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  • Le musée de mon âme

    8ce6dd1640eeb66d5e395b8a3a7b1a5a.jpgAu cœur de mes entrailles subsiste la pérennité homérique

    Cette clameur lyrique de divinités très lacées

    Où quelques dieux et déesses plus vivants que jamais

    Se dressent,  parlant de beauté, par des sculptures enlacées

    Dans le nihilisme déployé d’un temps retardé qui est le nôtre

    Persiste la beauté frugale, le chant et l’espérance  nous escortent, hédoniques

    Séculaires et damnées, dévotes par défaut, femmes sublimées d’érotisme

    Remplissez ma vie de votre divin lyrisme

    Je ferai  de vos desseins des poèmes qui riment.

    "Le beau est toujours bizarre" Baudelaire

  • Extrait de "Femmes" Sollers

    e38c85325abf24021276e70a915bc43b.jpg"Le monde appartient aux femmes.

    c'est-à-dire à la mort.

    Là-dessus, tout le monde ment.

    Lecteur, accroche-toi, ce livre est abrupt. Tu devrais pas t'ennuyer en chemin, remarque. Il y aura des détails, des couleurs, des scènes rapprochées, du méli-mélo, de l'hypnose, de la psychologie, des orgies. J'écris les Mémoires d'un navigateur sans précédent, le révélateur des époques... L'origine dévoilée! Le secret sondé! Le destin radiographié! la prétendue nature démasquée! Le temple des erreurs, des illusions, des tensions, le meurtre enfoui, le fin fond des choses... Je me suis assez amusé et follement ennuyé dans ce cirque, depuis que j'y ai été fabriqué...

    Le monde appatient aux femmes, il n'y a que des femmes, et depuis toujours elles le savent et elles ne le savent pas, elles ne peuvent pas le savoir vraiment, elles le sentent, elles le pressentent, ça s'organise comme ça.

    Les hommes? Ecume, faux dirigeants, faux prêtres, penseurs approximatifs, insectes... gestionnaires abusés.. Muscles trompeurs, énergie substituée, déléguée... Je vais tenter de raconter comment et pourquoi. Si ma main me suit, si mon bras ne tombe pas de lui-même, si je ne meurs pas en cours de route, si j'arrive surtout à me persuader que cette révélation s'adresse à quelqu'un alors que je suis presque sûr qu'elle ne peut atteindre personne..."

  • Hannah Arendt : à l'ombre de Heidegger, source Nouvel Obs août 2007

    Le maître allemand ne la reconnut jamais comme philosophe.

    "Cover-girl", de la "Saturday Review of Literature" à 45 ans, consacrée "femme d'exception" pour les "Origines du totalitarisme" par l'université de Princeton - ce qu'elle regrettait, l'expression lui rappelant cruellement celle de "juif d'expression" -, Hannah Arendt (1906-1975) expérimenta d'abord la difficulté d'être reconnue comme "quelqu'un" devant les descendants de Socrate et d'Aristote. Ces messieurs lui chipotèrent si longtemps le titre de philosophie qu'elle-même n'en voulut plus.

    Quant à Heidegger, son ancien professeur et amant, "je sais qu'il n'a pas supporté que mon nom apparaisse en public, que je pubie des livres, etc..., écrit-elle à karl Jaspers en 1961.Toute ma vie j'ai pour ainsi dire triché avec lui, j'ai toujours fait comme si je ne savais pas compter jusqu'à trois. Et puis j'ai perdu le goût de tricher et j'ai aussitôt pris un coup sur le nez".

    Elle ne nourrit pourtant jamais l'envie d'adhérer à un quelconque mouvement féministe, ni en Allemagne - qu'elle fuit en 1933 - ni aux Etats-Unis à la fin de sa vie. Et en dépit de son image de garçonne à la cigarette, elle trouvait simplement plaisir à être femini generis, (du genre femme). Certes consciente de l'utilité de certaines luttes pour l'émancipation, dénonçant aussi la discrimination économiquue frappant les femmes, elle voyait néanmoins dans ce groupe de revendication à la fois un risque de ghettoïsation pour elles-mêmes et un danger d'homogénéisation de la société.

