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soleil - Page 4

  • Fragile


    mots,art,photo,ciel,nuages,vie, cité, natureFragile comme un fil de soie

    Comme un chagrin qui passera

    Fragile témoin de mon état

    Sur  la corde raide d’un funambule

    Je vais je viens je déambule

    Mon esprit est épris de tout

    Il vagabonde et s’envole au-delà

    Au-delà de la vie terrestre dans laquelle la nausée existentielle fait de moi une hirondelle, une hirondelle qui contemple la nature, et qui n’en revient pas.

    Avide de mots, je bois jusqu’à la lie les témoins de ma vie,  ceux qui  me tiennent chaud, ceux qui purifient mon esprit,

    Le substrat affiné, aiguisé comme une lame de rasoir, illumine mes songes et fait fi de ce qui me ronge.

    En  harmonie parfaite avec l’auréole du temps, les jours recommencent à évoluer vers une autre saison, la saison éclairée, le ciel est ouvert, je mange la lumière du jour, la lumière qui semble dire toujours. Je lève les yeux vers des cieux qui se fichent pas mal de la saison, du jour, du temps. Ils sont là depuis la nuit des temps, le ciel a toujours vingt ans, définitivement. Il respire avec un buste de dieu immortel et puissant,  toujours neuf, il fait abstraction du souffle du vent qui le mène là où l’on ne meurt jamais, puisque tout est balayé. Le ciel ne se trouble qu’en surface, lorsque la lune lui emprunte une infime partie, un coin de ciel, un coin de vie,  lorsque les nuages envahissent quelques infimes morceaux d’un ciel infini.

    Quand le soleil est trop chaud, la terre semble s’enflammer par ses rayons allumée. On ne prête jamais attention à l’âge des saisons, à l’âge des étoiles, à l’âge de la terre, à l’âge de la nature qui est pourtant l’essence même de nos quintessences. L’homme est ainsi fait. Il ne voit pas ce qui lui crève les yeux,  le musée permanent dans lequel nous évoluons, la  vie prolifère sans cesse. Les herbes des champs, la lune d’argent, le soleil imminent, la nature est un documentaire, sans début et sans fin dont nous ne voyons pas les acteurs principaux, les fleurs poussant dans un coin de verdure, nous ne prêtons pas  attention à la vie des oiseaux, composant leur vie parmi les vieilles branches, fragiles brindilles, où ils brodent leur nid, adorable et merveilleux abri, pour protéger leurs petits. L’eau, la rivière, la mousse et les rochers, tout cela nous est égal, pas le moindre effet à l’horizon. Non, nous ne voyons que le mauvais côté de la vie, les horreurs nous torturent et nous aimons ça, puisque remettre de l’ordre dans ses idées semble être pour nous une insurmontable possibilité. Consommer sans modération un regard absolu jusqu’à l’indiscrétion,  posé sur les choses, sur les êtres, les animaux pour lesquels jamais rien n’est  fortuit, tout est si bien ordonné dans la grande parade de la vie. Le cycle biologique à la logique sans faille est une référence qu’il serait sensé de ne pas oublier. L’ostentatoire n’aurait plus rien à espérer, la nature reprendrait ses droits et nous montrerait le chemin qui n’a pas changé, si l’on s’en réfère aux jours d’hier, aux jours d’avant. Avant que la vie de la cité ait le droit de nous faire payer la beauté, la connaissance, le savoir, dans des galeries, la nature est en cage, une grande partie tout au moins. Prendre conscience de tout cela serait un grand pas pour les Hommes, un pas de géant, mais je déraisonne… sûrement.

    « J’ose presque assurer que l’état de réflexion est un état contre nature, et que l’homme qui médite est un animal dépravé. » Jean-Jacques Rousseau

  • Nuages

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  • Peintures...


    écrire,lire,nature,paysage,photo,soleil,espoirBelle journée. Un soleil d’étincelles surligne l’atmosphère. Tout n’est que relief, brillance, reluisance. Je reviens d’une petite balade, afin d’aller à l’encontre des choses essentielles, tout ce que résume la nature. Cet endroit était béni de Dieu. Chaque parcelle de terrain se donnait en spectacle. Râ, affectionnait et sublimait tout ce que l’on pouvait y trouver. Le moindre morceau de bois, la moindre pierre, ou pire encore, un simple bout de fer étaient un hymne à l’esthétisme.

