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Articles - Page 8

  • Question...

     

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    Peut-on tout écrire, tout dire ? Cette interrogation s’impose à moi par le biais de ma mère qui me demande de cesser toute publication autobiographique sur le net, ou dans un livre (si Dieu veut). Je savais que cela lui poserait problème. L’écrivaine Marie Billetdoux, m’avait fait part de cette éventualité. Elle me conseillait à l'époque, de ne pas faire cas de cela et de ne penser qu’à moi. Quitte à être fâchée avec le reste de ma famille, qui par ailleurs, ne m’avait jamais apporté que des critiques, des jugements dans lesquels ils excellaient, à l’exception de mes grands-mères, bien-sûr.

    Ce besoin d’écriture m’était vital, et, il grandissait avec le temps. A quoi bon raconter sa vie, si vous ne la partagez pas avec le public ? Garder tout pour soi, n’était pas le besoin que je ressentais. La vie ne vaut d’être vécue pleinement à une unique condition, celle du partage. Si je devais commencer à faire cas des avis de tout mon entourage, autant me taire, et me contenter de poétiser sur la Nature, quelques photos à l’appui.

    Ecrire était à mon sens la seule façon de faire une psychanalyse sans personne pour vous écouter. Je soignais mon âme, de cette façon-là, sorte d’exutoire à ciel ouvert. Passage obligé afin que l’on ne retienne pas de moi uniquement le mauvais côté de la lune. Lune, ciel, toujours présents, hors -champs photographique ! Je pensais que cela pourrait aider d’autres personnes au parcours similaire, et le fait de me dévoiler littéralement et littérairement, était une forme d’ «absolutisme », Freud aurait sûrement dit que cette quête de l'absolu fut une forme d’hystérie… Probable. Cela importe peu.

    Pour en revenir à ma mère, elle était ma plus grande censure, et le comble est que mon histoire ne faisait que commencer, qu’en serait-il lorsque je rentrerai dans les détails de mon enfance ? Cris, hurlements assurés, puis fuite, ou fugue. Je ne supportais plus les tumultes. Elle devait s’en accommoder, car je le dis pour la énième fois, j’écrirai ma vie car elle est bien remplie, et comme chaque vie, mérite que je l’on s’y attarde, sans la moindre vanité. Je ne voulais qu’une chose, c’était que l’on comprenne mes dérapages incontrôlés, car incontrôlables. J’étais prête à tout donner, sans restriction. Je pris cela comme un don de Dieu, et l’on ne se dérobe pas à la volonté du  Seigneur. Je connaissais le prix à payer, et je n’étais pas avare, alors… comme le disait mon mari : « Toi, tu te nourris de lettres, de A, de B, de C, tes plats préférés sont les vingt six lettres de l’alphabet, quel menu!" Grand éclat de rire devant cet humour auquel il ne m’avait pas habitué. Cela prêtait deux fois plus matière à rire puisque c’était pourtant vrai. La littérature me happait de manière autoritaire et je m’y abandonnais volontairement. J’étais en amour, et j’aimais cela. Mes convictions s’amplifiaient de jours en jours. Le désir d’écriture avait pris le pas sur la fatigue, le mal aux yeux… On ne renonce pas à la bénédiction du Christ. L’environnement, le décès de Mamie, la solitude choisie, l’arrivée de Bobine, étaient autant de raisons pour continuer de tracer ma route.

    Quoi qu’il en soit, qu’il en fut ou qu’il en sera, tout cela sentait bon la sincérité, mon « plat » préféré !

    Bonne soirée à vous.

     

  • Précision...

    Après avoir écrit mes articles d'un seul jet, je les relis toujours, dans un but d'amélioration, et dans un espoir de perfection. Merci d'en tenir compte. J'apporte donc souvent des modifications à mes textes... Si cela vous intéresse, je vous invite à relire mes écrits. Merci.

  • Bobine, la ponette, cet après-midi...

    Ce petit être a pris dans ma vie une place aussi grande que ce qu' Elle est petite. On a (vraiment) toujours besoin d'un plus petit que soi! C'est une source d'amour pur. Sur la photo, il semble que le licol de cuir soit trop ajusté, mais cela n'est qu'une impression.

    Bobine et Gemini cohabitent de mieux en mieux, Dieu les préserve. Ils sont toujours côte à côte, même si "le gros" passe une grande partie de la journée au pré, en compagnie d'autres de ses congénaires, plus en rapport avec sa taille. C'est fou comme leur hiérarchie s'impose de manière toute naturelle. Et nous, les humains, n'y pouvons rien faire. C'est ce qu'on appelle le rêgne animal.

