Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

nature - Page 9

  • Miroir.

    photo, onde, reflet, nature, paysage

  • Glace.

    photo, neige, nature, couleurs, paysage

  • Oscar Wilde...

    "Il n'existe qu'une certitude définitive sur la nature humaine, elle est changeante."

  • Les dessus chics...

    Je ne sais plus qui a dit que le plus beau moment de sa vie est celui que l’on n’a pas encore vécu. On ne saurait dire mieux ni plus juste...  Tandis que je scrutais un ciel fébrile, j’attendais patiemment l’heureux évènement, l’augure se profilait dans ma tête depuis quelques instants, le soleil fusionnant avec la lumière obscure des nuages qui se balançaient selon le souffle du vent, me laissait supposer qu’un arc-en-ciel ne saurait tarder à faire son entrée sur le plus grand chapiteau, le toit de la planète. Je ne fus pas déçue, une écharpe de Vénus venait faire la roue, exhibait toute la splendeur du monde d’un bout à l’autre de sa majesté le ciel, il se présentait à moi avec des couleurs suspendues, celles que l’on n’a jamais vu. Tant de beauté me fascinât et me laissât sans voix, le temps de réaliser ce que les cieux m’offraient, quelque chose d’indicible, d’indescriptible,  devant laquelle on ne peut que s’incliner, se taire même. Je reste infiniment troublée par la vision d’un spectacle aussi naturel que divin, rétines fusillées, dose d’adrénaline en faction, ce n’était rien d’autre que la magnifique écriture dont me faisait don de « supérieures instances », celles qui font que l’on reste bouche-bée, couleurs à jamais non élucidées, dossier classé sans suite. Un miracle de la vie, une beauté faraude et déclinée à l’infini. Quand Dieu dessine. De quoi se sentir minuscule face à un firmament,  se servant des couleurs du temps pour écrire expressément  au clair des teintes incroyablement uniques, le ciel est une ardoise magique. C’est un concerto pour personnes en manque de magnificence, esthètes, épicuriens, hédonistes, contemplateurs, simples spectateurs, oculistes, ophtalmologistes, chercheurs d’or à la chance pas ordinaire… Le monde entier aurait pu se prosterner aux pieds du Divin, cette scène me fait penser à une chanson très élégante, intitulée «Fuir le bonheur de peur qu'il ne se sauve. « Over the raimbow, toujours plus haut, le soleil above, radieux », Serge Gainsbourg. L'instant appartient à cette phrase...

    Ce fut des dessus chics. Très chics.

  • Passion.

    vie, passion, nature, présent, passé, écriture, besoin

    Je ne saurais rester un jour supplémentaire sans prendre la plume et vous dire combien  me rendent heureuse chacune de vos visites.

    Je suis dans l’ambivalence de mes rêves, là où se révèle l’intensité de mes espérances fusionnelles. Il fait froid, très froid mais qu’importe le soleil s’exporte, come tout l’amour posé sur mon cœur dès  le lever du jour. Au loin, je vois passer une belle, chevauchant un superbe cheval blanc, elle semble voler dans l’immensité de la plaine, cheveux aux vents, trot allongé, cadence superbe. Bientôt je serai à nouveau en selle, Gemini commence à s’impatienter et attends d’un sabot ferme le renouveau qu’apporte le printemps tant attendu. Le froid gèle tout sauf les cœurs purs, et les amours impromptues que provoquent les hasards de la vie. Je me remets toute entière à la lumière, celle que j’ai au fond des yeux lorsque je plonge mon regard dans le paysage, tout est à mon avantage. Le lierre grimpant et recouvrant chaque parcelle des écorces que les arbres leur offrent de la racine jusqu’à la cime, me laisse admirative. Tout est merveilleux, l’air pur, le sourire quotidien du paysan avoisinant la maison. Les chevaux attendent patiemment le retour du printemps toujours inattendu, ici le froid a ses quartiers. Les volutes de brouillard dansent tout autour de moi, et je danse avec elles. Aucun élément atmosphérique ne saurait me retenir à l’intérieur. La nature et  encore la nature, verdoyante et rutilante le long des plaines,  avec au second plan, les montagnes du Vercors. Le ciel est gris, le froid insiste, et moi, je persiste dans cet univers merveilleux des champs de blé et des rivières aussi claires que des fontaines d’eau pure. Je pars à la chasse aux images, je n’ai que l’embarras du choix. Le moindre lopin de terre regorge de beautés, obscures et lointaines, venant de la nuit des temps, dans un passé à jamais présent. Quand les bergers et les paysans étaient encore gagnants, c’était il y a cent ans. Le passé ne se lit pas, il fut,  mais rien de plus diffus que des gargouilles recouvertes de rouille. Je me laisse prendre au jeu délicat des saisons et de leur oraison. Je navigue avec l’horizon. Tout est à moi, rien ne m’appartient, voilà le véritable sens de la vie. Et je valse avec l’infini.

