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illuminé

  • Remise à niveau... II

    Il y a ceux ou celles qui ne retrouvant plus leur chemin à un certain moment de leur vie vieillissante, croit qu'en se ralliant à LEUR vérité, ils s'en porteront mieux. Alors, ils terrent leur mal-être en calomniant ceux qui vivent leur croyance du mieux qu'ils le peuvent, en prenant les références qui les arrangent. Lamentable, voilà les vrais miséreux, les envieux, les jaloux. Vous pouvez toujours prier et prôner la bonne parole, mais vos sentiments sont loin d'être aussi purs que ce que vous voulez laisser croire... Balivernes! Ouvrez grand vos yeux embués par l'orgueil de vos pensées. Et laissez à ceux qui osent être, exister dans leur plus pure croyance., loin, très loin de vos loghorées d'illuminés.

    Dieu, qu'il fait bon vivre à tes côtés!

  • L'effet mère :

    Lumineuse pénombre

    Que ton ombre vagabonde

    Suive chacun de mes pas

    Et fait  de mes amours lunaires

    Un paradis micellaire d’empreintes

    Bien loin de l’effet mère

    Où les mots dits plébiscitent l’aura

    L'auréole de mon moi

    Couronné par je ne sais quelle foi

    Eternelle guerrière du sang qui coule dans mes artères

    Mon moi n’est qu’un je déguisé

    Emblématique d’un Rimbaud Illuminé

    D’Un  Narcisse extasié

    D’Un  Artaud condamné

    Par Un Dante inspiré

    Et pour éclore, Un Homère sanctifié

    Clé infinie de mes Repaires imaginaires.

    "Les mères ont leur raison que la raison ignore. Le diable y travaille, et Dieu bénit parfois le boulot à l'envers" Ph. Sollers

     "Le Colosse" Goya

    colosse Goya.jpg

  • Ecriture et hallucination? la Doxa, équivalence de L'Enfer de Dante

    d471cb8a141bcd933f5cdc1ab4747c77.jpg> Ecriture et hallucination ? la Doxa, équivalence de L’enfer De Dante 12 octobre 2007, par VB

     

    Pauvres êtres surréalistes que nous sommes. Incapables de choisir un chemin bon ou mauvais, et de s’y tenir, sans jamais le rebrousser. Oui, l’écriture résulte d’une hallucination personnelle, tendancieuse narcissique et onirique, parce que justement illuminée et donc, subjective par sa non-existence. Toutes les sensations ressenties au moment où la mémoire vous retend sa main, afin d’affiner nos pensées, nos écrits, là où tombe le mot juste, là où nous jouissons cérébralement, aucune critique ne peut en venir à bout. Nous sommes les fortificateurs d’un monde auquel nous n’appartiendrons jamais dans sa réalité, et c’est là que se définie le surréalisme. De Breton à Artaud, nous nous perdons pour mieux nous retrouver, mais dans un autre registre, celui de la cohérence. Encore faut-il avoir le talent pour !...