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Art - Page 24

  • Vassily Kandiski 1866-1944

    "Jaune-Rouge-Bleu" 1925  Abstraction lyrique
    jaune rouge bleu vassili kandisky.jpg"Créer une oeuvre c'est créer un monde"

  • Sollers, un homme libre, un homme digne

    " Le plus beau des courages est celui d’être heureux". Tandis que la plupart des écrivains se complaisent dans la facilité de l’autodestruction, Ph.sollers, s’acharne au bonheur, apporte à ses lecteurs la base de la connaissance universelle, littérature, sculptures, peintures et musique classique. Les classiques sont très recommandés, et pour cause : en période nihiliste, cet adversaire de la société invite le lecteur, (celui qui sait lire, et non "oublire" comme il le dit au travers de ses œuvres), à une culture infinie, sans tergiverser sur ses états d’âme qu’il laisse de côté, un style-o-la main. Le contraire de Sollers n’est qu’hypocrisie.

  • LE TITIEN 1488-1576

    "L'Amour sacré et l'Amour profane"
    l'amour sacré et l'amour profane.jpg

  • Simon Vouet 1590-1649

    "Les muses Urania et Calliope"   "Portrait" de Simon Vouet
    Simon Vouet. les muses.jpg
    Vouet portrait.jpgVouet victoire de l'amour.jpg"Les anges portant les instruments de la passion"

  • Un seul regard pour deux

     

    168310226.gifUn seul regard pour deux

    Fait briller de mille feux

    Les étoiles  interstellaires

    Nébuleuses du Mystère

    Là, où je retrouve mes repaires

    Mes amours  et mes « j’espère »

    Dans les chimères de cet amour flou

    Je prends soin de l’éphémère pour me rapprocher de Nous

    Eblouissantes écritures loin des éphémères déchirures

    Je l’aime plus que ce que je ne respire

    Et quand le ciel se déchire, 

    Que L’horizon se fuit, que l’azur s’assombrit

    Sur le  pont de ses soupirs, d’impures intentions

    Font de ma vie une double déclaration

    Il sait tout de moi et lit dans mes pensées

    Ca vous parait très insensé, je sais, je sais…

    Mais il est  le dernier amour par mes jours condamnés

    Chut,  lui seul  en mesure la portée.

    Je passe ma vie à l’oublier et mon temps à y penser

    Et si Je fais semblant de rire tout le temps

    C’est juste une comédie de pacotille

    Un mélange de folie raisonnée et démesurée

    Que je signe avec un certain style,

    Mais au sein  de son arpège ,

    Je ne connais  de pires pièges.

     

  • Le jardin de l'âme

    Impossible douleur d’un jardin hurlant  de saules pleureurs

    Où de larmoyantes verdures font de la beauté une fêlure

    Et  laissant l’ombre  éclairer le ciel d’un  éternel été

    Qu’il est doux et candide de s’apitoyer sur l’infernale aventure !

    Limpides et cristallines émotions d’âmes impures

    Dans le silence harmonieux  d’un onirisme en fleur

    Avec pour portrait l’infidèle nature du cœur

    Qu’importe la douleur  pourvu qu’en entier elle  vous assaille

    Que de votre vie elle fasse un feu de paille

    En évitant les pièges  d’un  bonheur aléatoire

    Et écumant votre arpège de fausses notes en vrais malaises

    Qu’il est bon de succomber à l’ostentation  de sa propre fadaise!

     

  • De Kooning,vite Ph. Sollers

    Willem De Kooning par Ph. Sollers

    Peintre néerlandais, naturalisé américain 1904-1997

    22f545912582854df2862e13ad05ce5b.gifMagnifique livre illustré de tableaux, sous l'oeil aiguisé de Solllers.

  • La Vénus de Willendorf

    5e0c2875b7fabbf4250cd65f08d24cfb.jpgL'Art à ses débuts. (Source "Eloge de l'infini" Ph. Sollers)

    Statuette de 11 cm datant du paléothique supérieur, soit entre 10 000 et 35 OOO ans avant notre ère.

