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Articles - Page 11

  • Suren Manvelyan Photographe de la beauté Absolue

    photo,artiste,arménie,yeux,eaux,monument,feu,dansephoto,artiste,arménie,yeux,eaux,monument,feu,danseSuren est né à Yerevan en 1976. Il a reçu le doctorat dans la Physique Théorique de l'Université d'État d'Yerevan en 2001 pour des recherches dans le domaine du Chaos Quantique. L'année suivante il a reçu le Président la Récompense(Sentence) de la République de l'Arménie pour les enquêtes dans le domaine des technologies quantiques. Il est le chercheur scientifique dans l'Institut pour la Recherche Physique d'Académies des sciences nationales depuis 1997.

    Suren a joué 5 instruments de musique : la guitare, le violoncelle, le piano, bloque la flûte et la lyre. Il enseigne la physique, des mathématiques et l'astronomie à Yerevan Waldorf l'École pendant plus de 10 ans. 

    Suren a commencé à photographier quand il avait seize ans. Il est devenu le photographe professionnel à 2006. Suren impliqué presque dans tous les champs(domaines) de photographie, particulièrement dans Macro, Portraits, projets de photo Créatifs, Paysage, etc. Ses photos ont été publiées dans de nombreux magazines. Particulièrement populaire sa série d'ups proche d'yeux humains appelés "Vos beaux yeux" qui a des millions de vues dans le Web et a été publiée par le Daily Mail, l'Indépendant.

    Voici quelques unes de ses plus belles photos, bien qu'elles soient toutes plus belles les unes que les autres.

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  • Prière d'une profane

     Statuette de Michel-Ange

    "Création d'Adam et Eve"

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    Dieu, apprenez-moi la Sagesse

    Long est mon chemin

    Dieu, apprenez-moi la patience

    Périlleux est mon chemin

    Dieu, apprenez-moi la confiance

    Lorsque je doute de tout

    Et que mon âme est en errance

     

    Je n’ai que les livres et les écrits

    Pour faire de moi une érudit

    Car cela est un Besoin

    Pas une prétention

    Faites qu’il soit divin

    Délivrez-moi du malin

     

    J’ai tant d’Amour en moi

    Dieu, aidez moi à ne plus voir le mal

    Il ne m’apporte rien de bon

    Par les Saintes lectures

    Apprenez-moi tout ça

     

    Remplissez-moi de Vous

    Que chaque jour

    Soit le début de ma vie

    Dieu, accordez-moi un peu de Vous

    Peu, c'est déjà beaucoup

    Dieu, apprenez-moi à être à Vous.

     

     

  • Le Saint-Père Benoît XVI s'exprime au nom du peuple Arménien, Cité du Vatican,le 8 mai 2008

    Le pape Benoît XVI

    Le pape Benoît XVI et le catholicos arménien Karekin II ensemble à l'audience

    Le Saint-Père Benoît XVI a présidé l’audience générale hebdomadaire du 7 mai en présence du catholicos d'Arménie. Devant plus de 20.000 fidèles réunis sur la Place Saint-Pierre, le pape a rappelé l’importance de la prière dans le dialogue œcuménique. Quant au catholicos Karekin II, il a souhaité dans son discours que le génocide arménien soit "universellement" reconnu.

    Le pape a salué "l’engagement personnel" du chef de l’Eglise arménienne apostolique pour "l’amélioration des relations avec les catholiques" et a souhaité que Dieu "illumine son pèlerinage à Rome". Le catholicos sera reçu en audience par le Saint-Père Benoît XVI dans la matinée du 9 mai.

    "Dans notre diversité, il y a la communauté de l’amour“, lui a répondu Karekin II qui, prenant à son tour longuement la parole, a lancé un appel pour "que toutes les nations condamnent universellement le génocide des Arméniens" et pour que "ceux qui ont le pouvoir déterminent la responsabilité de ces crimes". Le catholicos a rappelé que Jean Paul II, en l’an 2000, avait “reconnu et condamné le génocide arménien“.