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  • Rêve...

    enfance,rêve,grand-mère,peine,souvenir,livreDevant la frénésie de mon appétence créatrice, dormir était devenu  un besoin vital plus qu'une envie naturelle. Fatigue et surexcitation avaient fait leur nid au sein de mon être. Je réussis malgré tout à dormir quelques heures.  Durant mon sommeil, je rêvais de ma Grand- mère . Ce songe avait une signification.  Elle me disait de ne pas la suivre. Elle me fuyait, chose improbable de son vivant. Nous étions si souvent ensemble! Ô mamie tu me manques! Voilà que mes yeux se mirent à briller devant  la puissante montée du chagrin ressenti. Malgré tous les efforts nécessaires pour ne pas trop m'apitoyer sur ma peine, les  larmes me furent imposées. Visage trempé. On pleure toujours quelqu'un par égoïsme, c'est du moins ce que je crois, surtout dans le cas de ma grand- mère, qui endura pendant plus de douze ans la maladie d'Alzheimer, et dont je m'occupais durant quelques années. Puis Maman prit le relais.

    Je faisais la "morale" à ma mère, très souvent par téléphone, elle pleurait tel un petit enfant.  Alors, je redoublais de courage afin que nous ne sombrions pas dans une irrémédiable et profonde tristesse. Je savais que si je me laissais aller à la peine, je n 'étais pas sûre de recouvrer un moral d'acier, ce dont j'avais le plus besoin, pour être seulement vivante.

    Mais, c'était sans compter sur l'inconscient, qui lui, n'oubliait rien de tout cela, et faisait resurgir de douloureux souvenirs, alors je jurais que le livre prendrait vie. Je mettrai le temps  nécessaire, mais j'y parviendrai.  Je l'ai déjà dit: Rien ni personne ne saurait me faire reculer. Ce sera son  cadeau d'Adieu. Devrais- je y laisser ma peau... de chagrin, j'achèverai mes mémoires en hommage à Mamie. Je lui devais tant, et Elle aurait été si fière devant le bonheur de voir sa petite- fille s'accomplir dans le domaine qu'elle affectionnait tant, celui de la littérature. Mon arrière grand- mère m'avait appris à lire dès l'âge de cinq ans.Nous vivions entre femmes, ma mère, souvent absente, ma grand-mère, et mon arrière grand-mère, et ce jusqu'à l'âge de vingt ans, début 1987, le 2 janvier plus exactement, date à laquelle mon aïeulle s'éteignit... Pause.

    Déjà solitaire, enfant, j'écumais tous les livres de la bibliothèque rose, puis verte, puis vint Marcel Aymé et son chat perché, Delphine et Marinette, Alain Fournier, Jack London, Lafontaine et ses Fables fameuses, Verlaine et la pluie sur son coeur, pour ne citer qu'eux. La poésie et les livres avaient déjà fait leur entrée. J'ai toujours conservé un petit recueil de "poèmes", j'avais dix ans à peine. "La neige et son blanc manteau", revenaient si souvent dans mes thèmes! J'en compris bien plus tard la signification.

    Contrairement aux enfants de ma classe qui partaient chaque hiver à la montagne accompagnés de leurs parents, moi, j 'inventais ce que je ne faisais pas.  Je ne manquais de rien, certes pas, mais le foyer familial traditionnel me fit douloureusement défaut.  Je fus adulte avant d'être enfant! C'est exactement ainsi que je résume ma vie passée... Puis vint le moment où la terre se mit à trembler... cela était irrémédiable pour un être à la sensibilité exacerbée...Hypersensible. Alors, je me pris comme cible, tient, ça rime... à rien! Gâchis, le seul et unique mot résumant mon adolescence. Réveil des sens, çà rime encore, effort..., non, ça suffira pour aujourd'hui...


  • Petit bouton de rose, n'aura pas le temps d'éclore...

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    En ce dimanche d'Avent, sortant à l'intérieur, c'est -à-dire dans mon jardin, je tombai nez à nez avec ce bouton de rose sauvage, qui semblait attendre ma venue. Je pris cela comme un cadeau de Dieu, un don de la Nature, une offande des Cieux. Quelque chose comme ça, tant ma découverte était innatendue. Encore toute mouillée, elle ne semblait pas vouloir, ou pouvoir éclore plus exactement. "Je suis bien seule, et bien petite, pour m'ouvrir au monde. Ma couleur est là pour attirer le regard, mais n'en espère pas davantage. Une pluie battante s'est abattue sur moi de toute ses forces durant toute la nuit, alors je vais fâner avant même d'avoir eu le temps de naître."

    La nature est quelquefois cruelle, rien n'est uniforme en ce monde, tout n'est qu'éphémèrité. C'était un renouveau permanent. Je ne changerai rien, l'idée ne m'effleurait même pas : Dieu seul décide de ce qui doit être, naître, subsister ou mourir. 

    Bon dimanche à tous!