    Face à l'effondrement du politique, cette maladie de la modernité fait naître les régimes totalitaires, la question  philosophique centrale pour Arendt consiste davantage à comprendre les conditions d'un "monde commun", inscrites dans un véritable dialogue de la pluralité. Dans la "Condition de l'homme moderne", elle pense justement la différence homme-femme, la "petite différence", ainsi que l'appelait l'admirée Rosa Luxemburg, comme la matrice première  et originaire  de cette pluralité. Et, à l'ombre de la Shoah, la théoricienne juive célèbre le "miracle" de la natalié comme promesse d'avenir renouvelé pour le monde. Les femmes des siècles futurs? Les gardiennes de la possibilité même de la vie. Pas de quoi, en effet, déclencher la guerre des sexes.

    Article de Marie Lemonnier

    « C'est dans le vide de la pensée que s'inscrit le mal »
    8639613699694f632cf4f5b54c89b6ca.jpg


    Hannah Arendt

  • "Un vrai roman, Mémoires de Sollers, Rien que du bonheur!

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    > Un vrai roman, Mémoires, rien que du bonheur !
    29 octobre 2007, par VB

    Ph.Sollers nous invite dans sa propre vie, où joignant l’utile à l’agréable sur un air de Bach de préférence, ressuscite les Morts, afin de les rendre plus éloquents qu’ils ne le furent de leur temps, parce qu’incompris ou mal compris. Merci Sollers.

    Ce livre est une ode à la culture générale, une balade, où montent en puissance la douceur et le raffinement d’un « Fondant de mots lissibles » (lisse+lisible= lissible,Sollers dixit) sur un lit d’esthétisme, et tout cela, concocté avec amour et une incroyable dextérité. Ph. Sollers nous transporte de ville en ville, où il expose une architecture sans rature dans une Europe mal connue de par ses monuments. Une muse exilée en Italie trace le fil conducteur, Venise, la favorite ! Chère inspiratrice sollersienne, pour notre plus grand plaisir.

    Denon est bien Vivant. Ph. Sollers, vous seul savez nous réveiller.

    Qu’Ars soit le relais de l’Art, même le plus tard possible sera toujours trop tôt.

  • La bibliothèque de Ph.Sollers, Extrait de son dernier ouvrage: "Un vrai roman"

    La scène a lieu de nos jours.

    Un type de la radio, pressé, veut que je lui montre ma bibliothèque. "Oh, me dit-il, je n'ai jamais vu autant de livres chez un écrivain ! "Combien de temps avons-nous ?" " Huit minutes."

    Allons-y. Les classiques, donc : Homère, Eschyle, Sophocle, Euripide, Platon, Aristote. Et puis là, en bas, Pindare, Thucydide, Virgile, la Bible, bien-sûr... "Je vois Sade et Bataille côte à côte", me dit le type allumé. Oui, mais il y aussi Saint-Simon, Bossuet, Pascal, Baudelaire, Lautréamont, Rimbaud, Artaud, Nietzsche... Le temps presse : " Et les contemporains? " Ils s'évacuent assez vite." Il y a aussi Balzac, Proust, Joyce, Kafka, Céline... " oui, bon, et les livres d'art?" " Il nous reste combien de temps?" "Trois minutes. "Ecoutez, la peinture chinoise, l'italienne, Manet, Cézanne, Picasso...

    "Et pourquoi La Fontaine, là?" "Perfection rythmique", dis-je; J'ai à peine le temps de lui réciter deux ves de La Fontaine. Il arrête, il s'enfuit, " merci beaucoup".

     

    08dc878bea6a04af338156d3a532de9f.jpgAragon, en parlant de Ph.Sollers : " Faites entrer l'infini "...
  • Que Pluton m'enlève...