    La première partie de cette audience s’est achevée par des chants traditionnels arméniens exécutés par deux soprano, homme et femme. Puis, le catholicos a pris place en contrebas du baldaquin pontifical pour suivre l’audience qui a repris son cours normal. Au cours de sa traditionnelle catéchèse, le pape est alors revenu sur l’importance de la prière dans le dialogue œcuménique.

    Texte intégral de la catéchèse du Saint-Père

    Chers frères et sœurs,

    Comme vous le voyez, ce matin se trouve parmi nous Sa Sainteté le Catholicos Karekin II, Patriarche suprême et Catholicos de tous les Arméniens, accompagné par une éminente délégation. Je renouvelle l'expression de ma joie pour la possibilité qui m'est donnée ce matin de l'accueillir : sa présence aujourd'hui nous ravive dans l'espérance de la pleine unité de tous les chrétiens. Je saisis volontiers l'occasion pour le remercier également de l'aimable accueil qu'il a récemment réservé en Arménie à mon cardinal-secrétaire d'Etat. C'est un plaisir pour moi de rappeler aussi l'inoubliable visite que le Catholicos accomplit à Rome en l'an 2000, juste après son élection. En le rencontrant, mon bien-aimé prédécesseur Jean-Paul II lui remit une vénérable relique de saint Grégoire l'Illuminateur et il se rendit ensuite en Arménie pour lui rendre sa visite.

    On connaît l'engagement de l'Eglise apostolique arménienne pour le dialogue œcuménique, et je suis certain que la visite actuelle du vénéré Patriarche suprême et Catholicos de tous les Arméniens contribuera aussi à intensifier les relations d'amitié fraternelle qui lient nos Eglises. Ces jours de préparation immédiate à la solennité de Pentecôte nous incitent à raviver notre espérance dans l'aide de l'Esprit Saint pour avancer sur le chemin de l'œcuménisme. Nous avons la certitude que le Seigneur Jésus ne nous abandonne jamais dans la recherche de l'unité, car son Esprit est inlassablement à l'œuvre pour soutenir nos efforts visant à surmonter toute division et à recoudre toute déchirure dans le tissu vivant de l'Eglise.

    C'est précisément ce que Jésus promit aux disciples les derniers jours de sa mission terrestre, comme nous venons de l'entendre dans le passage de l'Evangile : il leur assura l'assistance de l'Esprit Saint, qu'Il aurait envoyé pour qu'il continue à leur faire sentir sa présence (cf. Jn 14, 16-17). Cette promesse devint une réalité quand, après la résurrection, Jésus entra au Cénacle, salua les disciples avec les paroles « Que la paix soit avec vous » et, soufflant sur eux, dit : « Recevez l'Esprit Saint » (Jn 20, 22). Il les autorisait à remettre les péchés. L'Esprit Saint apparaît donc ici comme la force du pardon des péchés, du renouveau de nos cœurs et de notre existence ; et ainsi Il renouvelle la terre et crée l'unité là où se trouvait la division. Ensuite, lors de la fête de la Pentecôte, l'Esprit Saint se révèle à travers d'autres signes : à travers le signe d'un vent vif, de langues de feu, et les apôtres qui parlent toutes les langues. C'est le signe que la dispersion de Babylone, fruit de l'orgueil qui sépare les hommes, est dépassée dans l'Esprit qui est charité et qui donne l'unité dans la diversité. Depuis le premier instant de son existence, l'Eglise parle dans toutes les langues - grâce à la force de l'Esprit Saint et aux langues de feu - et vit dans toutes les cultures, elle ne détruit rien des divers dons, des divers charismes, mais elle synthétise tout dans une grande et nouvelle unité qui réconcilie : unité et multiformité.