  • Le prix à payer...


    livre,écriture,littérature,style,question,aptitudeLa nuit, le vent, le froid, la pluie rendaient mon humeur encore plus sombre. L’obscurité due au mauvais temps masquait totalement le ciel. Les étoiles semblaient s’être éteintes. Je faisais comme tous les soirs, et quelquefois même tard dans la nuit, ce que j’appelais ma ronde nocturne. Je  descendais de la chambre afin de m’assurer que mes chevaux aillent bien, ce qui était le cas. La ponette dormait lovée entre les jambes de Jimmy, qui semblait imperturbable, plongé dans le sommeil paradoxal des équidés, c’est-à-dire, qu’ils ne dorment que d’un œil. Le battement de la porte de la cave, interrompait le silence de la nuit. Il fallait réparer le verrou, ou le changer. Mais mon mari avait suffisamment de travail, pour que je lui en laisse le temps. La pluie, faisait sortir une odeur d’humidité, qui accentuait la fragrance de la terre mouillée. Après m’être rassurée, je remontai dans la chambre où mon époux dormait, ainsi que ma chienne, d’un profond sommeil, à l’inverse des chevaux.

    Je ne pouvais me résigner à rester couchée. Les douze coups de minuits venaient de faire basculer la nuit dans un jour nouveau. Je respirai  en profondeur, tentant de me calmer. Le vent avait une forte emprise sur moi, celle de me crisper, de mettre mes nerfs à vif.  Je n’étais pas satisfaite de mes créations de la journée. Pas de corps à corps avec moi-même. Mon ambition s’en trouvait déstabilisée. En effet, j’avais peu dormi et beaucoup lu. Un peu de tout, beaucoup de rien ! Je détestais cette façon de m’opposer à une rigueur certaine et nécessaire à un travail aboutit. Je venais de relire le contenu de mon blog, et j’y trouvai une faute d’orthographe, de plus, la beauté des photos publiées n’étaient pas à la hauteur de mes espérances, ainsi que les quelques lignes qui les illustraient : médiocrité, malaise, mal-être. Méthode, voilà je manquais de méthode. J’étais comme un musicien sans son instrument.

    Donner forme à ce que l’on vit au quotidien n’était pas une mince affaire, contrairement à ce que l’on pouvait imaginer. Cela induit à la coïncidence des phrases, la cohésion des mots. Je devais me soumettre à la chronologie de ma vie, clarifier ce qui méritait de l’être. Je réalisais qu’écrire sa vie, c’était se mettre en danger. Soudain, je ressentis une certaine angoisse. Donner forme au passé, aux évènements  représentaient parfois un problème. Mon excessivité  légendaire était une menace supplémentaire, un risque de perdition totale. Voilà l’état dans lequel je m’étais plongée, au risque de me noyer ; je devais illico refaire surface, et suivre la chronologie de ces journées. Ceci représentait la vision d’un horizon plutôt trouble. Mais je savais que je ne perdrai pas pieds. L’attrait de la nouveauté m’excitait et m’effrayait simultanément. La littérature ne souffrait aucune faute, j’avais trop de respect pour elle. Il fallait que la vie s’écrive comme elle s’écoulait, avec fluidité. J’oubliais le fait de n’avoir pas fait d’études de Lettres, et donc, je devais être deux fois plus irréprochable, tout en restant humble avec moi-même. J'écoutai l'interview de l'écrivaine Annie Ernaux, elle discourait exactement du sujet qui m'incombait, sur France Culture. Un seul de ses mots et elle me rendit à moi-même, inspiration, merci Madame. Je n'oubliai pas de commander expréssement son dernier livre, "L'Atelier noir", dans lequel, elle racontait avec véracité, sa vie de manière quotidienne. Cela risquait donc de m'aider dans ma démarche. Effectivement, j'étais en accord total avec ses dires. J'avais déjà lu "Passion simple" ainsi que "Journal du dehors". Cette personne me sembla être en adéquation avec l'idée que je me faisais de l'écriture. Cela ne datait pas d'hier. Pour éviter toutes formes de plagiat, je devais être très vigilante. La frontière était infimement sensible.

    Mon histoire regardait mes futurs lecteurs, et je ne perdais pas de vue le but d’un bon ouvrage, celui d’apporter quelque chose d’utile. Je n’écris pas pour faire bien. Si le style suit le texte, ce sera une aubaine. Le rythme des descriptions était un moteur essentiel. Je ne doutais pas du bien fondé de mon engagement, j’étais décidé de mener à terme ce projet, quoi qu’il ait dû m’en coûter. Oui, j’allais replonger dans un passé douloureux, et c’était le seul moyen de faire fonctionner ma mémoire. Je ne dois pas avoir peur, j’étais terriblement seule, mon entourage n’avait rien à m’offrir quant à la question qui se posait ; je devais me débrouiller par mes propres moyens, sans attendre l’aide de quiconque. La trame, ajoutée à une cohérence harmonieuse, cela n’incombent et n’incomberaient toujours que moi. Je m’attendais au pire, car je savais ce (ceux) qui m’attendait (aient). Je savais les coups qu’il me faudrait esquiver.

