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pensée

  • Salut L'Ami, on ne t'oublie pas ...

    Ceux qui portent le deuil du départ de leur congénère, cet ainé tant aimé,  qui a tiré sa révérence, Un matin du mois d’août.

    Quel étrange bonheur que d’observer leurs mouvements ! Certes, ce bonheur est et restera encore très longtemps lié à la peine, mais le pouvoir de vivre à leurs côtés est un privilège énorme.
     
     
    Salut l’Ami.. On ne t’oublie pas !
     
     
       Pour toi, le ciel s'est fait prairie 

    Comme dans ces rêves où tu galopais indéfiniment , crinière au vent

    Tout est à toi, la vie, l'espace et le temps

    Le souffle des alizés, là haut au paradis

    Te mènera jusqu’à Eole

    Dans une immense farandole

     

    Accueilli par le Dieu du vent

    La quintessence d'une nouvelle vie

    Sera pour toi infinie

    Au royaume des cieux, les nuages et les Dieux

    Feront de toi un Cheval heureux

    Pour l’éternité

    Salut, L'Ami, on ne t'oublie pas !

  • ...

    "La compassion est la pitié des hypocrites. Seuls les actes comptent."

  • Reflex'ion...

    "Être artiste, c'est vouloir mourir le jour et renaître la nuit."

  • William Blake :

    "Voir un monde dans un grain de sable

    Et un ciel dans une fleur sauvage

    Tenir l'infini dans la paume de la main

    Et l'éternité dans une heure"

  • Les moments éternels...

    A certaines heures de notre vie, il est des pauses que l'on voudrait éternelle. Oh, rien de très étudié, juste de la simplicité mélangée à de la sincérité, et l'instant d'après est déjà là.

    Jamais, tout au long de ma folle vie, je n'avais vécu autant de petits plaisirs... Apprendre à se satisfaire de peu, c'est déjà beaucoup. Oui, je suis heureuse de la tournure qu'à prit mon existence, j'étais faite pour ça, la vie à la campagne. Les soins que j'apporte aux animaux , sont les plus beaux actes que je ne ferai jamais. Croiser l'enfance insouciante au détour des chemins, savoir leur faire apprécier ce que la vie leur a donné, tout ça, fait partie de mes jours.  Et si l'amour est dans le pré, c'est justement qu'en cet endroit, une somme de valeurs fait qu'il n'a pas de prix. La quête du Saint  Graal est à la portée de ceux qui vivent près des animaux, des fleurs sauvages et des arbres mythiques.  Le Bien est un refuge, que l'on pourrait qualifier de jardin d'Eden, sans pomme vénéneuse.  

    Vive la vie, l'amour et la beauté,  sous sa forme la plus glorieuse qui soit. 

     

  • Réflexion...

    " La poésie est un voile jeté sur les gens et les choses pour les rendre plus supportables". V.B

  • Pensée pour ceux...

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    Image crédit Pileface (Rimbaud par Ernest Pignon-Ernest)

     

    Pensée pour ceux

    Ceux qui ont faim ceux qui ont froid

    Ceux qui ne sourient plus parce que le malheur a frappé à leur porte

    Ce n'était pas un jour comme les autres...

    Je pense à eux, ceux qui manquent de tout et n’ont plus envie de rien

    Ceux pour qui Noel est un jour parmi tant d’autres

    Ou même moins,  un jour bien pire que les autres

    Je pense à ceux que plus rien n’inspire

    Ceux qui n’ont plus goût à la vie

    Qui ne croient plus à la magie d’une simple éclaircie

    Ceux à qui on ne dit jamais merci

    Et à ceux qui sont déjà partis

    Ceux qui  ne verront plus les images de la vie

    Ces photos où tout le monde sourit

    Les moments doux les moments forts

    Les moments où l’on dit encore

    Tous ces instants que l’on réforme

    Pour qu’au final ils prennent forme

    La mémoire au galop, qui tiendra la distance

    Entre le premier jour et celui de la dernière danse.

