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" L'Art est long et le Temps est court" Baudelaire - Page 74

  • George Stubbs 1724-1806 : Peintre anglais romantique :

    ... je demande aux cavaliers qui me lisent et qui dressent leurs chevaux de regarder leur monture lorsqu'ils mettent pied-à-terre après une séance de travail, de contempler son oeil et de faire un examen de conscience pour se demander s'ils ont bien agi envers cet extraordinaire être vivant, ce compagnon adorable : le cheval. Nuno Olivera

    "Le génie est un cheval emballé qui gagne la course" Jean Cocteau
    george stubbs cheval.jpg

    "Cheval attaqué par un lion" 1769

     

     

  • Georges Seurat Neo-impressionnisme 1859-1891 :

     

    "Le Cirque" 1891

    L'art, c'est l'harmonie. L'harmonie c'est l'analogie des contraires, l'analogie des semblables, de ton, de teinte, de ligne… le cirque de Seurat Georges.gif

  • John Kennedy Toole : 1937-1969

    "Au cours des années, je suis passé
     maître en l'art d'échapper aux choses que je ne voulais pas faire..."conjuration des imbéciles.jpg

  • La procession du cheval dans Troie : 1770

    Giovanni Battista Tiepolo (1696-1770) 

    Tiepolo.jpg
    "Le génie est un cheval emballé qui gagne la course"

    Jean Cocteau 
  • Entre ciel et terre :

    gem et moi.jpg
    La  Vraie Vie...Sur un pied d'Estal...
    "Les vents de l'orgueil, peu apaisés" Alain Baschung

  • Antoine Coysevox -1640-1720-

    "On a tendance , de nos jours, à oublier que l'équitation est un art. Or l'art n'existe pas sans amour. L'art, c'est la sublimation de la technique par l'amour." Nino Oliveira

    Pegase antoine coysevox.jpg
    "La Renommée montée sur Pégase" 1702
    Musée du Louvre
  • La Muse :

    Simon Vouet. les muses.jpg La Muse ment et cela depuis tous temps

    Abuse de son pouvoir, éclairée  par la lumière du soir

    Susurre des palabres depuis le firmament

    Pour voir s’ouvrir les roses épineuses de la beauté rare

    Avant d’ouvrir un grand écart de litotes de gare

    De son âme, on ne voit que le bleu camaïeu

    De nos écrits on ne sent que le mélo sur fond creux

    Qu’elle déclame depuis les cieux tels des phares lumineux

    Eternellement infidèle, elle crie des aèdes

    Que seuls les rebelles entendront de la plèbe

    Arrimant  les mots et leur légende

    Elle est la Reine de la Bande

    Elle seule engendre depuis le Très-Haut

    Les battements lacrymaux de nos idéaux

    Elle seule entend notre appel

    Et nous dévie du côté charnel

    Là où est sensé subsister l’Eternel

    Comme un dernier rappel avant la démesure du Néant

    Le contretemps de nos sentiments, en quelque sorte

    Qu’elle nous emporte  par monts et par mots

    Histoire d’équilibre, nous redonner le goût de la vie libre

    Se sentir vivant au seuil de la porte du jardin des Délices

    Sans chercher le moindre plébiscite

    Et, s’amusant de tous nos caprices,  c’est elle qui les dicpicasso-muse.jpgte.

  • (Petit) coup de gueule...

    Vincent Van Gogh - Self-Portrait Dedicated to Paul Gauguin 1888.jpg

    Gauguin-Van Gogh, Van Gogh- Gauguin? Quelle importance!

    Il est évident que les peintres, artistes en tous genres ne furent pas des Hercule, et qu’ils savaient travailler en équipe, (Eux !) dans l’antre magique et élitiste  de leur atelier. La signature n’est-elle pas suffisante pour les pauvres profanes que nous sommes ? Mais non, il faut que des « fouines » en manque de scoop, creusent la cervelle de ceux qui s’en mêlent (les pinceaux) !

    Michelangelo ne fut pas le seul à avoir décoré la Chapelle Sixtine, sinon, il risquerait de s’y trouver encore à l’heure qu’il est !!!

    Ne touchez pas à notre patrimoine ; le laisser tel quel et, par-dessus tout, savoir regarder, ressentir, pénétrer la toile, si vous y parvenez, ou alors, abandonnez et passez à autre chose de plus malléable.

     

  • L'effet mère :

    Lumineuse pénombre

    Que ton ombre vagabonde

    Suive chacun de mes pas

    Et fait  de mes amours lunaires

    Un paradis micellaire d’empreintes

    Bien loin de l’effet mère

    Où les mots dits plébiscitent l’aura

    L'auréole de mon moi

    Couronné par je ne sais quelle foi

    Eternelle guerrière du sang qui coule dans mes artères

    Mon moi n’est qu’un je déguisé

    Emblématique d’un Rimbaud Illuminé

    D’Un  Narcisse extasié

    D’Un  Artaud condamné

    Par Un Dante inspiré

    Et pour éclore, Un Homère sanctifié

    Clé infinie de mes Repaires imaginaires.

    "Les mères ont leur raison que la raison ignore. Le diable y travaille, et Dieu bénit parfois le boulot à l'envers" Ph. Sollers

     "Le Colosse" Goya

    colosse Goya.jpg

  • René Magritte -1898-1967-

    Rene-Magritte-le mal du pays.jpg
    "Le mal du pays" 1941
    Cette toile dépeint l'ambivalence qu'il existe entre le bien et le mal, durant l'avancée complexe et barbarbare des nazies...L'athmosphère du tableau est palpable par le danger que représente le lion, par le biais des ailes noires, on comprend l'hésitation de l'homme entre la fuite ou le danger. Ce tableau aurait pu s'intituler "Le dilemme".

  • Mes Racines :

    Grand-mère.jpg"Il est grand temps de rallumer les étoiles" G.Appolinaire

  • Dominique Vivant Denon :"Point de lendemain"... Matin

    A propos du livre "Point de lendemain" de Vivant Denon, assimilable aux "Liaisons dangereuses"...

    "Le corps de celui qui monte se fait plus léger"(...) dit Dante. Que penserait-il de ces belles phrases, corrompues par le mensonge du jeu de la séduction ? Un choix unique reste à faire : aimer l’amour sans restriction et sans fausseté, que diable ! "Point de lendemain" à ceux qui font de leur vie une partition remplie de faux accords. Jouir et encore jouir, voilà de quoi l’on s’imprègne en lisant l’ouvrage de Denon. Malgré un phrasé frôlant la perfection, peux-on accepter la fausseté des faux-amours ? Usurpateur de sentiments à la mode "Marquise de Merteuil", les liaisons sont toujours dangereuses par nature ; à plus forte raison lorsque le panache en ressort, vainqueur par défaut d’un libertinage sans âge ! Jouer avec les sans-timents, drôle de rôle, en sommes-nous convaincus ou jouons-nous avec ces écrits séculaires, faisant semblant d’y éclore et d’y croire encore ?
    Divine littérature, porte-nous où toi seule sait le chemin, car les mots sont des couperets, aiguisés par ceux qui les utilisent, et déguisés pour ceux qui ne sont pas dupes. Le Diable est aux aguets, et Dieu dans tout ça ?