la mythologie grecque, fille Zeus et d'Héra. Cette sculpture appartient à la seconde moitié du 19ème siècle.
Elle est exposée au Musée des Beaux-arts de la ville de Rennes.
Néo-classicisme et "Grand style" en sont le courant. Pradier fait parti de la mémoire de Toulon et du Midi, pour y avoir laissé une production importante. Entre 1820 et 1850 se profila une crise identitaire entre le respect de l'ordre figé déjà établie et une liberté créatrice.
Balthazar et Gaspard Marsy 1667 Terre cuite
"La chute d'un Titan"1786
"La Danseuse" Marbre de 1810-1812
Statue commandée par l'Impératrice Joséphine à l'occasion du Salon de Paris de 1812. Musée Bode à Berlin.