    L'Esprit Saint, qui est la charité éternelle, le lien de l'unité dans la Trinité, unit par sa force dans la charité divine les hommes dispersés, créant ainsi la grande communauté multiforme de l'Eglise dans le monde entier. Les jours qui suivirent l'Ascension du Seigneur jusqu'au dimanche de Pentecôte, les disciples étaient réunis avec Marie au Cénacle pour prier. Ils savaient qu'ils ne pouvaient pas eux-mêmes créer, organiser l'Eglise : l'Eglise doit naître et être organisée par l'initiative divine, elle n'est pas notre créature, mais elle est un don de Dieu. Et ce n'est qu'ainsi qu'elle crée aussi l'unité, une unité qui doit croître. A chaque époque, l'Eglise - en particulier pendant ces neufs jours entre l'Ascension et la Pentecôte - s'unit spirituellement dans le Cénacle avec les Apôtres et avec Marie pour implorer sans cesse l'effusion de l'Esprit Saint. Poussée par son vent vif, elle ne craint pas d'annoncer l'Evangile jusqu'aux extrémités de la terre.

    Voilà pourquoi, même face aux difficultés et aux divisions, les chrétiens ne peuvent pas se résigner ni céder au découragement. Le Seigneur nous demande cela : persévérer dans la prière pour conserver vivante la flamme de la foi, de la charité et de l'espérance à laquelle se nourrit l'aspiration à la pleine unité. Ut unum sint ! dit le Seigneur. Cette invitation du Christ retentit toujours à nouveau dans notre cœur ; une invitation que j'ai eu l'occasion de relancer lors de mon récent voyage apostolique aux Etats-Unis d'Amérique, en faisant référence au caractère central de la prière dans le mouvement œcuménique. En cette époque de mondialisation et, en même temps, de fragmentation, « sans prière, les structures, les institutions et les programmes œcuméniques seraient privés de leur cœur et de leur âme » (Rencontre œcuménique dans l'église Saint-Joseph à New York, 18 avril 2008). Nous rendons grâce au Seigneur pour les objectifs atteints dans le dialogue œcuménique grâce à l'action de l'Esprit Saint ; nous restons dociles à l'écoute de sa voix, afin que nos cœurs, comblés d'espérance, parcourent sans relâche le chemin qui conduit à la pleine communion de tous les disciples du Christ.

    Dans la Lettre aux Galates, saint Paul rappelle : « Mais voici ce que produit l'Esprit : amour, joie, paix, patience, bonté, bienveillance, foi, humilité et maîtrise de soi » (5, 22-23). Tels sont les dons de l'Esprit Saint que nous invoquons nous aussi aujourd'hui pour tous les chrétiens, afin que dans le service commun et généreux à l'Evangile, ils puissent être dans le monde le signe de l'amour de Dieu pour l'humanité. Tournons avec confiance notre regard vers Marie, Sanctuaire de l'Esprit Saint, et par son intermédiaire prions : «Viens, Esprit Saint, remplis les cœurs de tes fidèles et allume en eux le feu de ton amour ». Amen ! (ZF08050707)

    Texte original du discours du Saint PèreUDIENZA GENERALE

  • Arménie, Naissance de l'alphabet, architecture...

    Un aqueduc de 80 km porte le nom de Sémiramis, conduisant l’eau des montagnes à Touchpa (Van) ; il sert désormais aux Turcs et Kurdes, qui occupent la région, après avoir chassé les Arméniens de leur propre Terre…

    De nombreux rois succédèrent à Ara, le Bel… dont Tiridate, d’où la  béatification de Saint-Grégoire.

     En 405 Saint-Mesrop et Saint-Sahag inventèrent l’alphabet arménien. Il traduisent alors en premier lieu La Bible, et de nombreux livres précieux.

    C’est l’Age d’Or de la Nation arménienne. Ecoles, Poètes, Historiens enrichirent notre littérature. Pour situer,  c’est à ce moment que les Francs vinrent s’installer en Gaule.

