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amour - Page 3

  • En réponse à Anne..." Le temps ne détruit pas celui qui pense...

    Quelques mots sur la toile de ma vie, une belle personne m'écrit. C'est adorable de prendre le temps de dire à quelqu'un, lui faire savoir comme ça en passant, dans la chaleur de juillet, que l'on a prit plaisir à se faufiler dans les méandres de ses jours et de ses nuits, de ses mois et de ses émois, tout ce que l'on a cousu au fil d'or, au fil du temps! 

    Les gens qui aiment sont toujours beaux. Tout ce blog est, en grande partie, prévu à cet effet. Aimer. Les jolies choses de la vie, les pensées tendres, les nuits d'insomnie, les jours ensoleillés, des airs de musique qui nous rappellent des amours à jamais. A travers l'Art, la nature, l'écriture (quand Elle le décide), les animaux, les êtres, elle est merveilleuse cette histoire! Se réinventer à chaque publication, ne montrer que l'essentiel, le sentiment qui vous a le plus touché et choisir son support. Musical, médiatique, littéraire ou photographique. Faire partager des instants de bonheur... Avec la sincérité qui va avec. Quelques personnes s'y attardent, d'autres pas. Tout est parfait.

    Je n'aime pas revenir en arrière, alors vous seuls, êtes là pour faire ressurgir des souvenirs déjà enfouis, mais pas tant que ça, finalement. Le temps ne détruit pas celui qui pense, il apporte de l'eau au moulin des âmes aimantes. 

    Valérie 

  • Reviviscence campagnarde

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    Alacrité aussi pléthorique que soudaine, autant qu’inattendue. Vie puissament belle, horizon dégagé. En ce bel après-midi, le soleil brillait aussi haut que possible, et mon moral s’en trouvait joyeux, apaisé et plein d’espoirs, l’espoir inébranlable que ce chemin de vie perdurât aussi longtemps que possible.

    L’homme auquel j’avais dit oui il y a déjà longtemps, déployait toutes ses forces à mon bonheur, et ne reculait devant aucun sacrifice, qui je le précise pour lui, n'en était pas. C'était sa manière de vivre l'Amour qu'il avait pour moi.

    Les Arts et les  lettres avaient repris leur place initiale, et je fus la première étonnée de cette reviviscence. La campagne ne m’avait jamais parue si belle, le ciel si bleu, le soleil si brûlant malgré un début d’avril pluvieux. En fait, il reluisait en mon for intérieur ce soleil si cher à mes yeux et à mon corps, et quoique le baromètre put afficher, il faisait un temps magnifique. Les arbres bourgeonnaient, l’herbe fraiche tapissait le sol du jardin, les oiseaux chantaient leur air préféré, et j’étais bien. Lieux communs, clichés? je vous l'accorde, mais seule la vérité n'a de mise.

    Les chevaux galopaient dans le pré, comme s’ils ressentaient la joie qui était mienne ; La petite Bobine les suivait fièrement, déployant avec fatuité toute sa vélocité,  contente de faire partie de la cour des grands chevaux, elle qui ne dépassait pas les un mètre au garrot! Tout cela ressemblait à un scénario où il n’y a pas de héros mais que des acteurs de premier rôle. L’amour et la nature fusionnaient, et quoiqu’il en soit, la vie était belle. On ne peut plus belle, radieuse, pleine de promesses estivales. Chaque journée m’entrainait dans sa course folle, course dans laquelle il n’y a pas de vainqueurs mais juste des gagnants. La nuance est très révélatrice. Je remerciais la vie de me chérir autant et souhaitais aux Hommes de goûter à ce merveilleux bonheur, celui de l’élan du cœur et de l'éclat de l'âme. 

