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inédit

  • Une Toile de Klimt inconnue découverte aux Pays-Bas :

     

    Un tableau du maître autrichien Gustav Klimt, ne figurant pas dans l'inventaire de ses oeuvres, a été découvert aux Pays-Bas chez un particulier, révèle le quotidien autrichien Standard dans son édition à paraître samedi.

    Un tableau du maître autrichien Gustav Klimt, ne figurant pas dans l'inventaire de ses oeuvres, a été découvert aux Pays-Bas chez un particulier, révèle le quotidien autrichien Standard dans son édition à paraître samedi.

    Le tableau de 90 centimètres sur 90 a été expertisé par Alfred Weidinger, le directeur adjoint du musée du Belvédère à Vienne, qui possède la plus grande collection au monde d'oeuvres du peintre symboliste (1inédit, klimt, peintre, particulier, réserve862-1918).

    Ce paysage, intitulé "Seeufer mit Birken" ("Bord de lac avec bouleaux") a été peint en 1901. La propriétaire néerlandaise actuelle affirme que ses aïeux l'ont acheté en 1902 lors d'une exposition à Düsseldorf, dans l'ouest de l'Allemagne.

    "Ce n'est certes qu'un tableau de bonne qualité, mais comme découverte c'est une sensation", affirme M. Weidinger dans le quotidien.

    Source "Le Point"

  • L'Inédit

    Sans le savoir j’écris mon futur comme une évidence

    Sans le connaître je rêve de cet arc-en-ciel  de faïence

    Aux ardentes couleurs et subtiles nuances

    Un amour battant la mesure de l’éternité me devance

    Cet esthète capital ne m’est pas inconnu puisqu’Animal

     Vient à moi sans nul autre appel, tout en cadence

    Si infernales sont ses absences  et si peu banale est sa présence

    Qu’il  revient  irradier mes réveils de sa semence létale

    Mes  jours et mes nuits n’appartiennent qu’à lui

    Il est le guérisseur de mes sens interdits.

    J’avais perdu le goût des choses

    De l’amour que je trouvais morose

    Et  voilà que devant moi explose un irrémédiable feu d’artifice

    D’un quatorze juillet aux jardins des supplices

    Aux solstices divins dans lequel il s’immisce.

    L’Ephèbe d’un songe dont je devine le pacte discret

    Aux obscures valeurs empreintes de douceurs  innées

    Artiste de mes nuits et de mes songes intacts et secrets

    Milles fois par seconde il prend mon âme et s’en revêt

    Dirige mes mots et, mon regard sans crainte ni  folie

    Ne se reflète que dans  le miroir de ses écrits

    Jamais il ne déroge à la loi dont je me soumets sans merci

    C’est un vent de chaleur qui soudain m’envahit

    Un oiseau rare au goût de paradis

    A pris mon cœur pour son nid.