    La première église fut fondée par Saint-Grégoire l’Illuminateur, elle porte le nom d’Etchmiadzine.

     

    Au VIème siècle avant Jésus-Christ, le roi Arguichti fonda  la ville d’Erebouni, appelée aujourd’hui Erevan.

    Les Arméniens ont toujours eu le goût de la pierre et du bois. Ils édifièrent de nombreuses cathédrales, basiliques et églises.

    L’Arménie (ce qui l’en fut, et ce qui l’en reste), a toujours eu le goût de l’Art et du Savoir.

    L’origine de cela  remonte aux origines des Hourrites, peuple Caucase et Arménien. Ils sont originaires des montagnes de l’est et de l’Anatolie, habitants sur le cours supérieur de l’Euphrate, fleuve d’Asie occidentale confluant avec le Tigre.

    Le peuple Arménien inspira de nombreux peuples, dont celui de Byzance. Anthémius de Tralles et Isidore de Millet, érigèrent Sainte-Sophie. C’est Tiridate qui après le tremblement de terre du Xème siècle fut l’architecte de la cathédrale d’Ani, sise à la frontière arménienne. (Site d'Ani)

     

     

  • Création d'un nouvel album de photos...Cadeaux de Dieu

     

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    Vivre, voir, renaître

     

    En se baladant, quelques merveilles éclaboussèrent nos yeux

    Les offrandes de Dieu sont à la réminiscence

    Surgissant à notre vue et à nos sens

    Merci Seigneur!

    Que la Nature est belle quand on sait la regarder

    Ne jamais cueillir ou ramasser

    Juste saisir le moment tel qu'il s'offre à nous

    Sans l'abîmer, mais simplement l'aimer.

    Le bonheur assaillit nos coeurs

    Et la Vie nous revient, et nous faisons corps avec Elle

    Quelle communion de beauté nous déploie ses ailes!

    Les saisons éclatées prennent de l'amplitude

    Qu'il en soit toujours ainsi, cascade de plénitude

    Effusion de chaleur et de joie, malgré l'hiver

    Qui arrive à petits pas, symphonie de la Vie

    Merci Seigneur!

    Tu nous charges d'Amour

    Et nous livres de partages

    Pour l'Eternité, pour toujours

    Peu importe les âges, peu importe le jour.

     

     

  • Mont Ararat, jardin d'Eden et Arche de Noë -Arménie- part III

    Apellée volcan du très-haut, L'Ararat reste toujours l'unique mausolée d'un million et demi de morts arméniens...

    Elle est aussi la plus haute montagne du monde, non pas au dessus du niveau de la mer, mais au-dessus de la plaine de laquelle elle culmine. D'un seul bloc, son dénivelé est de 4355 mètres, tout près de la capitale Erevan.

    Terre Biblique, à la croisée des Routes de la Soie, ses vignes post-diluviennes furent plantées par Noé, qui, pour la petite histoire, se serait saoûlé après la récolte !

    L'Arménie représente quarante siècles d'Histoire, avant même que la France ne s'appella la Gaule. Elle connut de nombreux rois après que Noé échoua sur le Mont Ararat. C'est aux pieds de ce mont qu'on situe le jardin d'Eden.

    Haïg, descendant de Noé fut le premier patriarche arménien. Après lui, le prince Aram, (de là vint le nom Arménie), défendit ses frontières contre toutes intrusions. Les premiers rois arméniens avaient l'Amour de la Liberté. D'autres rois lui succédèrent, Ara nommé le Bel par sa beauté, fils de Haïg épousa une très noble arménienne au doux nom de Nevart (Rose) en français. La reine des Assyriens, Sémiramis, éblouie par la beauté du prince, en tomba amoureuse. Mais Ara, déjà marié refusa l'alliance. Prise de colère, elle déclara une guerre, afin d'envahir l'Arménie de son armée. Ara fut tué, et son fils Gartos fut prisonnier.