    Puis, je ne sais pas par quel miracle, enfin détendue,  je me mis à sourire. Un grand sourire. « Allez, petite, tout cela n’est que simple littérature après tout ! (Humour), alors, zen… Voilà l’occasion de savoir une bonne fois pour toute si tu es apte à l’élaboration de ce livre en prévision, cet œuvre qui te taraude tant depuis des années, savoir si oui ou non, tu es capable de raconter ta vie, et de la mettre en forme au jour le jour de manière littéraire, c’est toujours ce que tu as voulu faire, n’est-ce pas, Ecrire,( le E majuscule a toute son importance) ; reste à savoir si Dieu guidera tes premiers pas dans la grande famille des intellectuels, mystère… »

    C’était le prix à payer, et je n’étais pas très « riche », alors, courage ! 

  • Ecrire...

    C’est se mettre à nue, ne rien devoir à personne, être en danger en permanence. Rien n’est jamais gagné. Tout est toujours dans le recommencement, dans la perspective concrète d’un travail achevé. On est seul avec soi-même, devant sa feuille A4, sans personne vous incitant, vous encourageant à continuer. Cela pose même des problèmes à votre proche entourage qui fera tout pour vous dire d’arrêter de raconter votre vie. Mais, il est déjà trop tard lorsque cela devient un automatisme cérébral devant lequel personne et je dis bien personne ne peut aller à l’encontre. Laisser faire les fées dans le meilleur des cas, ces entités bavardes qui partent en croisade avec votre envie phénoménale d’écrire. Ce besoin est viscéral, intrinsèque, il ne souffrirait pas que vous le mettiez de côté, de jour comme de nuit, car sans lui vous n’êtes plus rien. Seule solution, se laisser aller afin que l’œuvre s’accomplisse. Mais la desquamation de votre vie ne fait que commencer, lire, relire, après chaque paragraphe, corriger ce qui doit l’être, faire attention aux fautes de conjugaison et de ponctuation. Ces satanées erreurs peuvent vous ronger pendant des lustres, et ce malgré les différents outils susceptibles de vous faciliter la tâche. Tout dépend du contexte, et là, aucun dictionnaire ne saurait vous secourir. Pour un point ou une virgule mal placés et voilà que tout le sens de votre texte  en est changé ; tout peut très vite basculer ! Hésiter sur un point, une virgule, un point virgule, raturer, recommencer car les mots deviennent illisibles à force de déraper ! Après avoir vérifié chaque terme avec soin, sommes-nous réellement certains de la cohérence recherchée ? Pas sûr…

                                                

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    C’est dans ces instants de doutes qu’il ne faut pas perdre espoir. Ce n’est pas à cause d’une virgule que l’on doit cesser, au contraire, c’est maintenant que la bataille commence. C’est pour cela que l’on s’exprime, pour rentrer en conflit avec soi-même, avec pugnacité et sans jamais oublier la maxime de Jacques Cœur, « A cœur vaillant rien d’impossible ».

    Le reste de votre vie est réduit à zéro, votre mari ou votre femme ne supporte plus de vous voir ailleurs, même si vous regardez un film et ce quelque soit le film ou l’émission, votre esprit vagabonde encore et encore… Ils le sentent, vous êtes absents du scénario conjugal, vous n’y pouvez rien, alors tensions, distances, distorsions même, vous n’y échapperez pas. Personne ne vous fera reculer, pas même le manque de sommeil. Le besoin d’écrire s’accroît au fil des jours et des nuits, et lorsque ce n’est pas le cas, il faut bien nourrir son esprit, il vous faut lire, cela s’impose. Et le temps passe vous laissant plus seule mais aussi plus heureuse que jamais. Et lorsque vous ne lisez pas, vous cogitez inlassablement, obsessionnellement à la trame de l’histoire, aux chapitres, à la forme de votre manuscrit. Plus rien ne compte, c’est cela écrire, accepter avec résignation la solitude dans laquelle vous vous êtes plongé avec délice.  Car vous savez bien que ce n’est pas un caprice, non, il y a trop de temps que vous l’attendiez ce moment là, et il ne vous échappera pas. Impossible. Il vous faudra également accepter le mauvais regard que vos proches posent sur la préférence qui vous anime : Celle d’écrire encore et toujours, tant que la sacro- sainte inspiration est là, pas question de se dérober. Malgré tout, certaines questions viendront toujours  se poser sur votre épaule, alors vous finirez par admettre qu’il n’y avait pas à faire de choix. C’est l’écriture qui s’est imposée à vous, et non l’inverse. C’est ce jour là que vous aurez compris et réalisé ce dont pourquoi vous êtes fait, ce dont pourquoi, somme toute, vous vivez.

  • Passions...