    45671f67de0cdcc8f9b5f6d206955e01.jpgQue Pluton m’enlève et me défasse de toutes mes folies

     Lui,  le gardien des enfers à l’amère souffrance, illuminant mes nuits

    En quête d’un Olympe interdit, bien érigé, pas de Maudits en apparence

     Où jaillissent les vers,  la prose prendra son temps pour tenter sa chance

     Car elle n’a ni Dieu, ni Maître comme le dit Léo, ferrant avec élégance les pieds d’un  Baudelaire en errance

    Blafardes  meurtrissures  ne connaîtront pas de demi-mesure, entonne un air qui chantonne et murmure:

    "Tout en excès,  si vous voulez exister dans un surréalisme fortuné de par sa pureté

    Toujours trop, souvent peu, mais jamais assez, là est le Temple de mes secrets"

    Le temps ne passe pas, il est une rafale d’éternité

     Une sublime crucifixion  entre le rien et le vaut-rien

     Au musée de mon âme la tienne a pris mon cœur en panne

     Et là, souveraine et distante, Perséphone se love Juste au creux de ton alcôve.

  • Sur Mesure

    Nos deux cœurs battent la chamade

    Le rythme est effréné

    La pensée jamais ne se divise

    Même quand elle se tait elle est une balade incessante de sentiments forts

    C’est un défilé subtil, ton portrait tout craché, mon esthète adoré

    Une parade contre le mal qui se défile

    Guidée par la passion  qui se profile, irréductible

    Un bouche à bouche à distance

    Comme une touche d’élégance

    Malgré l’incendie de l’absence.

  • Christine Angot, Ne tirez pas sur l'ambulance

    1ff47a3d7bbc833db4ecb5d68eb208c3.jpg> Nouveau rendez-vous avec Christine Angot ou Ne tirez pas sur l’ambulance

     

    20 octobre 2007, par VB

     

    Ne tirez pas sur l’ambulance, elle va bien trop vite pour se laiser cibler !

     

    La méchanceté, une fois de plus déploie ses ailes, engourdies.

     

    Comment peut-on s’acharner sur un auteur confirmé, alors que dans la rentrée littéraire, les soi-disant  poésies d’écrivains notoires, font mouche ? Parce que ce sont des Hommes imbibés de certitude, sans vraies valeurs poétiques.

     

    Alors, aux questions : "pourquoi cette phrase incohérente ? ou "Que lisez-vous pour écrire des énormités nombrilistes ?" je dirais (si j’étais elle), Je souffre, je lis ce qui m’intêresse, et j’écris ce que je ressent. Voilà pourquoi Sollers, ardent défenseur des femmes spirituelles, réplique sur, le "Rendez-vous" de  Angot.

     

    N’oublions pas de mettre cette citation en exergue : « Tout est paradis dans cet enfer».

     

     

  • Au secours, Gemini va trop vite!

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     Il a fière allure, mon  symbole à  la noblesse incarnée Sur les chemins communaux entre deux villages provençaux Il a fière allure, mon Seigneur, mon animal au pas cadencé Son regard comme une armure, dessine ses peurs que le galop dissipera plus tard Pendant que sur son dos, ma vie collée à la sienne, revêt son apparat de Parménide Gardes moi encore sur ton dos, le temps d’une cavalcade où mes pensées prendront forme, sans plus de  retard, Dans la nature froissée d’un automne à peine  amorcé, pas même humide, le soleil abonde, je me délecte, la nature est en fête Qu’il est doux de trotter, cheveux aux vents, vie libérée, infiniment ! Je frôle enfin la Lumière, où  mes alleux promènent leurs âmes à l’abri d’un Olivier Qu’il est doux de galoper sans nulle autre arme, au hasard des champs et des vignes, de ce que la terre a gardé de plus digne.  