    Les chevaux étaient au pré, Bobine entrain de manger, comme un oiseau, je précise ! Elle avait une si petite bouche qu’il lui fallait la journée pour arriver au bout de sa ration. Ma chienne m’ouvrait la voie, et « armée » de mon téléphone portable, je pris en photo quelques uns des plus beaux angles du décor. Je n’avais de cesse d'immortaliser, par ci, par là, ce que me tendait le Seigneur. Ici, la Nature était reine. Je ne me lassais jamais de marcher au milieu des champs, de jouer à cache-cache avec le soleil. Un coup à droite, un coup à gauche, un coup au centre, l’étendue de l’horizon se confondait avec le ciel, l’eau, l’herbe, tout était en harmonie, et ressemblait à une toile d’impressionniste. Mes yeux n’avaient jamais été autant choyés ! J’assistais à l’union des jolies choses. Une assemblée de couleurs tournoyaient et accentuaient les tonalités du paysage. J'étais dans l'atelier d'un peintre! On aurait aussi pu penser à un tableau abstrait, tant le bariolage faisait la course avec le temps. Avant que le jour ne s’estompe, et que tout redevienne silencieux. Même les oiseaux ne chantaient plus quand s’en allait le soleil. Comme si cela fut d’une extrême importance, et effectivement, cela l’était. La Nature avait le devoir de nous éblouir et inversement, le droit au respect. Je faisais corps avec le décor, (je ne cherchais pas la rime !), j’épousais chacun de ces instants magiques qui m’étaient donnés. L’alliance était une symphonie que j’entendais depuis les cieux dont le soleil était, le symbole parfait. Tout était délicieux, tout. Mais que dis-je ? Je ne voudrais pas faire de jaloux, alors ne soyez pas froissé du bonheur qui m’habite. Cela vous arrivera aussi, à la seule condition, celle de l’humilité et de la sincérité. Je n’invente rien, tout est aussi limpide que l’eau claire puisée à la source de votre vie. Savoir rester soi-même, quoique l’on vous dise, et qui que ce soit qui vous le dise. Ne se préoccuper que de ce dont vous parlez, et pas plus. Ne pas prêter attention aux mauvaises langues, les laisser pour ce qu’elles sont, des malheureuses, au-delà de leur médisance. Sans désir de vengeance, laisser couler leur venin fallacieux, il ne vous atteindra pas, jamais. Puisque vous savez être vraie, la providence accompagnera vos jours. De bonnes lectures, saines de corps et d’esprit, celles qui vont puiser dans les profondeurs de l’âme. Voilà le secret. Après, chacun le voit de sa fenêtre, selon l’étage où il habite. Il n’est pas nécessaire d’habiter en haut d'un gratte-ciel pour voir la vérité se profiler. L’horizon peut être merveilleux vu d’un rez-de-chaussée, si on a en soi une vision interne imprenable. Le panorama est celui que l’on a aussi dans la tête.

    Je reconnais être un peu aidée, je ne manque de rien, les êtres qui m’entourent débordent d’amour à mon égard, alors, que pourrais-je espérer de mieux ? Je sais : la continuation de ces jours inspirés. Je ne perdais pas de vue que tout pourrait s’arrêter si je n’étais pas vigilante… L’Art me cajolait de son mieux, et je le lui rendais bien. Remplir au mieux les cinq sens qui nous ont été donné. De France Culture, en passant par des magazines, suivre la route des bons journaux, et s’endormir avec un bon, très bon livre. Celui qui vous aidera le lendemain, car on le sait tous, la nuit porte conseil, puisque l’inconscient travaille dès que le corps d’endort.

    J’avais désormais une nouvelle muse, une écrivaine, grâce à laquelle je me sentais moins seule littérairement, j’entends. Les deux romans en cours étaient de précieux instruments dont elle jouait avec virtuosité. « Elle » m’aidait beaucoup sans le savoir, bien qu’Elle fut plus âgée que moi, il existait bel et bien des similitudes entre nos deux vies. "Merci Madame, continuez à raconter La vie, et que la mienne trouve sa place dans le domaine de la Littérature"… La dernière place me suffirait, sans sourciller!

    Bonne soirée…

  • Autour de moi...

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    Autour de moi

    De l'eau, de la pierre et du bois

    De la terre, des arbres aux reflets de soie

    Du soleil et quelques rus

    Tout en bas de ma rue

    Des bambous noirs et verts

    Des rayons de soleil et du lierre

    Du bonheur, du mystère

    Et quelques plantes exagèrent.