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    Je tiens tout d’abord  à remercier tous les gens qui se sont attardés sur mon blog ; cela me fait chaud au cœur… Il a besoin de tellement d’amour, d’attention, mon cœur ! Je dis merci à ceux qui ont aimé, comme à ceux qui n’ont pas apprécié le site. L’important est de savoir que vous êtes là, qu’importe les commentaires, cela n’est pas l'essentiel. En période de crise, restrictions générales !

    Puis, je remercie L’Eternel, de me donner la santé, ou du moins, de ne pas aggraver son état. Car comme je l’ai dit précédemment,  un de mes organes, celui  que l’on appelle le cœur, semblait être en mauvaise posture.

    Je dus passer une scintigraphie du myocarde, dont je reviens il y a quelques minutes…

    Après une peur plus ou moins aigüe, selon les secondes, j’étais presque certaine qu’il y aurait un souci, le cardiologue le pensait également, j'ai su. Dieu merci, après trois heures d’attente, d’examens, d’imageries, et test à l’effort, on me dit que je n’avais rien. Ouf, quelle joie, j’en embrassai le médecin, du reste, un Monsieur très sympathique, un rien comique. Il me dit, une fois les résultats en main, que mon cœur n’avait rien d’anormal. Donc, pas d’infarctus en prévision, du moins, par pour le moment.

    On ne se rend jamais compte quand on est en forme, combien  est précieuse la santé ! On n’imagine pas qu’elle puisse nous lâcher, alors on abuse des bonnes choses, se pensant invincible, tant et si bien, que lorsque l’inverse se produit, on se trouve dépourvu devant l’irréparable. Nous n’avons qu’une vie, et la préserver fait parti des principes que l’on a souvent tendance à oublier. Il faut que la " faucheuse" montre le bout de son nez pour que l’on sache tout cela, et toutes les souffrances qu’elle peut occasionner. Je célébrerai chaque jour le fait d’être vivante. Même si je ne peux plus festoyer comme par le passé, même si je ne suis plus tout à fait la sportive que je fus, cela n’est plus important. Lire, écrire, contempler, visiter de beaux monuments, (surtout les cathédrales, je voudrais toutes les connaître, toutes ces merveilles architecturales qui jalonnent notre beau pays), voilà désormais ce à quoi je prétends. La Passion démesurée pour l’Art… Tout n’est et fut que démesure, de plaisirs en excès durant la moitié de ma vie, alors, une passion saine, est réellement ce que à quoi je ne pouvais qu’aspirer, après ma quarante cinquième année. Je ne parle pas de mes chers animaux, mes amours...

    Je dois malgré tout rajouter, que ce goût du savoir, ne m’est pas tombé sur la tête d’un seul coup. Il a toujours été présent, mais d’autres passions, beaucoup moins glorieuses,  se présentèrent à moi, avant d’avoir compris le véritable sens d’une vie, la mienne en l’occurrence. 

  • Sartre et le sida...

    Ardant défenseur de l'Humanisme, des Droits de l'Homme, et Maître à penser, qu'aurait-il pensé devant les tabous persistants du sida, toujours en vigueur, hélas ? Aurait-il eu La Nausée?...

    la nausée.jpg

  • Erratum

     Quelque chose me chiffonnait entre ces ceux bâtiments sis l'un à côté de l'autre en effet, le Centre de la Vieille Charité, abrite La Cathédrale de La Major, dont il est question dans mes articles précédents.

    Veuillez m'en excuser, ces deux bâtiments sont construits l'un à côté de l'autre, et se touchent par une cour intérieure, mais restent bien distincts.

    Le Corbusier, vers 1940, remarqua son état délabré. La ville entreprit dès lors, à partir 1961, la restauration de ce monument ; ces travaux dureront vingt cinq ans, et ce jusqu’à 1986.

    Aujourd’hui, le Centre de la Vieille Charité abrite plusieurs structures multiculturelles, comme le musée d’Archéologique Méditerranéenne, tel le musée des Arts Africains, Océaniens et Amérindiens.

    Le centre International de la poésie de Marseille, (le C.I.P.M) ainsi que l’I.N.A, le C.N.R.S et l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales font également partis de La Chapelle de La Vieille charité.

    Pour ce qui est de l’architecture, il s’agit d’une chapelle à coupole ovale, de style baroque, rythmant avec élégance l’intérieur de l’édifice. Elle est construite de pierre rose et blanche de la carrière de la Couronne. Le fronton est d’allure classique, dans le style Second Empire. Les bâtiments de la Vieille Charité se composent de quatre ailes fermées sur l’extérieur et ouverte sur une cour rectangulaire.


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  • Jour de bonheur...