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  • "Tendre est la nuit" de Francis Scott Fitzgerald 1934

    Œuvre autobiographique,  cette histoire, quatrième roman de l’auteur, est un ouvrage majeur dans la vie littéraire de Francis Scott Fitzgerald. Il raconte son romantisme exacerbé,  qu’il noie dans des paradis artificiels et décadents.  Trop amoureux, trop sensible pour pouvoir résister à son époque, il pansera ses blessures avec Nicole, jeune actrice déconcertée par le charme de Dick. Cependant, il cache un terrible secret car Dick fut le psychiatre de Nicole, et de désinvolture en décompositions inévitables, ils finiront par...livre, Fitzgerald, décadence, amour, psychiatrie, alcool

  • Ma passion, ma folie, ma douceur, mon énergie...

    Plus que tout au monde ils font danser ma vie et colorent mes jours, par-delà les idiots, les vauriens, les vautours. Ma vie ne tient qu'à leur fil, mais ce fil là, on le tresse à l'infini, et si l'on rencontre qu'une seule fois dans sa vie, cette sorte de bonheur là, sorti du tréfonds de l'amour, c'est que le destin était déjà écrit au creux de nos chemins de vie, loin des livres d'écoles, loin des arts et des lettres, loin de la machine infernale qui dévore le moral et vous laisse nus. Je souhaite à tous ceux qui me lisent, d'aimer ne serait-ce qu'un instant ces Animaux qui n'en n'ont que le nom. Certains de nos humains bien plus bêtes, seraient-ils d'avantage à la fête? Que le Seigneur bénisse à jamais ces âmes pures et saines, qui vous apportent sérénité, paix et réconfort. Dieu, quand je vois le monde, je me dis qu'il y a quelque chose qui cloche... Hommage à mes petits, qui sans mièvrerie m'aiment au-delà de toute folie, au-delà de toutes maladies, mais du coté du coeur, très près.  

    Krista, chien, Gemini, cheval, Bobine, poney

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  • Demain...

    Dans un furtif élan,  créatif et génial, elle reviendra vous dire la beauté du monde, l' éclat d'une éclaircie, une métamorphose, un écrin de velours qu’on caresse avec amour, le temps d'une seconde … Demain, elle reviendra, vous dire que la vie c’est ça, un peu de tout, beaucoup de rien, mais surtout ça, cet amour fou,  majestueux et profond, celui qui fait que l’on aime à sa façon. Demain tout sera beau, frugal et volubile, les toujours et les jamais, n’en finiront jamais de tournoyer, au gré de ses subtiles allées, de ces chemins facétieux, de tout ce qui donne les larmes aux yeux. Demain, tout sera merveilleux, quitte à devenir vieux.

  • L'air, le vent, la nature et les chants...

    Je suis l’air, le vent, la musique et les champs, tout ce qui fait respirer plus fort,  entre dans mon corps, me caresse, me surprend, me ravive. Après le froid, s’en revient la saison joyeuse, la saison des amours, celle que je parcours toutes voiles dehors.

    Les routes sinueuses régénèrent  tout l’eudémonisme dont je suis la courtisane insubmersible, la fugace dérobade d’une nature revigorante. Les sapins, les roches, les hauteurs, les grands espaces n’en finissent pas de m’intriguer, et j’observe, je sens, je ressens, je vois, j’écoute, je suis. Je lis dans la nature comme dans un livre, ce même livre dont je m’enivre à chaque coup d’alizés.

    Je rentre, et j’entends, Bach me saisie, la dérobade, la sonate au clair de mes jours paradisiaques.

    Oui, j’aime la vie, et quand elle fait des rigodons, je fugue, je me dérobe, je suis saisie. Merci Haydn, Haendel et Jean-Sébastien, Dieu vous le rendra …

    On m’écrit, en secret, je suis la destinataire des gens qui s’intéressent à ce blog tant aimé, mais en secret. Les personnes parlent plus librement, et j’adore ça. Je leur dit merci, même à celui pour qui « The Artist » ne vaut pas grand-chose, pour un poète, c’est dommage, ne pas percevoir la poésie dont soupire le film… Mais tous les goûts sont dans la nature.