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  • Eclat.

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    A peine éveillée, je me trouvais béate

    devant le cadeau que m'offrait la nature écarlate

    Il me semblait que durant la nuit, j'avais crée cette peinture flambante

    J'immortalisai cet instant à l'infinie puissance

    Avant de recouvrer l'univers de la providence.

  • Les cieux, indéfiniment, tourbillonnant

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    A l'infiniment beau

    Nulle limite au très haut

     

    Tourbillon de nuances pastel

     

    Valsant tout là-haut dans le ciel

     

    Capricieux et transitoires

    Les cieux ont leur mémoire

  • Toucher le ciel...

    Le ciel à l'instant 
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    Dans un halo de lumières éclatantes

    Ô mon auréole déferlante

    Tu décores les cieux

    Fais ce qu’il y a de mieux

    Et pendant que je m’étourdis

    J’entends le piano de Chopin

    Et ses accords divins

     Convolant au milieu d'un paradis

    Où se couche l’infini…

  • Actualité d'une joueuse!

    écrire,lire,soleil,nature,herbe,sollers,billetdoux« Je sculpte mon âme », sur les conseils de Platon, étendue sur l’herbe encore reluisante par la gelée nocturne. Du soleil plein les yeux, je fais le plein d’énergie, et comble mes carences en vitamines D.

    Je joins l’inutile à l’agréable !

    Sur "France Culture », j’ai la chance d’entendre Marie Billetdoux, dont je n’ai qu’un seul mais bon souvenir, lors d’un Salon du livre de Toulon. C’est une très belle femme, son âme semble ne l’être pas moins, elle me donna quelques conseils quant à mon projet autobiographique. Loin des idiots, vous savez, ceux qui se croient supérieurs intellectuellement parlant, se cachant derrière un pseudo, assis derrière leur écran,  dans lequel, je suppose ils doivent se mirer, tant leur narcissisme est immense, autant que leur méchanceté d’ailleurs ! Loin de ceux qui essaient de vous faire passer pour une idiote, de plus une idiote blonde, comble de facilité, vous en conviendrez, n’est-ce-pas ? Ce qu’il y a d’étonnant (détonnant), est que « Google » semblent les suivre dans leur pitoyable démarche. On ne retient de vous que des bribes de phrases, tel un montage médiocrement exécuté. Exemple, je lisais hier sur « Philomag », le contenu du lien Googuelien : « …Valérie Bergmann. Incompréhension générale. » Alors qu’il s’agit tout simplement du titre que je donnai à un commentaire sur Brigitte Bardot. Au fond je les plains ces culs terreux, tentant désespérément de vous déstabiliser ;  ceci est un fait parmi tant d’autres coups bas… que je ne narrerai pas, inutile. Quelquefois, cela me fait sourire, et d’autres fois beaucoup moins. Ma sensibilité est mise à rude épreuve, pour peu que vous fassiez une faute d’orthographe, ce sera juste cette phrase qui apparaitra dans le lien !

    Au final, cela m’amuse, puisque ça me permet d’écrire ! En écrivant des choses vraies, le reste devient fluide, l’inspiration jaillit, car seule la vérité paye, c’est bien vrai. Dieu me préserve de côtoyer ce genre de personnages viscéralement calomnieux, il en faut du talent pour « casser quelqu’un », mais quel type de talent ? Le tas lent, serait plus approprié…

    Bref, je remercie la plateforme Hautetfort, la seule qui me permette de me défendre ou de m’expliquer, lorsque j’en ressens le besoin.

    Pour l’heure, ce sacro-saint soleil n’en finit pas de scintiller au milieu d’un ciel immensément bleu, immensément beau. Ma chienne profite aussi des rayons du roi Râ ! L’énergie solaire est sans égal, et ce pour tous les êtres vivants ainsi que pour la flore. Dans cette illusion printanière, c’est l’union  de la nature avec le corps et l’esprit. Essentiel pour rester vivant, être relié à toute forme d’authenticité.

    Cela ne signifie pas se laisser aller, ni faire pénitence, la vie vous en donne assez, non, simplement être soi-même, c’est déjà beaucoup.

    J’ai entamé hier soir la lecture « Les fleurs bleues » de Raymond Queneau : surréalisme total, aux frontières de mon entendement, mais je poursuis ma «  route », et cherche une explication à certains mots absents du dictionnaire, (un peu à la Georges Perec et son Oulipo), ainsi de drôles de mots se promènent devant mes yeux, en langage inconnu, parfois, faisant parler son cheval Démosthène, je nage en plein irréel, cela fait parfois du bien, l’irréel !

