Impossible douleur d’un jardin hurlant de saules pleureurs
Où de larmoyantes verdures font de la beauté une fêlure
Et laissant l’ombre éclairer le ciel d’un éternel été
Qu’il est doux et candide de s’apitoyer sur l’infernale aventure !
Limpides et cristallines émotions d’âmes impures
Dans le silence harmonieux d’un onirisme en fleur
Avec pour portrait l’infidèle nature du cœur
Qu’importe la douleur pourvu qu’en entier elle vous assaille
Que de votre vie elle fasse un feu de paille
En évitant les pièges d’un bonheur aléatoire
Et écumant votre arpège de fausses notes en vrais malaises
Qu’il est bon de succomber à l’ostentation de sa propre fadaise!