     

  • L'Infini ou pourquoi Sollers et pas un autre

    0d6a2d5623143d1b7584651f9c37f9f6.jpg> L’INFINI N° 100, automne 2007 - Sommaire ou pourquoi Sollers et pas un autre 18 octobre 2007, par VB

    La franchise à l’état pur. Pas de connivence avec le vouloir se faire aimer à tout prix, puisque aimer Sollers na pas de prix. Non, je ne suis pas amoureuse de ce Monsieur, mais lucide sur sa personnalité et de tout ce qu’il peut apporter autour de lui. (Réservé à une catégorie qualitative, se faisant de plus en plus rare : l’Humilité.) Empreint d’une logique implacable, ce questionnaire à l’intelligence et à la logique sollersiennes, est là pour finaliser et tordre le cou une fois pour toutes aux questions vindicatives à son propos ; lorsque le commun des mortels, dont je fais évidemment partie, prendra son courage à deux mains, il ouvrira alors un livre de Sollers et le lira jusqu’au bout, sans impatience, afin de pénétrer la profondeur de ses connaissances, qui à un moment ou à un autre se rejoignent, puisque ne dit-on pas que, "Les amis de mes amis sont (ou deviennent) mes amis". Il n’y a qu’à comparer certaines dates de naissance pour comprendre le fil conducteur reliant certains artistes à d’autres : par exemple, Françis Ponge est né le même jour que Claudel, allons savoir pourquoi ? Bien sûr, les "érudits" se sentent fourbés, puisque derrière, mais ne di-t-on pas que l on apprend toujours de ses pairs, alors ?! Site Internet: Blog Sollers Pile Face

     

  • Nietzsche en exergue

    4b7925c0f7f92072d671ecdc8b25bc32.jpgLes êtres "profonds"_ Les lambins de la connaissance se figurent qu'elle exige la lenteur.

    Esprit et caractère_ Il y en a qui atteignent le sommet de leur caractère quand leur esprit n'est pas à la hauteur de ce sommet_ il y en a d'autres chez qui c'est le contraire.

    Qu'aimes-tu chez les autres? _ Mes espoirs.

    Que considères-tu comme ce qu'il y a de plus humain? _ Epargner la honte à quelqu'un.

    Confession : _ On oublie sa faute quand on l'a confessée à un autre, mais d'ordinaire l'autre ne l'oublie pas.

    Facilement résigné _ On souffre peu de souhaits inexaucés si l'on a exercé son imagination à enlaidir le passé.

    Trop près _ A vivre trop près d'un homme il nous en arrive la même chose que si nous reprenons toujours une bonne gravure avec les doigts nus : un beau jour nous avons dans les mains un méchant papier sale et rien de plus. L'âme aussi st usée par un contact continuel; du moins elle finit par nous le paraître_nous ne revoyons jamais sa figure et sa beauté originelles. _On perd toujours au commerce trop intime de femmes et d'amis; et parfois on y perd la perle de sa vie.

  • Rodin, ou la poésie parlante

    1b63484296547964ac7666a6a7d02d38.jpg> RODIN, dessins érotiques, ou la poésie parlante
    17 octobre 2007, par VB
    Sollers le Sacré possède tous les pouvoirs artistiques car il sait voir, et, comble de générosité, nous en fait part. De tous ces dessins érotiques de Rodin, sur fond de Mozart, il transporte le profane désireux de beauté, à la croisée de l’Art. Il doit bien exister un carrefour où Sollers fait la circulation ! Ses goûts, avides dans leur diversité nous éclairent sur le monde des artistes définitifs, complexe et pas toujours simple de décryptage. A croire que l’Art, muet, n’attendait que Sollers pour entrer en communion avec le commun des mortels, côté pile, avec les initiés, côté face. Paradoxe, quand tu nous tiens ! De Fragonard à Courbet, il nous emmmène en Chine, fera un détour par l’Allemagne afin d’affiner ses connaissances philosophiques, n’oubliera pas Cézanne et la Provence, pour arriver enfin à l’apothéose archi-texturale de Venise. Entretemps, grand seigneur, il nous aura invité au Crazy Horse, où, la Naissance du monde exposent ses divines créatures. Luz, (lumière en espagnol), doit éclairer notre Bordelais préféré, à très forte dose !
    Site Internet:

  • Les liseuses ou la naissance du droit à la cuture féminine

    1ae8901a172748f15d10fd90ac2c1efa.gif> Liseuses ou la naissance du droit à la culture féminine 13 octobre 2007, par VB

     

    Grâce à toutes ces splendeurs picturales, les femmes ont pu, siècles après siècles, ouvrir l’esprit humain au droit à la culture des femmes. De Picasso à Fragonard, de Manet à Gauguin, et de bien d’autres, elles inspirent une quiétude dans toute la force du destin. Devant les différents courants picturaux, subsistent les différences artistiques, et résiste une traversée de la beauté, où se dessine de manière symbolique l’ouverture d’un savoir sans limite. Les liseuses ont la primeur de la reconnaissance intellectuelle de la femme, loin de leur fourneaux de cuisine. L’Art n’en finit pas de construire et d’élucider le mystère du machisme. La Boétie, dans son Discours de la Servitude Volontaire retranscrit parfaitement le fait que la Femme doit et peut se sortir de sa condition au XVIème siècle. Aujourd’hui, que penserait-il de cette évolution ?

     

    "Nous ne sommes pas nés seulement en possession de notre franchise, mais avec affection de la défendre." La Boétie
  • Ecriture et hallucination? la Doxa, équivalence de L'Enfer de Dante

    d471cb8a141bcd933f5cdc1ab4747c77.jpg> Ecriture et hallucination ? la Doxa, équivalence de L’enfer De Dante 12 octobre 2007, par VB

     

    Pauvres êtres surréalistes que nous sommes. Incapables de choisir un chemin bon ou mauvais, et de s’y tenir, sans jamais le rebrousser. Oui, l’écriture résulte d’une hallucination personnelle, tendancieuse narcissique et onirique, parce que justement illuminée et donc, subjective par sa non-existence. Toutes les sensations ressenties au moment où la mémoire vous retend sa main, afin d’affiner nos pensées, nos écrits, là où tombe le mot juste, là où nous jouissons cérébralement, aucune critique ne peut en venir à bout. Nous sommes les fortificateurs d’un monde auquel nous n’appartiendrons jamais dans sa réalité, et c’est là que se définie le surréalisme. De Breton à Artaud, nous nous perdons pour mieux nous retrouver, mais dans un autre registre, celui de la cohérence. Encore faut-il avoir le talent pour !...

     

  • 9 semaines et demi...

    947f8e992b94f4cd73c62bed736d0b48.jpgElisabeth, superbe blonde à la sensualité exacerbée
    A déposé sa couronne de beauté jusqu’à ses pieds
    Lui c’est John, fringant bookmaker au sourire ravageur
    Maître des lieux et maître de son cœur
    Son corps et le sien sont en osmose totale
    Celle de la passion fatale
    Mais il croit à la hiérarPendant qu’elle, vivant cet amour comme un art
    Se délite au fil des jours de cet amour si puissant
    Lui collant à la peau comme le veut le dit amant
    Qu’il ne peut qu’être irréversible, ensorcelant est leur nectar
    Autant qu’éphémères sont leurs heures érogènes
    De subtiles sensations ne durent jamais, pas de veine
    Question séculaire du choix de la passion
    Décrite ici avec intentions poétiques et interrogation féerique
    Du pouvoir divin de nous laisser prendre l’eau pour du vin
    Vint le pire juste avant la fin
    La rupture arrive bien trop tôt
    Car Elisabeth avait jeté son étau
    Et tous les spectateurs ce soir là
    Pleuraient dans la salle, et ça, ce n’était pas du cinéma.