  • Balade au clair de l'eau...

    photo,balade,nature,vie,paysage,soleilProfitant d’un soleil répandu sur la plaine et bien que le froid fut en faction, rien n’aurait pu me retenir à l’intérieur. Après m’être répandue en caresses et en baisers sur les petits -êtres qui, eux vivent à l’extérieur tout temps confondus, réchauffés par leur toison, variant selon la saison. En ce moment, le poil des chevaux formait une épaisse couverture de fourrure. Ils ressemblaient à de gros ours. Après les avoir cajolé comme il se doit, leur ration d’amour est quotidienne, je pris mon faiseur d’images, et commençais à fureter par-ci, par-là, cherchant l’aventure oculaire et sensitive. J’écoutais mon cœur et je cherchais la sensualité qui se dégageait du minéral, du végétal. L’odeur, le bruit, les senteurs n’en finissaient pas l’ignition entre le corps et l’esprit. Faction des sens. J’embrassai la nature et ses merveilles comme un forçat épris de liberté, ne pouvant que rêver sa vie. Moi, je la vivais dans l’amplitude toutes excursions étendues. La retraite spirituelle prenait une dimension à laquelle je ne m’étais pas préparée, et m’éblouissait chaque jour davantage. Redécouvrir le vrai sens de la vie, ne plus se contenter du luxe et du confort de la vie moderne, mais revenir dans un passé, là où rien n’a bougé, rien n’a changé, pas une parcelle. La pérennité avait donc ses fractions. Les couleurs que m’offrait la réserve naturelle n’en finissaient jamais de m’enchanter. Je jouais avec l’eau, le vent, les nuages, je m’épanchais sur une simple goutte d’eau, m’éternisais sur les reflets magiques que vous renvoie le ciel lorsqu’il se mire dans l’eau claire et bourdonneuse par le bruit du clapotis, faiseur de bulles sur les ondes. J’étais en condition, celle de voir ce que j’avais occulté durant toutes ces années, où pris dans le tourbillon de la vie, je m’étais égarée. Je courrais après l’infini, et tout l’infini se retrouvait au creux de mes promenades, au clair de mes balades.

    J’écrirai plus tard, lorsque le soleil aura cessé de briller, lorsque le froid retentira avec trop de véhémence, je rentrerai dans la danse des mots, ceux qui réchauffent mon cœur et mon âme.

    L’épisode volontaire d’une vie où tout est une énigme, là où l’on sent que l’on est vivant, profondément en symbiose avec les éléments de la vie campagnarde. J’apercevais au loin la neige caresser les cimes des montagnes, pas si loin que cela. J’aurai aimé être un oiseau, capable de traverser le ciel en quelques secondes pour se poser sur la beauté d’un monde vierge. Là où personne ne s’aventure jamais, là où l’hiver peut se permettre d’exister pleinement. La nature n’a que des droits et nous, le devoir de contribuer à son entière exclamation.

    Ne vivre de rien, se contenter de beaucoup, voilà comme je définirais mon aventure élancée devant les champs et les fougères, les collines qui se déclinent dans un absolu espoir, celui de préserver les derniers espaces sauvages, les derniers bastions  d’une vie dans l’évolution constante et sans âge. 

  • Aujourd'hui

     photo,paysage,ciel,couleurs,nature

    photo,paysage,ciel,couleurs,nature

    photo,paysage,ciel,couleurs,nature

  • Rendre à César.... Affiche "imagesetmots.fr"

    photos,signature,cieux,nature,paysage

    Sachant que certaines de mes photos sont enregistrées par d'autres sites, je précise sans animosité aucune, bien au contraire, que toutes les photos dont l'Auteur n'est pas signifié en dessus ou en dessous de l'image, sont de moi-même.

    Valérie