drôme - Page 5
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Dans les bois
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Sur mon chemin ...
Malgré de nombreuses recherches, je ne suis pas parvenue à connaître le nom de cet endroit. Désolée.
Photos Valérie Bergmann
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Aperçu du Musée D'Art Sacré de Mours
Notre-Dame de Mours apparaît mentionnée pour la première fois en 937 dans le cartulaire (recueil d'actes) de Saint-Barnard de Romans. Elle devient église paroissiale au 14 e siècle. De l'édifice de grande ampleur, élevé au 12 ème siècle, ne subsistent que la tour, base du clocher, et une partie du mur sud de la nef avec la petite porte romane.
Des travaux entrepris au XIX ème siècle modifièrent l'orientation de l'édifice, le portail d'entrée de l'édifice prenant la place de l'abside démolie.
A l'intérieur, le clocher devenu porche, est couvert d'une coupole octogonale prenant appui sur une arcature aveugle assurant avec élégance la transition entre le plan rectangulaire et le plan octogonal, selon un modèle attesté au Puy-en-Velay. (Crédit Musée)
Ces Peintures seraient approximativement datées du début du XVII me siècle, et seraient les oeuvres d'un proche du célèbre peintre Luis de Moralès. A cette époque, les Artistes ne signaient pas leurs toiles.
Photos Valérie Bergmann
Le Musée et par-delà, l'église étant fermés, le hasard fit que je rencontre le conservateur. Il m'autorisa juste ces quelques images. Le Musée rouvre ses portes au mois de mai ... je serai au rendez-vous !
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Instant d'antan
Photo Valérie Bergmann
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Un Palais des mille et une nuit pour l'éternité !
Chercheur de pierres...
Un temple merveilleux à visiter en famille ... ou pas.
Il était une fois en 1879, un paysan drômois devenu facteur, baptisé Joseph-Ferdinand Cheval, qui rêvait de bâtir son rêve. Durant chacune de ses tournées de postier, il ramassait des tas de pierres qu'il déposait dans sa brouette et avec lesquelles il construit son Palais Idéal, qui plus tard lui servirait de tombeau. Humblement, il se mit à l’œuvre et parvint à lui seul l’achèvement de son rêve, qui jour après jour prenait vie.
Les styles se mélangent, différentes ethnies religieuses y sont représentées de façon délicate, rien n’est laissé au hasard ; chaque détail représente un travail colossal. Une crèche provençale côtoie « La Maison blanche », qui elle-même se trouve aux côtés d’une Mosquée. Le mélange des genres architecturaux donnera l'appellation d'Art naïf. (Le choix des photos fut complexe !)
Des sculptures ingénues d’animaux sont représentées dans des niches, ou bien en relief, à l’intérieur et à l’extérieur du monument, tels que mouton, chien, oiseaux, coq, brebis, éléphant, chat, etc… Peut-on y voir une référence à l'Arche de Noé, qui sait ? Tant de constructions y symbolisent le monde !
Il gravait dans la pierre des inscriptions, telles « Un jour j’ai bâti un rêve », ou encore « J’ai bâti ce palais des mille et une nuit, où j’ai gravé mon souvenir. » Au dessus de sa tombe, on peut lire :« La simplicité du corps rend l’âme merveilleuse. A ce passage on porte pour tout bagage que le bien ou le mal qu’on a fait sur la terre. »
Les fées orientales fraternisent avec l’occident, laissant suggérer une vision d’ouverture sur le monde et les gens peu commune...
Cette visite laisse les visiteurs surpris et perplexes, enchantés par un étonnant travail, celui d’un seul homme, qui un jour eut ce courage là, d’accomplir de ses mains, un empire où il reposerait à jamais. L’aboutissement d’un visionnaire est né, tout simplement, sans fanfaronnades mais avec vaillance.
Charme, paix, volonté et persévérances évoquent le courage sans faille d'un Homme unique.
A visiter, si vous passez par là, et même si la route est longue, cela vaut largement le détour ! Simple avis d'amateur.
Photos Valérie Bergmann
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Découverte d'un monde à part ... Dès demain
Photos Valérie Bergmann
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Ombres et reflets
Comme des oiseaux sur les branches
Ricochet
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Bouquet d'automne
Photo Valérie Bergmann
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Un dimanche au parc
Photos Valérie Bergmann
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Drôme et Lumières
Drôme et Lumières
Ici, plus qu’ailleurs, la lumière est savante créatrice
Par le soleil diffusé, Elle seule décide, initiatrice,
De chaque détail de vie, comme un mélange exquis d’enfer et de paradis
Nature et peinture se confondent
Dans un savant mélange de teintes estompées
De couleurs presque inachevées
Le soleil fait les ombres
Les ombres font les formes
Les formes font les reflets
Et les reflets forment des tableaux.
