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  • Intèrieur Cathédrale de Die 1 ère partie ...

    Peinture murale

    "Enseignez toutes les nations

    Baptisez- les au nom du Père

    du Fils et du Saint Esprit.

    Amen"

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    Photos Valérie Bergmann

  • Le libre esclavage poétique...

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    La poésie nous donne la parole

    Aux mots, Elle offre le premier rôle

    Et à la vie, l’ouverture d’Esprit.

    Les poètes en connaissent le prix

    Car un jour sans écrire,

    Et les voilà remisés à de simples sbires

    Cherchant en vain de vaines descriptions

    Ils invoquent Dieu et tous les Saints de la création

    Ils sont prêts à tant de dévotions !

    C’est la rançon de la « gloire »

    Qui blasphème leur mémoire !

    Quand la page reste indéfiniment blanche

    Leurs émotions paraissent endeuillées,

    Par tant de futilités leurs branches semblent s’effeuiller.

    La poésie est partout, oui mais vaste est le mot

    Que faut-il pour fixer l’attention

    Et ne pas se laisser prendre dans le tourbillon

    De trop d’images perçues, de trop d'images reçues

    Les voilà bien déçus.

    Lorsque les jets de l’inspiration se font attendre

    Ils ne cessent jamais de chercher à comprendre.

    Ils semblent avoir été frappés de cécité

    Quand le mot juste se fait attendre sur le papier.

    La poésie est partout, oui, mais où se cache t- elle

    Au plus profond de soi, ou au dehors dans le froid ?

    Au plus profond du moi, ou au jardin de l’émoi ?

    Des images plein la tête, leur cœur n’est pourtant pas à la fête

    Quand soudain dans un silence céleste

    Ils recommencent à être les esclaves de leur geste

    Les mots glissent sur la feuille jusqu’ici restée blanche

    Et les phrases ressurgissent en avalanche.

    Enfin leur âme se libère

    Et le chant des mystères

    Foisonne sur le papier sacré

    Où ils étalent la vision de la béatitude

    Où ils dévalent avec passion le rythme lyrique

    Des contemplations sismiques de plénitude.

    Leur écueil n’est plus qu’un vilain souvenir

    La rime nouvelle fait toujours oublier le pire

    Car le meilleur est  toujours à venir.

    La poésie monte vers des cieux incandescents

    Et son parcours est toujours lumineux, évanéscent.