  • ...

    sentence,pensée,mots,devise,Victor Hugo, dessinDessin de Victor Hugo "Planète-oeil"

     

    Je ne suis pas un Corps, mais juste un Regard

  • Réflexion nocturne...

    Il n'est rien de pire pour l'Esprit que de généraliser. On généralise toujours abusivement.

  • Albert Camus 1913-1960 :

    Camus.jpg

    "La vérité jaillira de l'apparente injustice".

     

    "C'est facile, c'est tellement plus facile de mourir de ses contradictions que de les vivre".

     

  • Ma vision picturale :

    Vous n’invitez pas la peinture dans votre vie, c’est elle qui vient à vous. Elle, vous fera entrer, soit par la porte principale, soit par la vision qu’elle révélera en vous, le symbole évocateur de votre propre scène. La représentation d’un passé mis au présent, accélérateur de la pensée vagabonde, ô combien féconde. Ouvrir les yeux et ne pas regarder, juste voir, et ressentir, je souligne. VB

  • Douce pensée

    32dc080d03125a950caa951626c57bc9.jpgIl est des instants dans une vie Où la philosophie devient conflictuelle Et nous soumet au jugement perpétuel De la consécration infinie A l’abnégation partielle Rien n’est tout  rose rien n’est tout gris Les intimes convictions de l’infime variation Oscillent entre le tout et le néant Qui engendrent la mort et amplifient l’exaltation Des excès en tout genre décuplant l’instabilité Entre le yin et le yang Et dans cette immense folie S’exhibent d’intenses rêveries Que nous portons dans notre moi interdit Là réside l’incommunicabilité avec autrui Le bien et le mal se livrent à la prosodie De la lucidité, essence même de l’inspiration Le bonheur est au bout de l’éternité par opposition La mort devient donc une douce pensée.

  • Lire Sollers...

    > L’homme est un être pour la mort, ou la vie à l’envers

     

     

    "Philosopher c’est apprendre à mourir» dit la force intellectuelle de Montaigne, et "la mort est l’abri de l’être", confirmera l’illustre Heidegger, quelques 4 siècles plus tard.  Comment deux êtres qui à l’origine n’avaient pas la même voie, se rejoignent, sur un sujet si épineux ? Grâce à la littérature, tout se rejoint, quand le principe de la fonction vitale est la même, Sollers fait rejoindre la pensée séculaire, qui elle, reste inchangée parce qu’inchangeable. Les humanoïdes, vivent comme s’ils n’allaient jamais mourir, et font défiler leur vie grâce à leur soi-disant immortalité."Vivre à l’envers" Car, c’est bien comme cela que le commun des mortels continue de penser. Mais, surprenant, comme l’évoque avec subtilité Sollers, ils se font brûler à la fin de leur existence. Paradoxe : est-ce qu’ils croient que le feu, les rendant en état de cendres, ne serait-il pas là pour justement oublier qu’ils ont été vivants, d’où le paradoxe, ils veulent garder leur âme de croyant qui leur dicte l’inverse. En effet, Sollers dit avec une incroyable véracité, que la mort sous-jacente en chacun de nous, cherche à intensifier leur raison de vivre, tandis que d’autres, sont tendancieux du ridicule et optent pour la non-réflexion sur le non-être. Voilà pourquoi devant l’absurdité du paradoxe, nous ne pouvons que rejoindre PH. Sollers, quand il dit, citant Artaud, "la vie, c’est toujours la mort de quelqu’un," et de rajouter lui-même, "l’au-delà, je ne sais pas ce que ça veut dire. C’est ici et maintenant". Et comble d’incompréhension à la question «comment peut-il y avoir une vie après la mort, alors que la vie est pleine de mort."Elle parle sans cesse» et puisque la finalité de la vie reste la mort, sommes nous donc encore vivants ?