     J’ai en suspend quelques livres de Sollers, le seul et l’unique écrivain qui m’inspire, c’est ainsi, même si ma bibliothèque est foisonnante de très bons auteurs. Son « Je » souvent vénitien irait donc butiner chaque femmes qui le séduisent, non, je ne le crois pas. Sollers écrit ce qu’il ne fait pas et tait ce qu’il fait, voilà l’histoire. Il sait très bien que les gens adorent que l’on parle d’eux, alors, à travers   ses conquêtes, il révèle le souhait de beaucoup d’hommes ; et ça fonctionne ! Un ami parisien me disait l’autre jour : « Je continue ma vie à la Sollers… », Sous-entendant qu’il avait de nombreuses petites-amies dans sa vie !!! Et là, je ne peux m’empêcher de rire, gentiment aux éclats, Sollers, vous avez réussi, là où tant d’autres se sont fourvoyés. Le premier degré qui est en fait du second, est pris pour bon nombre de ses lecteurs au degré primaire.

     Laurent Mauvignier dans « Philosophie magazine » parle adroitement de « l’extime », juste contraction d’estime et d’intime, auxquels je rajouterai extrême.

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    Je continue entre deux lignes, de contempler l’herbe fraîche aux reflets d’argent, avant que le soleil disparaisse inévitablement, j’en prends plein les yeux. Je sors à l’intérieur, loin de la foule dominicale.

    Je terminerai mon scribouillage en citant Philippe « Solaire », j’espère qu’il ne m’en tiendra pas rigueur, « Pour vivre cachés, vivons heureux ». Cette sentence me va comme un gant… ce fut un travail de longue haleine mais j’y suis parvenu. Pourvu que ça dure ! Tant que,  depuis les Cieux Dieu aura un œil sur moi, il en sera ainsi, et vive la vie !

  • Musiques et Musique

    Ce soir de chez moi

    vie, art, livres, soleil, musique, variétés, classiqueJe ne peux plus écouter de variétés françaises, ce n'est pas un mystère. Ces chansons si chères à mon coeur, sont devenues des textes à prétexte afin de le faire pleurer. Non, depuis que la mort et le deuil frôlèrent ma vie, et semblent poursuivre leurs ambitions, je ne puis plus entendre toutes ces mélodies illustrées par de si beaux textes. Leurs harmonies et leurs mots si tristes par leur véracité, non, je ne puis plus les écouter, tous les Ferré, Biolay, Clerc, Aznavour, et tant d'autres au talent divin, je leur dis au revoir, pour ne pas sombrer dans le désespoir. Mon état liturgique se nourrit désormais de musiques classiques, Bach, Debussy, Vivaldi, Jancek, Wagner, Mozart, Beethoven, Chopin ou Verdi (pour ne citer qu'eux) m'accompagnent dans des instants de nostalgie choisie. Malgré les tons parfois graves de la grande musique, je reste sur mes gardes car aucun mot ne saurait me ramener à mes souvenirs. Le silence et la solitude sont des monts de plénitude sublime et précieux. Il n'est pas besoin d'en rajouter.

    Toucher les cieux, de tous mes sens, ne voir que le lumineux, et pas l'illuminé. Je ne suis plus dans l'auto-contemplation, ce serait du temps perdu, puis les jours passent si vite, qu'il est judicieux pour le bien-être de l'esprit et de l'âme de s'enrichir de beautés sans artifice dont nous sommes les témoins. Tout est à notre portée. A cela, je ne connais qu'une solution, rester vraie, et être surtout animée de curiosités bien placées. aussi longue sera l'ascèse, autant de forces spirituelles aideront ma vie. Les arts, les livres, les hasards, la vie en est remplie, me tiennent chaud. autant que le soleil lorsqu'il décline, autant que la vie quand on sait l'embrasser. Autant de fois où l'on admire le soleil se coucher...

    Bonne soirée...

  • L'éternelle rencontre...