    Elle fit de l'Arménie sa résidence d'été, tout au bord d'un lac... Au ciel, on raconte qu'elle fut changé en colombe et divinisée.

  • Arménie Saint-Grégoire l'Illuminateur 257-331 Part II

    L'Eglise arménienne est appelée "apostolique" en souvenir de Saint Thadée et Saint Barthélemy qui avaient préché, pour la première fois, Le Christ en Arménie. Elle est aussi appelée "grégorienne" en l'honneur de Saint-Grégoire l'Illuminateur, 1er évèque  et confesseur de l'Arménie.

    Tridate III (250-330) fut l'un des plus puissants rois d'Arménie. Au début de son règne, il persécutait les chrétiens, et emprisonna Grégoire durant treize années. Il fit aussi martyriser les vierges, Hrispine et Gayané,  ainsi que toute la communauté. Pour châtiment, il fut changé en sanglier, selon la légende. Après la mort des vierges, prit de remords, il libéra Grégoire, qui, grâce à sa foi chrétienne guérit le roi.

    Celui-ci, (Tridate), à la force colossale aurait alors ramené de ses mains les pierres du Mont-Ararat pour y construire une chapelle, nommée Zvartnots qui signifie "Toujours- Vigilants".

    Saint-Grégoire

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  • Tao Te King de Lao Tseu Verset 33 "la Voie"

    Qui connaît les autres a l'intelligence

    qui se connaît lui-même a le discernement

    qui triomphe des autres est fort

    qui triomphe de lui-même possède la force

    qui sait se contenter est riche

    qui sait persévérer est volontaire

    qui sait demeurer est stable

    qui vit la mort jouit d'une longue vie

     

  • Conjugaison et Sagesse

    Le verbe Etre, (dans le sens d' Exister) s'accorde (comprenez "s'entend") avec tout.

    Le verbe Avoir (dans le sens de posséder), ne s'accorde (comprenez ne "s'entend") avec rien.

    Sauf exceptions, évidement. Etonnant et évocateur !

  • Les Dioscures, Place du Capitole à Rome (Piazza di Campidoglio), La plus petite des sept collines

    Les Dioscures sont Castor et Pollux, fils de Zeus et de Léda, et du Roi légendaire de Sparte Tyndare. Ils sont les frères de Hélène et de Clymtindestre. Léda féconda deux oeufs, de l'un naquit le fils de Zeus, et de l'autre, le fils de Tyndare.

     

    castor, pollux, Homère, statue colossale, Capitole

    Le mortel est Castor, le dresseur de Chevaux, et l' immortel, Pollux le boxeur, selon Homère dans L'Iliade... Le masculin et le féminin sont représentés.

  • Hasard ou coïncidence

    Vous ne me croirez peut-être pas, et pourtant!!!

    Je voulais poster le Psaume 23 du cantique de David, puis je me suis ravisé, sans trop savoir pourquoi...Maintenant je sais!

    Je ne visite jamais le Blog d'Alina avant d'avoir terminé de "travailler" sur le mien, à chacun sa personnalité, et son humeur du jour. Je viens à l'instant de voir qu'Alina a posté "Le Chant des bergers", psaume 23!!! Ouf, on aurait dit que je plagie, quelle horreur! C'est drôle la vie quand on a la foi.

  • Pour Alina...

    Ne pouvant laisser de commentaires sur votre Blog, je tenais juste à vous dire merci. Merci pour ce que vous faites pour les Hommes. J'ai entendu votre message comme un vent de bonheur, votre bise est si douce et surtout si bienveillante. 

    Vous êtes une muse pour qui sait vous entendre. Je ne ferai pas un copier-coller de votre oeuvre sur Hautetfort, j'en suis bien incapable pour le moment, ou peut-être pour toujours; là n'est pas la question. Etre sereine, ô oui, grâce à vous, ne voir que les jolies choses, ce que la terre nous offre et que nous avons occulté. Voilà le résultat d'un monde souffrant, et ça, vous l'avez bien compris. 