     

    animaux,poney,cheval,chien,temps,livreComme prévu, le bébé poney est arrivé. Elle s’appelle Bobine, et est vraiment toute petite, pas plus haute que ma chienne ! Gemini, mon cheval est tout content, cabrioles, sauts, allures "classieuses", c’est son cadeau de Noël, j’espère qu’il sera courtois avec cette petite bête… Ils se sentent, se toisent, elle hennit très souvent, premier jour de sevrage. Je suis aux anges, mon mari aussi ; même si cela représente encore davantage de travail ! Ne jamais donner plus d’amour, de caresses, de gâteries,  à un plus qu’à l’autre, très important pour éviter toute jalousie qui entraînerait d’incongrues postures. Je prie le Bon Dieu, pour que cette nouvelle venue n’ait pas à subir les désagréments du cheval.  J’avouerais qu’une petite peur siège à l’intérieur de mon cœur. L’aspect de la nouveauté, cela me réjouit, oui mais si lui arrivait malheur, je ne le supporterai pas. Un poney mange autant que vous le lui permettez,  je dois donc redoubler de vigilance, car Gemini, lorsqu’il est rassasié cesse d’ingurgiter ; il n’en est pas de même pour les Shetland, qui au contraire, mangent autant que possible. C’est une journée rare dont je susurre les secondes avec délectation, et qui défilent, toujours très vite. Ce temps, qui inévitablement, ne cesse jamais de vous faire avancer, du bon ou du mauvais côté de la barrière, il vous entraîne dans sa course folle, que vous le vouliez ou non. Il est terrible le temps, en vieillissant, on s’en aperçoit vraiment. Il est indéniable de s’y adapter, sinon, vous restez en rade ! Mes animaux sont une source de jouvence pour ceux qui les chérissent. Certes, la loi de la nature est parfois intransigeante, alors surveillance renforcée. Voilà, je vais devoir cesser d’écrire afin de nourrir « mes enfants », qui déjà, vus de la baie vitrée, s’impatientent tels des lions en cage !

    Je suis en proie à la lecture d' un superbe roman, celui de Joseph Fadelle, une histoire vraie dont je vous parle un peu plus bas. L'histoire inouïe de deux jeunes militaires de confessions différentes, dont un se convertit à celle qu'il juge la plus adaptée à ses idées, et ce malgré les insurgés, malgré la sainte et fameuse Famille, celle que l'on n'a pas choisi...Il se lirait d’une seule traite pourvu qu’on en ait la possibilité et le temps, le revoilà ce fameux temps, Monsieur l'hyper pressé, qui vous oppresse et vous happe à la vitesse dont il est le maître absolu. A nous de nous adapter, de voler sur les ailes de ce temps qui s'emballe et de remercier la vie pour tous ces instants de félicité.

    Bonne soirée

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     Premier contact

  • "Nous sommes ce que nous faisons de nous-mêmes" Michel Onfray

    Cette phrase est à mon sens un comble de vérité. Nous devenons ce que notre esprit, toujours Lui, voit, touche, sent, entend. Par delà, il trouve sa voie, et nos actes s’ensuivent. Quand je parle de «Nourrir sa foi », il y a différentes façons de percevoir la sentence. En effet, même les gens athées ont droit à une nourriture spirituelle. Peu importe la sorte, du moment que seule la qualité et le bien fondé en dépendent. Chacun doit rester libre de penser, Dieu merci, ce qu’il juge bon pour lui comme pour son entourage, dans le meilleur des cas. Certaines personnes sont incapables de bonheur, cela ne concerne qu’elles. Nous n’avons pas le droit de juger la façon vers laquelle les différents "moi" évoluent. Sartre disait qu’il n’était pas pessimiste mais d’une dureté optimiste. (L’Existentialisme). Autre manière de voir les choses.

    C’était sa manière à Lui de concevoir le regard qu’il portait sur les actes de son temps. Et son existence fut vouée et dévouée à exprimer ses idées. Voilà un homme magnanime, un vrai.

    La société met tout en marche pour nous modeler selon l’image, qu’elle-même, le plus souvent ne respecte pas. Ne nous laissons pas anéantir par d’absurdes histoires, dont la télévision, ne nous prive certes pas. Dans ce cas précis, les médias sont d’excellents témoins de ce qu’il se passe sur notre terre.

    Hier au soir, en zappant, je tombais, c’est le cas de le dire, sur le magazine « Enquêtes exclusives ». Cette émission concernait les mormons dans l’Etat de l’Utah, aux Etats-Unis. Je n’en suis toujours pas revenu ! Ainsi ces hommes aux multiples femmes, semblants heureuses au demeurant, se servent de leur église (celle de Jésus-Christ), c’est une folie, pour faire valoir leurs envies et les mettre en application. Le fait le plus marquant est qu’ils baptisent des personnes défuntes, et pas des moindres, tels que Guillaume Depardieu, Dalida, Edith Piaf, ou encore le Général De Gaulle, pour ne citer qu’eux, incroyable ! Auraient-ils souhaité cela de leur vivant? J'en doute!!! Et les familles dans tout ça ? Sont-elles informées, à mon avis, sûrement pas. Insupportable !

