Ceux qui portent le deuil du départ de leur congénère, cet ainé tant aimé, qui a tiré sa révérence, Un matin du mois d’août.
Comme dans ces rêves où tu galopais indéfiniment , crinière au vent
Tout est à toi, la vie, l'espace et le temps
Le souffle des alizés, là haut au paradis
Te mènera jusqu’à Eole
Dans une immense farandole
Accueilli par le Dieu du vent
La quintessence d'une nouvelle vie
Sera pour toi infinie
Au royaume des cieux, les nuages et les Dieux
Feront de toi un Cheval heureux
Pour l’éternité
Salut, L'Ami, on ne t'oublie pas !