    Je vous en remercie, et souhaite que votre Eglise voit le jour, malgré l'obscurantisme ravageur dans lequel nous vivons, Nous, poussière d'étoiles. 

    Valérie

     

    PS : Vous m'aviez laissé un commentaire, peu de temps après la création de mon blog, j'ai malheureusement perdu votre adresse e-mail, mais je ne vous ai jamais oublié.
  • Marien Delfavard: Un vent de poésie souffle sur la littérature!

    Au début on le croirait pompeux et condescendant, que nenni ! Après avoir lu un extrait de cet ouvrage, je suis pantoise. Ce khâgneux, (ainsi que je l'avais deviné), est naturellement un Poète, comme il n'en existe plus beaucoup. Malgré un vocabulaire nécessitant parfois un dico, je l'avoue, ce jeune homme a tout pour devenir un Grand. Quel bonheur de parcourir litotes, et autres rhétoriques à la cohérence parfaite!  Cet éphèbe semble armé pour une longue vie littéraire. Bravo.littérature, poésie, subtilité, vocabulaire,

  • Coup de chapeau à Alina Reyes!

    reyes,moix,littérature,dieu,nature,méchancetéJe n'aurais jamais imaginé que Yann Moix puisse être aussi abject avec une personne telle qu'Alina Reyes, quelqu'un qui a trouvé son chemin dérange toujours autant qu'au Moyen-âge apparemment!

    Dans un monde immonde, où tout n'est que fioriture, le superficiel honteux ayant pris le dessus,en faisant fi des vraies valeurs ,Alina, ose nous plonger dans un univers de calme et de sérénité, où la méchanceté des hommes est mis entre parenthèses. La beauté des choses simples semblent déranger Yann Moix, dommage et insultant, pour la Nature également. Parler d'écologie est hors sujet. Peut-être Yann Moix a-t-il trouvé un autre support que le papier pour étaler SA littérature, que de tuer des arbres : très pertinent!!!  Ah les hommes balbutiant dans l'"art" médiatisé, cessez de vous croire supérieurs, vous êtes lamentables quand vous parlez des femmes! Problème d'infèriorité???

    Merci à Alina pour son Blog, "à mains nues", un site à ciel ouvert.

    http://amainsnues.hautetfort.com/

    http://laregledujeu.org/moix/2010/06/16/348/alina-les-cueillettes/

  • Une Toile de Klimt inconnue découverte aux Pays-Bas :

     

    Un tableau du maître autrichien Gustav Klimt, ne figurant pas dans l'inventaire de ses oeuvres, a été découvert aux Pays-Bas chez un particulier, révèle le quotidien autrichien Standard dans son édition à paraître samedi.

    Un tableau du maître autrichien Gustav Klimt, ne figurant pas dans l'inventaire de ses oeuvres, a été découvert aux Pays-Bas chez un particulier, révèle le quotidien autrichien Standard dans son édition à paraître samedi.

    Le tableau de 90 centimètres sur 90 a été expertisé par Alfred Weidinger, le directeur adjoint du musée du Belvédère à Vienne, qui possède la plus grande collection au monde d'oeuvres du peintre symboliste (1inédit, klimt, peintre, particulier, réserve862-1918).

    Ce paysage, intitulé "Seeufer mit Birken" ("Bord de lac avec bouleaux") a été peint en 1901. La propriétaire néerlandaise actuelle affirme que ses aïeux l'ont acheté en 1902 lors d'une exposition à Düsseldorf, dans l'ouest de l'Allemagne.

    "Ce n'est certes qu'un tableau de bonne qualité, mais comme découverte c'est une sensation", affirme M. Weidinger dans le quotidien.

    Source "Le Point"