    Vivre, être, lire, (beaucoup) , avec cette passion dévoreuse d’âmes, puis, écrire. Toujours plus haut, avec le lyrisme qui s’ensuit, et cela, pour le restant de mes jours...et de mes nuits.

    Photographier sa vie, et la lumière submersive qui l'accompagne.

  • Aide-toi ...

    livre,écrire,mots,vie,amour,peine,joieFuneste soliloque où les pensées les plus pernicieuses qui soient, vous dévorent sans savoir très bien, qui l'on est, où l'on va. Non, je ne saurais me complaire dans ces instants où l'on se sent perdue, je persiste à croire que le soleil brille et brillera encore longtemps, à travers l'écriture, à travers l'intelligence dont je suis l'élève assidue pour le restant de mes jours. 

    "Quand on a que l'Amour", chantait Brel, c'est un peu mon cas. Un peu beaucoup. Je ne suis qu'un cœur démesuré qui bat au rythme de mes amours présentes et au passé imparfait. J'emploie le mot amour dans tous les sens que celui-ci est censé représenter, celui de l'homme avec lequel je partage ma vie,  mais aussi celui de mes chers parents. Trop de sentiments dévorent mon âme, et cela ne saurait s'amenuiser avec le temps. Oui, j'ai eu des amants, sorte d'exutoire, que je pris pour de l'amour, à chaque fois, passionnément, oui, j'ai cru un instant que l'on pouvait aimer au pluriel et ce pour longtemps.

    Je me suis évidemment perdue, et mon cœur saigna à chaque fois, me laissant une plaie béante, ou mal cicatrisée. Pas de date butoir à une guérison péremptoire.

    Si aujourd'hui, je ne vis plus que pour un seul homme, c'est que je compris, trop tard hélas, que l'amour ne se conjugue pas au pluriel. Cela m'aurait évité bien des désagréments, mais je ne regrette rien. Mon bonheur fut si grand pendant ces jours-là, qu'il aurait été un leurre, un acte manqué de ne pas les avoir vécu pleinement. Certes, cela est ambitieux autant qu'égoïste, et il n'en fallut de peu que je me perdisse totalement. Dieu merci, l'homme de ma vie n'en sortit point, et de tout cœur je lui dis merci.  Que serais-je sans lui? Une âme errante aux enfers illusoires, une femme vieillissante auprès de ses animaux, que je chéris chaque jour davantage. Je ne le dirai jamais assez, sans eux mes jours seraient encore bien plus menacés qu'ils ne le sont. Ces être-là sont la prunelle de mes yeux. Ils le ressentent, et je redoute atrocement le jour où, ma chienne, âgée de douze ans déjà, devra nous quitter.  Parfois, je songe même à la taxidermie. La garder à mes côtés,  cela justifierait-il un tel acte?  Tout cela est très personnel, mais je ne me projette pas sans elle. Je ne vis pas l'instant présent, carpe diem, connais pas, ou plutôt ne sait pas, ne peux pas. Pourquoi anticiper sans cesse un futur dont je redoute les aspérités, les affres, les insurmontables douleurs de la perte de ceux qu’on aime? Je suis faite comme cela, mon cœur ne m'appartient pas.

    Allez, au diable les peines! Je ne suis pas si malheureuse que je veux bien le dire, mais je mens, refusant de vous ennuyer avec mes états d'âme. Un peu tard, il est vrai.

    Changement de décor, éclaircie soudaine, joie certaine. Après les traits d'un visage hâve, se dessine un portrait coloré, au sourire révélateur de par son apaisement, gaie et enjoué de bonnes nouvelles étonné. Je suis un instant Berthe Morisot, à la chance inouïe d’avoir été l’amoureuse d’un Manet turbulent, mais ô combien doué et au savoir faire incontestable.

