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Emile-Antoine Bourdelle -1861-1929-
"L'épopée polonaise" 1909 -
Alfred Boucher 1850-1934 Sculpteur français :
"Baigneuse" 1896 -
Louise Bourgeois, Artiste plasticienne américaine et d'origine française, née en 1911: :
"L'expression du soi est sacrée et fatale. C'est une nécessité." Louise Bourgeois
"Precious liquid" 1992 -
Les Gémeaux en mythologie grecque :
Fils de Léda et TyndareFrère de Phoébé et PhilonoéLes jumeaux céléstes, fils de Tyndare, roi de Sparte, et de Léda, sont les frères d'Hélène et Clytemnestre. Homère considère les quatre enfants comme de simples mortels. Certains attribuent un père divin à Pollux et à Hélène. Une traduction rapporte que Castor et Pollux sont tous deux fils de Zeus, d'où leur nom de Dioscures.
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Camille Claudel, en hommage à la Femme :
"Vertumne et Pomone" 1905 Marbre -
Camille Claudel par Rodin :
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La Porte de l'Enfer : Auguste Rodin -1880-
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De Kooning,vite Ph. Sollers
Willem De Kooning par Ph. Sollers
Peintre néerlandais, naturalisé américain 1904-1997
Magnifique livre illustré de tableaux, sous l'oeil aiguisé de Solllers.
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La Vénus de Willendorf
L'Art à ses débuts. (Source "Eloge de l'infini" Ph. Sollers)
Statuette de 11 cm datant du paléothique supérieur, soit entre 10 000 et 35 OOO ans avant notre ère.
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Le musée de mon âme
Au cœur de mes entrailles subsiste la pérennité homérique
Cette clameur lyrique de divinités très lacées
Où quelques dieux et déesses plus vivants que jamais
Se dressent, parlant de beauté, par des sculptures enlacées
Dans le nihilisme déployé d’un temps retardé qui est le nôtre
Persiste la beauté frugale, le chant et l’espérance nous escortent, hédoniques
Séculaires et damnées, dévotes par défaut, femmes sublimées d’érotisme
Remplissez ma vie de votre divin lyrisme
Je ferai de vos desseins des poèmes qui riment.
"Le beau est toujours bizarre" Baudelaire
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Que Pluton m'enlève...
Que Pluton m’enlève et me défasse de toutes mes folies
Lui, le gardien des enfers à l’amère souffrance, illuminant mes nuits
En quête d’un Olympe interdit, bien érigé, pas de Maudits en apparence
Où jaillissent les vers, la prose prendra son temps pour tenter sa chance
Car elle n’a ni Dieu, ni Maître comme le dit Léo, ferrant avec élégance les pieds d’un Baudelaire en errance
Blafardes meurtrissures ne connaîtront pas de demi-mesure, entonne un air qui chantonne et murmure:
"Tout en excès, si vous voulez exister dans un surréalisme fortuné de par sa pureté
Toujours trop, souvent peu, mais jamais assez, là est le Temple de mes secrets"
Le temps ne passe pas, il est une rafale d’éternité
Une sublime crucifixion entre le rien et le vaut-rien
Au musée de mon âme la tienne a pris mon cœur en panne
Et là, souveraine et distante, Perséphone se love Juste au creux de ton alcôve.