Chemin vers les cieux
La vallée
Rien n'est parfait
Éclair solaire
Photos Valérie Bergmann
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Un Ange passe ...
Photos Valérie Bergmann
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Chapelle Saint-Jean de Crupies -10 siècles d'histoire-
Eglise romane, Inscrite depuis 1981 à l'Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques.
Cet édifice, joyau d'architecture ancienne, accueille chaque été de nombreux concerts de musique classique, ce qui permet à la commune de Crupies d'entretenir ce lieu magique, fort de dix siècles d'histoire.
Plusieurs fois endommagée, toujours reconstruite.
On peut y apercevoir une trace carolingienne, grâce à la présence d'un oiseau picorant une figue, dans le méplat en dessus du portail d' entrée de la chapelle.
Dans ce lieu solitaire et mystique, chargé d'histoire et situé sur le site d'une villa gallo-romaine, cette bâtisse surplombe la vallée du Roubion.
Témoignage de tant de siècles d'histoire, le calme et la sérénité y règnent en maîtres absolus.
Repos et contemplation appellent à la méditation.
Photos Valérie Bergmann
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Lever de rideau (Suite et fin)
De chaque côté du décor, des branchages semblaient s’ouvrir sur des paysages insoupçonnés. Mon regard se posait sur tant de merveilles que j'en eus le souffle coupé. Tout était là, ici et maintenant. Le monde dans mes yeux. Ombres et reflets charmeurs dans mon cœur. Ici, le vaste horizon, au clair de pittoresques sillages, et là, du Vert naturel et sauvage, s’étendant à perte de vue. Des troupeaux d'animaux grégaires y régnaient en maîtres. Dans ce décor, nulles ambages possibles. Le choix des Dieux. Grâce au balai incessant du soleil et des nébuleux, le rouage des ombres majestueuses s’accomplissait à chaque seconde, et des formes miraculeuses se dressaient fièrement. Forêts, plaines et vallons oscillaient de couleurs selon les reflets d’un soleil fébrile, mais toujours fidèle malgré l’appel de l’hiver qui, parfois, dans un éclat de seconde, se mettait à gronder par de furtifs bruits de tonnerre. Au loin, des prairies à flanc de coteaux, qui selon l’intensité du soleil ou l’apparition soudaine d’un nuage timide, venaient changer le cours des choses, le devant de la scène, comme sur des tableaux impressionnants d’impressionnisme. Fleurs de dentelles tissées, arbres aux branches automnales tricotées, reflets révélateurs de ce que la terre a dans le cœur. La fragrance boisée accompagnait chacun de mes pas, comme si cela n’était rien d’autre que le témoignage du labeur de la pluie et du soleil lorsque les saisons se confondent et inondent les champs, ça sent bon le moment présent ; de rutilants paysages laissent entrevoir, que la terre, elle, a tout son temps. C’est le charme incessant des marées, le va et vient des saisons. Le flux et le reflux du temps. Saisissant de vérité. La campagne à toutes saisons respire l’odeur du vrai comme un cri de sincérité. Tout cela est dignement féerique. Un cirque à ciel ouvert, un gigantesque théâtre au firmament de la beauté éternelle.
C’est alors, que me vint à l’esprit ces vers magnifiques de Baudelaire :
« La Nature est un temple où de vivants piliers
Laissent parfois sortir de confuses paroles,
L’homme y traverse à travers des forêts de symbole
Qui l’observent avec des regards familiers.
Comme de longs échos qui de loin se confondent
Dans une ténébreuse et profonde unité,
Vaste comme la nuit et comme la clarté,
Les parfums, les couleurs et les sons se répondent.
Il est des parfums frais comme des chairs d’enfants,
Doux comme les hautbois, verts comme les prairies,
Et d’autres, corrompus, riches et triomphants,
Ayant l’expansion des choses infinies,
Comme l’ambre, le musc, le benjoin et l’encens,
Qui chantent les transports des esprits et des sens. »
Charles Baudelaire
Photos Valérie Bergmann
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Quand le "rideau" se lève ... Acte 1
Tel un rideau de dentelle que les saisons auraient tricoté, des branches feuillues, de part et d'autre semblaient s' ouvrir sur :
Vache de l'Aubrac
Même au pré, la Belle n'oublie jamais de farder ses grands yeux avant d'entrer en scène !
Photos Valérie Bergmann
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L'empire céleste
Quand la photo se fait peinture