    Voilà, ce qui est génial lorsque l’on écrit, on retrace sa vie, puis, on efface, on oublie ce qui fait mal, en un éclair, tout s’éclaire. Un tableau, une image, un air de musique et nous revoilà partis sur des chemins joyeux, aux antipodes d’un tragique sulfureux, au milieu de boisements et de clairières pressentant le printemps, la reviviscence des sens. On se sent léger, on écrit, on écoute, on ressent le bon côté de l’existence. Volonté divine, aide-toi et le ciel t’aidera, je ne connais meilleur adage, que ce merveilleux présage.

    Par le truchement d’une déflation venteuse, me revoilà, le sourire aux lèvres, plus prolixe que jamais, sans menace je suis à la trace les nuages qui s’esquivent, et forment dans le ciel des alliances superbes, aux formes insolites et inspiratrices. Et tandis que s’en revient le grand air, je décide d’aller respirer ce dont la nature ne finira jamais de nous gratifier. Émotions en plein soleil, je suis l’être qui à la faveur de Dieu, s’en revient vous dire qu’il fait à nouveau beau dans son cœur et dans sa tête.

     

     

     

  • Pour toi Seigneur...

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    Que Dieu Tout puissant entende mes prières

    Qu’il illumine le Verbe et la Foi

    Que je reste toujours moi-même

    Celle qui dit souvent "je t'aime"

    Que Dieu vers qui j’avance à grands pas

    Soit le témoin de mes dires

    Même si je ne suis que simple sbire

    Que Dieu entende ma prière

    Celle de rester vivante le plus longtemps possible

    Qu’il m’accorde ce à quoi je suis utile

    Qu’il fasse de ma vie un endroit où il fait bon vivre

    Par delà les montagnes, les vallées, les prairies,

    Qu’il fasse de moi une éclaircie, 

    En ce jour de l'Epiphanie

    les Rois mages m'ont distribué de sublimes images

    L’amour au bord des yeux

    Me transporte à chaque vision des cieux.

     

  • Nous sommes...

    pierre,feu,poème,foi,dieu,amour, félicitéNous sommes la pierre pour nous abriter

    le feu pour nous réchauffer

    et l'amour pour nous y lover

    Nous sommes tous des enfant bénis

    descendants directs du paradis

    des croyants infinis

    ignorants quelquefois, car indécis

    Nous sommes l'amour, le partage et la joie

    le bonheur, la félicité et la foi

     l'humilité et la gentillesse 

    nous sommes tout cela

    des chercheurs de tendresse

    Que cette année soit celle de l'Amour

    celui que rien ne peut altérer

    soyons heureux et le chemin de la vie

    nous mènera droit au paradis terrestre

    pour y faire quelques bonnes actions

    il nous sera donner en récompense

    le bonheur de vivre, et de respirer

    sur terre et sur les océans

    nous aurons alors toujours vingt ans.

     

  • Pensée pour ceux...

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    Image crédit Pileface (Rimbaud par Ernest Pignon-Ernest)

     

    Pensée pour ceux

    Ceux qui ont faim ceux qui ont froid

    Ceux qui ne sourient plus parce que le malheur a frappé à leur porte

    Ce n'était pas un jour comme les autres...

    Je pense à eux, ceux qui manquent de tout et n’ont plus envie de rien

    Ceux pour qui Noel est un jour parmi tant d’autres

    Ou même moins,  un jour bien pire que les autres

    Je pense à ceux que plus rien n’inspire

    Ceux qui n’ont plus goût à la vie

    Qui ne croient plus à la magie d’une simple éclaircie

    Ceux à qui on ne dit jamais merci

    Et à ceux qui sont déjà partis

    Ceux qui  ne verront plus les images de la vie

    Ces photos où tout le monde sourit

    Les moments doux les moments forts

    Les moments où l’on dit encore

    Tous ces instants que l’on réforme

    Pour qu’au final ils prennent forme

    La mémoire au galop, qui tiendra la distance

    Entre le premier jour et celui de la dernière danse.

  • Pour ceux qui ne croient qu'en un seul et unique Dieu :

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    A offrir...