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    Personne n’intervient, mais dans quel monde vivons-nous ? Ils ont décidé que la fin du monde, leur satanée apocalypse, serait pour très bientôt, alors ils commercialisent, au sein de magasins mormons, toutes sortes de produits dits de survie, à des prix faramineux. Cela, afin de résister en cas de pénurie!!! 

    Je n’en finis pas d’halluciner : Ils disent aimer vivre en famille, (ce ne sont pas les seuls), ils ont donc choisis le mariage plural, où toutes les épouses sont plus croyantes les unes que les autres. Ils sont très forts : cela me rappelle « L’Art de persuader » de Pascal, circonvenant leurs semblables, et ce avec des arguments de choc. Ces communautés sont très riches et, possèdent des bunkers, dans lesquels sont archivés ce que nous ne sommes pas capables de conserver en cas de séisme ou de guerres … Serions-nous plus pauvres que ces gens ? Hallucination complète ! Aucun gouvernement ne semble s’y intéresser, excepté Obama, qui reçut à la Maison Blanche, un grand commandeur de cet ordre, pas si illuminé que ça. Ils prétendent rendre service à l’humanité ! Bien-sûr, ils croient en La Bible, Re-hallucination, cela est sans fin. Oserais-je dire que parmi tous ces « braves gens », je ne vis pas de personnes à la peau noire dans le reportage ?

    Racisme, évidemment, mais toujours sous jacent, l'envers d’un décor qui se prétend en accord avec le monde, leurs enclaves regorgent de missionnaires un peu partout à travers les pays, cherchant la conversion chez des personnes, souvent fragiles. Redoutables, leurs jeunes missionnaires, au visage angélique !

    Permettez-moi de rajouter ceci : Leur histoire débuta au XVIIIème siècle, leurs membres se comptent au nombre incertain de quatorze millions, dont trente six mille en France. Nous sommes cernés pas toutes sortes de manipulateurs, alors méfiance ! Prenons garde à la pitance dont nous nourrissons notre esprit… Cela peut très vite tomber dans un sectarisme, pas foncièrement choisi. Ne nous laissons pas dogmatiser par de fausses croyances.

  • L'humilité, arbre de vie

    "Episode de La Visitation" Albertinelli

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    Dieu se plaît à se découvrir aux âmes humbles. On ne doit pas craindre de trop s'humilier. L'humble est l'avocat des  absents. La douceur, la patience, la modestie, l'obéissance, la haine de soi- même , le renoncement à ses propres lumières et à l'esprit du monde sont le chemin des lumières de la foi.

    La réflexion , guidez par la foi, découvre à l'homme ce qu'il est,  le convainc de sa fragilité, de la dureté de son cœur.

    La conviction principale est que seul leTrès-Haut, qui s'était placé justement au plus bas niveau est notre unique rédempteur.  C'est pour nous qu'il est mort, crucifié sur une croix qu 'il dût porté lui - même.

    Ne l'oublions pas... Restons humbles, de toute façon, nous ne pouvons être plus bas.

    L'humilité est la vraie bonté des riches.  Qui a trouvé l'humilité à trouvé l'arbre de vie. C'est elle qui aide à porter la voix de Jésus- Christ. Ce n'est qu'à l'ombre de la modestie, que l'innocence peut conserver son éclat. Ce n'est que dans la solitude ignorée du monde, que peut se maintenir la fraîcheur céleste.

    En cette période de l'Avent, il me semble nécessaire de se remémorer quelques pensées, concernant notre croyance au Très-Haut et à la Vierge Marie.

     

  • Actualité d'une joueuse!

    écrire,lire,soleil,nature,herbe,sollers,billetdoux« Je sculpte mon âme », sur les conseils de Platon, étendue sur l’herbe encore reluisante par la gelée nocturne. Du soleil plein les yeux, je fais le plein d’énergie, et comble mes carences en vitamines D.

    Je joins l’inutile à l’agréable !

    Sur "France Culture », j’ai la chance d’entendre Marie Billetdoux, dont je n’ai qu’un seul mais bon souvenir, lors d’un Salon du livre de Toulon. C’est une très belle femme, son âme semble ne l’être pas moins, elle me donna quelques conseils quant à mon projet autobiographique. Loin des idiots, vous savez, ceux qui se croient supérieurs intellectuellement parlant, se cachant derrière un pseudo, assis derrière leur écran,  dans lequel, je suppose ils doivent se mirer, tant leur narcissisme est immense, autant que leur méchanceté d’ailleurs ! Loin de ceux qui essaient de vous faire passer pour une idiote, de plus une idiote blonde, comble de facilité, vous en conviendrez, n’est-ce-pas ? Ce qu’il y a d’étonnant (détonnant), est que « Google » semblent les suivre dans leur pitoyable démarche. On ne retient de vous que des bribes de phrases, tel un montage médiocrement exécuté. Exemple, je lisais hier sur « Philomag », le contenu du lien Googuelien : « …Valérie Bergmann. Incompréhension générale. » Alors qu’il s’agit tout simplement du titre que je donnai à un commentaire sur Brigitte Bardot. Au fond je les plains ces culs terreux, tentant désespérément de vous déstabiliser ;  ceci est un fait parmi tant d’autres coups bas… que je ne narrerai pas, inutile. Quelquefois, cela me fait sourire, et d’autres fois beaucoup moins. Ma sensibilité est mise à rude épreuve, pour peu que vous fassiez une faute d’orthographe, ce sera juste cette phrase qui apparaitra dans le lien !

