Au cœur de mes entrailles subsiste la pérennité homérique
Cette clameur lyrique de divinités très lacées
Où quelques dieux et déesses plus vivants que jamais
Se dressent, parlant de beauté, par des sculptures enlacées
Dans le nihilisme déployé d’un temps retardé qui est le nôtre
Persiste la beauté frugale, le chant et l’espérance nous escortent, hédoniques
Séculaires et damnées, dévotes par défaut, femmes sublimées d’érotisme
Remplissez ma vie de votre divin lyrisme
Je ferai de vos desseins des poèmes qui riment.
"Le beau est toujours bizarre" Baudelaire