  • Nietzsche :

    • "L'art doit avant tout embellir la vie, donc nous rendre nous mêmes tolérables aux autres... de plus, l'art doit dissimuler ou réinterpréter tout ce qui est laid, ces choses pénibles, épouvantables et dégoûtantes... "

  • L'art de la guerre , Sun Tzu Extrait

    c342659dea0d4884a991d2422ac868ac.jpgLa guerre au temps de Sun Tzu chapitre IV P.54

    Pour apprécier l'originalité de la pensée de Sun Tzu, il est nécessaire de connaître ce en quoi, qualitativement, la guerre, aux V et VI èmes siècles diffère de ce qui était auparavant. Jusqu'aux environs de l'an 500 avant J-C., c'était dans un certain sens, un rituel. Des campagnes saisonnières étaient menées conformément à un code universellement admis. Les hostilités étaient interdites pendant les mois consacrés aux semailles et aux récoltes. En hiver, les paysans hivernaient dans leur hutte de terre ; il faisait trop froid pour se battre. en été, il faisait trop chaud. Tout au moins en théorie, la guerre était prohibée pendant les mois de deuil qui suivaient  la mort d'un seigneur féodal. au combat, il était interdit de frapper un homme qui n'était plus jeune ou de poursuivre un ennemi déjà blessé. Un souverain animé de sentiments humains s'abstenait de "massacrer les villes", d'"embusquer des armés" ou de "maintenir l'armée en campagne une fois la saison passée", un prince juste ne s'abaissait pas non plus à la duperie ; il n'exploitait pas déloyalement l'avantage qu'il pouvait avoir sur son adversaire.(...)

     

     

  • Sébastien Robert, chroniques

    http://sebastienrobert.hautetfort.com

  • La magnificence amoureuse

    1. 6f7eddb8d3645eb0d38fed33e85a782a.jpgExtrait de "La chasse amoureuse" Alina Reyes P.57
    (...)"Je t'aime bel inconnu, toi qui partages avec moi la jouissance de la beauté comme d'un paradis proche, toujours à réinventer... Toi, toujours ailleurs et toujours là, au bout du patient chemin d'une femme impatiente... Peut-être sommes-nous Ulysse et Pénélope...

    Peut-être sommes-nous les amants illégitimes de ce lai de Marie de France, qui séparés pendant vingt ans communiquent par l'intermédiaire d'un cygne porteur de billets doux...

    Je n'ai peut-être pas le droit de t'aimer, parfois j'essaie d'arrêter, tout le monde essaie de me faire arrêter mais je ne veux pas, et toute ma vie je serai portée par cette joie de l'amour.

    Je sais et ne sais pas pourquoi je t'aime. C'est dans les rêves qu'il faut chercher, dans les gestes, les mouvements immobiles des visages, les signaux envoyés et reçus, dans le labyrinthe où se sont égarés les actes, et dans les mots dits et écrits à l'encre de l'inconscience. Personne n'est comme toi. Connais-tu une seule femme qui me ressemble? Personne au monde n'est cocmme nous.

    Je te parle de loin et tu me manques, j'ai envie de ton corps contre le mien, je le sens comme un amputé sent son membre fantôme, bel et bien mais avec une indicible nostalgie, je le sens dans le mien où il fut tant de fois... tu sais ce que disait Kafka, les mots d'amour écrits nous laissent nous laisse nus comme des fantômes... Approche-moi de ton corps...

    Et pourtant je veux écrire, je veux au-delà de tout écrire, pour toi, pour moi, et pour ceux qui comprendront, parce qu'ils aiment. (...)

    A tous ceux qui savent Aimer, avec un grand A, comme Ame.

     

     

  • Le musée de mon âme

    8ce6dd1640eeb66d5e395b8a3a7b1a5a.jpgAu cœur de mes entrailles subsiste la pérennité homérique

    Cette clameur lyrique de divinités très lacées

    Où quelques dieux et déesses plus vivants que jamais

    Se dressent,  parlant de beauté, par des sculptures enlacées

    Dans le nihilisme déployé d’un temps retardé qui est le nôtre

    Persiste la beauté frugale, le chant et l’espérance  nous escortent, hédoniques

    Séculaires et damnées, dévotes par défaut, femmes sublimées d’érotisme

    Remplissez ma vie de votre divin lyrisme

    Je ferai  de vos desseins des poèmes qui riment.

    "Le beau est toujours bizarre" Baudelaire