Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Que Pluton m'enlève...

45671f67de0cdcc8f9b5f6d206955e01.jpgQue Pluton m’enlève et me défasse de toutes mes folies

 Lui,  le gardien des enfers à l’amère souffrance, illuminant mes nuits

En quête d’un Olympe interdit, bien érigé, pas de Maudits en apparence

 Où jaillissent les vers,  la prose prendra son temps pour tenter sa chance

 Car elle n’a ni Dieu, ni Maître comme le dit Léo, ferrant avec élégance les pieds d’un  Baudelaire en errance

Blafardes  meurtrissures  ne connaîtront pas de demi-mesure, entonne un air qui chantonne et murmure:

"Tout en excès,  si vous voulez exister dans un surréalisme fortuné de par sa pureté

Toujours trop, souvent peu, mais jamais assez, là est le Temple de mes secrets"

Le temps ne passe pas, il est une rafale d’éternité

 Une sublime crucifixion  entre le rien et le vaut-rien

 Au musée de mon âme la tienne a pris mon cœur en panne

 Et là, souveraine et distante, Perséphone se love Juste au creux de ton alcôve.

Les commentaires sont fermés.