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nature - Page 11

  • Création d'un nouvel album de photos...Cadeaux de Dieu

     

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    Vivre, voir, renaître

     

    En se baladant, quelques merveilles éclaboussèrent nos yeux

    Les offrandes de Dieu sont à la réminiscence

    Surgissant à notre vue et à nos sens

    Merci Seigneur!

    Que la Nature est belle quand on sait la regarder

    Ne jamais cueillir ou ramasser

    Juste saisir le moment tel qu'il s'offre à nous

    Sans l'abîmer, mais simplement l'aimer.

    Le bonheur assaillit nos coeurs

    Et la Vie nous revient, et nous faisons corps avec Elle

    Quelle communion de beauté nous déploie ses ailes!

    Les saisons éclatées prennent de l'amplitude

    Qu'il en soit toujours ainsi, cascade de plénitude

    Effusion de chaleur et de joie, malgré l'hiver

    Qui arrive à petits pas, symphonie de la Vie

    Merci Seigneur!

    Tu nous charges d'Amour

    Et nous livres de partages

    Pour l'Eternité, pour toujours

    Peu importe les âges, peu importe le jour.

     

     

  • Il est temps à nouveau...

    Le soleil a tout changé

    ciel sans nuages et

     herbe printannière à côté de la grange.  

    un bonheur intense me revêt

    besoin de solitude étrange

    je me promène dans la clairière

    cueille de l'origan 

    c'est la saison des saveurs

    ma chienne se prélasse avec ardeur

    "Pégase" est au pré tout près de moi

    rien ne saurait me faire défaut

    pas même les mots, soit!

    je sens la présence d'un amour infini

    celui qui vous encense sans faire de bruit

    détendue et sereine j'ai la foi

    je remercie le firmament nocturne

    sous lequel j'ai marché cette nuit

    les étoiles m'ont rendu à moi-même

    merci la vie! Que je t'aime!

  • "Bienheureux celui qui a pu connaitre la raison des choses" Virgile

    Mes Amours en pointillisme!!!vie, nature, amour, bonheur

  • Coup de chapeau à Alina Reyes!

    reyes,moix,littérature,dieu,nature,méchancetéJe n'aurais jamais imaginé que Yann Moix puisse être aussi abject avec une personne telle qu'Alina Reyes, quelqu'un qui a trouvé son chemin dérange toujours autant qu'au Moyen-âge apparemment!

    Dans un monde immonde, où tout n'est que fioriture, le superficiel honteux ayant pris le dessus,en faisant fi des vraies valeurs ,Alina, ose nous plonger dans un univers de calme et de sérénité, où la méchanceté des hommes est mis entre parenthèses. La beauté des choses simples semblent déranger Yann Moix, dommage et insultant, pour la Nature également. Parler d'écologie est hors sujet. Peut-être Yann Moix a-t-il trouvé un autre support que le papier pour étaler SA littérature, que de tuer des arbres : très pertinent!!!  Ah les hommes balbutiant dans l'"art" médiatisé, cessez de vous croire supérieurs, vous êtes lamentables quand vous parlez des femmes! Problème d'infèriorité???

    Merci à Alina pour son Blog, "à mains nues", un site à ciel ouvert.

    http://amainsnues.hautetfort.com/

    http://laregledujeu.org/moix/2010/06/16/348/alina-les-cueillettes/

  • Gem, j'aime!!!

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  • La Dolce Vita ...

    "Ne prenez pas la vie au sérieux; de toute façon, vous n'en sortirez pas vivant." Bernard Fontenelle

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  • Au secours, Gemini va trop vite!

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     Il a fière allure, mon  symbole à  la noblesse incarnée Sur les chemins communaux entre deux villages provençaux Il a fière allure, mon Seigneur, mon animal au pas cadencé Son regard comme une armure, dessine ses peurs que le galop dissipera plus tard Pendant que sur son dos, ma vie collée à la sienne, revêt son apparat de Parménide Gardes moi encore sur ton dos, le temps d’une cavalcade où mes pensées prendront forme, sans plus de  retard, Dans la nature froissée d’un automne à peine  amorcé, pas même humide, le soleil abonde, je me délecte, la nature est en fête Qu’il est doux de trotter, cheveux aux vents, vie libérée, infiniment ! Je frôle enfin la Lumière, où  mes alleux promènent leurs âmes à l’abri d’un Olivier Qu’il est doux de galoper sans nulle autre arme, au hasard des champs et des vignes, de ce que la terre a gardé de plus digne.  

     

  • Reflets dans l'eau...

    Profitant d’un soleil répandu sur la plaine malgré un froid en faction, mais rien n’aurait pu me retenir à l’intérieur. Après m’être répandue en caresses et en baisers sur les petits -êtres qui, eux vivent à l’extérieur tout temps confondus, réchauffés par leur toison, variant selon la saison. En ce moment, le poil des chevaux formait une épaisse couverture de fourrure. Ils ressemblaient à de gros ours. Après les avoir cajolé comme il se doit, leur ration d’amour est quotidienne, je pris mon faiseur d’images, et commençais à fureter par-ci, par-là, cherchant l’aventure oculaire et sensitive. J’écoutais mon cœur et je cherchais la sensualité qui se dégageait du minéral, du végétal. L’odeur, le bruit, les senteurs n’en finissaient pas l’ignition entre le corps et l’esprit. Faction des sens. J’embrassai la nature et ses merveilles comme un forçat épris de liberté, ne pouvant que rêver sa vie. Moi, je la vivais dans toute son amplitude, toutes excursions étendues. La retraite spirituelle prenait une dimension à laquelle je ne m’étais pas préparée, et m’éblouissait chaque jour davantage. Redécouvrir le vrai sens de la vie, ne plus se contenter du luxe et du confort de la vie moderne, mais revenir dans un passé, là où rien n’a bougé, rien n’a changé, pas une parcelle. La pérennité avait donc ses fractions. Les couleurs que m’offrait la réserve naturelle n’en finissaient jamais de m’enchanter. Je jouais avec l’eau, le vent, les nuages, je m’épanchais sur une simple goutte d’eau, m’éternisais sur les reflets magiques que vous renvoie le ciel lorsqu’il se mire dans l’eau claire et frémissante, le clapotis de la fontaine était un stimuli de plus sur les sentiers de la découverte, et dans ce cas précis, faiseur de bulles sur les ondes. J’étais en condition, celle de voir ce que j’avais occulté durant toutes ces années, où pris dans le tourbillon de la vie, je m’étais égarée. Je courrais après l’infini, et tout l’infini se retrouvait au creux de mes promenades, au clair de mes balades.

    J’écrirai plus tard, lorsque le soleil aura cessé de briller, lorsque le froid retentira avec trop de véhémence, je rentrerai dans la danse des mots, ceux qui réchauffent mon cœur et mon âme.

    L’épisode volontaire d’une vie où tout est une énigme, là où l’on sent que l’on est vivant, profondément en symbiose avec les éléments de la vie campagnarde. J’apercevais au loin la neige caresser les cimes des montagnes, pas si loin que cela. J’aurai aimé être un oiseau, capable de traverser le ciel en quelques secondes pour se poser sur la beauté d’un monde vierge. Là où personne ne s’aventure jamais, là où l’hiver peut se permettre d’exister pleinement. La nature n’a que des droits et nous, le devoir de contribuer à son entière exclamation.

    Ne vivre de rien, se contenter de beaucoup, voilà comme je définirais mon aventure élancée devant les champs et les fougères, les collines qui se déclinent dans un absolu espoir, celui de préserver les derniers espaces sauvages, les derniers bastions d’une vie dans l’évolution constante et sans âge.