    Au final, cela m’amuse, puisque ça me permet d’écrire ! En écrivant des choses vraies, le reste devient fluide, l’inspiration jaillit, car seule la vérité paye, c’est bien vrai. Dieu me préserve de côtoyer ce genre de personnages viscéralement calomnieux, il en faut du talent pour « casser quelqu’un », mais quel type de talent ? Le tas lent, serait plus approprié…

    Bref, je remercie la plateforme Hautetfort, la seule qui me permette de me défendre ou de m’expliquer, lorsque j’en ressens le besoin.

    Pour l’heure, ce sacro-saint soleil n’en finit pas de scintiller au milieu d’un ciel immensément bleu, immensément beau. Ma chienne profite aussi des rayons du roi Râ ! L’énergie solaire est sans égal, et ce pour tous les êtres vivants ainsi que pour la flore. Dans cette illusion printanière, c’est l’union  de la nature avec le corps et l’esprit. Essentiel pour rester vivant, être relié à toute forme d’authenticité.

    Cela ne signifie pas se laisser aller, ni faire pénitence, la vie vous en donne assez, non, simplement être soi-même, c’est déjà beaucoup.

    J’ai entamé hier soir la lecture « Les fleurs bleues » de Raymond Queneau : surréalisme total, aux frontières de mon entendement, mais je poursuis ma «  route », et cherche une explication à certains mots absents du dictionnaire, (un peu à la Georges Perec et son Oulipo), ainsi de drôles de mots se promènent devant mes yeux, en langage inconnu, parfois, faisant parler son cheval Démosthène, je nage en plein irréel, cela fait parfois du bien, l’irréel !

     J’ai en suspend quelques livres de Sollers, le seul et l’unique écrivain qui m’inspire, c’est ainsi, même si ma bibliothèque est foisonnante de très bons auteurs. Son « Je » souvent vénitien irait donc butiner chaque femmes qui le séduisent, non, je ne le crois pas. Sollers écrit ce qu’il ne fait pas et tait ce qu’il fait, voilà l’histoire. Il sait très bien que les gens adorent que l’on parle d’eux, alors, à travers   ses conquêtes, il révèle le souhait de beaucoup d’hommes ; et ça fonctionne ! Un ami parisien me disait l’autre jour : « Je continue ma vie à la Sollers… », Sous-entendant qu’il avait de nombreuses petites-amies dans sa vie !!! Et là, je ne peux m’empêcher de rire, gentiment aux éclats, Sollers, vous avez réussi, là où tant d’autres se sont fourvoyés. Le premier degré qui est en fait du second, est pris pour bon nombre de ses lecteurs au degré primaire.

     Laurent Mauvignier dans « Philosophie magazine » parle adroitement de « l’extime », juste contraction d’estime et d’intime, auxquels je rajouterai extrême.

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    Je continue entre deux lignes, de contempler l’herbe fraîche aux reflets d’argent, avant que le soleil disparaisse inévitablement, j’en prends plein les yeux. Je sors à l’intérieur, loin de la foule dominicale.

    Je terminerai mon scribouillage en citant Philippe « Solaire », j’espère qu’il ne m’en tiendra pas rigueur, « Pour vivre cachés, vivons heureux ». Cette sentence me va comme un gant… ce fut un travail de longue haleine mais j’y suis parvenu. Pourvu que ça dure ! Tant que,  depuis les Cieux Dieu aura un œil sur moi, il en sera ainsi, et vive la vie !

  • Cathédrale de la Major :(Suite) Voir dernier album photos

    Son architecture est grandiose, sa décoration intérieure, en marbre et porphyre, lui donne un aspect particulier pour un édifice religieux.

    Elle a été érigée en basilique mineure par Léon XIII le 24 Janvier 1896.

    Depuis le Vè siècle plusieurs édifices religieux se sont succédés à cet emplacement.

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    La cathédrale, dite de « la nouvelle Major » s’élève à l’ouest des vestiges de l’église romane dite de « la vieille Major ». Mais les destructions et les fondations nécessaires à l’implantation de la nouvelle cathédrale ont par ailleurs révélé l’existence d’une troisième église paléochrétienne et d’un baptistère établis sur le même site : ainsi peut-on parler des cathédrales de Sainte-Marie-Majeure dite la Major.

     

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