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    Ce cercle d'or à l'infinie beauté

    Chaque jour attend que le soir l’appelle

    Pour qu’à nos yeux enfin il se révèle

    L’horizon se revêt de ses oripeaux

    Et le ciel semble voler bien haut

    Je caresse alors l’espoir d’une chimère

    Qui se fiche pas mal de mes misères

    Et brulante devant tant de beautés

    C’est le carnaval des tons sacrés

    Qui une fois par jour et pas une de plus

    Fait que je me noie dans un ciel nu

    Fait qu’à chaque fois je tombe des nues

    Je suis le soleil derrière les collines

    Espérant sans cesse qu’il me devine

    Je fais un vœu, juste ce soir

    Celui dans lequel mon cœur fatigué

    Jamais ne finira d’aimer

    ça s’appelle l’espoir…

     

  • Dons des Cieux, don de Dieu...

    Après m'être ressourcée : Il suffit de marcher un peu pour prendre de l'altitude, avec parcimonie. Ne pas se brûler les ailes, tel Icare, devant tant de beautés, j'ai le souffle coupé! Choisir quelle serait l'image que je partagerai... 

    Cet après-midi

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  • Vers le Soleil, les émotions sensorielles...


    émotion,art,vivre,soleil,aide,dieuL’émotion est rationnelle, des analyses scientifiques le prouvent. Des liens avec la raison sont présents. Ainsi sont-elles en rapport avec la situation. Je prends le cas, vous l’aurez remarqué, du soleil, car notre système nerveux dépend de ce que l’on voit. Cet astre si précieux est vital, de par la chaleur qu’il dégage, ainsi que par la beauté de ses rayons, qui nous éblouissent. La vision que nous portons sur les choses est symbolisée selon la vue de ceci ou de cela. Jusqu’à notre processus cognitif, fondé sur la logique de ce qui nous est possible de percevoir. Je ne parle que de ce dont je suis capable d’expliquer : Pourquoi mon être est-il précisément en osmose avec les saisons, le temps, le climat ?  Pourquoi tout cela m’est-il devenu vital, aussi soudainement ?

    A mon sens, Dieu aide beaucoup si on l’appelle, essayer ne coûte rien. Les Dieux, (pour ne froisser personne) font la pluie, mais surtout le beau temps, et cela, même en période d’intempéries ! Ce qui fait que nous nous sentons vivants, Il est celui qui nous donne la force de persévérer dans nos projets. Ceci est fondamental pour vivre harmonieusement avec notre entourage, et avec la nature. Car là est le plus intéressant. Se sentir vivant, malgré la «  nuit, », entendons par là,  les soucis financiers, sentimentaux ou autres, les orages existentiels, les deuils ou les événements négatifs, dont les médias ne nous privent certes pas. Alors, prendre le temps de vivre, lire, apprécier l’Art, écouter de la musique classique, contempler la nature et ce qui en découle, une simple fleurette dans la vitrine d’un fleuriste pour les citadins,  s’octroyer de longs moments de solitude, juste pour notre propre bien-être. Afin de faire passer le message. Etre estimé n’est possible que si l’on a une complicité avec soi-même. Pour être aimé, il faut d’abord s’aimer, cela est bien connu ; tous les moyens naturels sont bons. Se laisser aller, mais  pas trop, trouver le juste équilibre, car c’est bien de cela qu’il s’agit,  cela vient avec le temps. Dire adieu aux excès pour mieux vivre, une vie qui vaut le coup. J’ai la chance d’avoir écouté de fabuleux conseils, mais surtout d’avoir pu les mettre en pratique. Voilà pourquoi, le soleil étant à mes yeux une des plus belles choses de l’univers, de par sa luminosité, variable selon les heures de la journée mérite l'attention que je lui porte. Cela me comble de bonheur, alors je voudrais vous offrir en partage cette expérience. Que vous soyez athées, agnostiques, ou croyants, prenez le temps de regarder, de vous extasier même ! Si vous en ressentez le besoin, prier est libérateur, écrire ses propres prières est très important. Tout ce qui est fait avec mesure, jamais ne connaîtra l’usure. Soigner son âme, est essentiel au système cérébral, car l’émotion est omniprésente dans notre cerveau. Je vous souhaite d’être heureux…

    Si je me permets aujourd’hui de donner ces quelques "conseils", c’est parce que je reviens de loin, et que je croyais ma cause perdue. Alors, comme dit l’adage, « Tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir », ou encore « Aide toi, et le ciel t’aidera »… Je confirme. 

    Je précise humblement que toutes les photos du blog, proviennent de la vision que je porte sur ce qui m'entoure. Elles sont prises chaque jour, afin d'illustrer au mieux les poèmes ou les articles.

    " Visse, scrisse, amó "