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Virginia Woolf.
"La seule vie qui soit passsionnante est la vie imaginaire".
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Il fallait le dire.
Je voudrais tant vous dire… qu’il fait aussi beau dans ma tête que sur mes images, vous dire que je n’ai plus peur, de tous ces jours qui se meurent, de toute cette maladie dont je prie l’accalmie chaque jour que Dieu fait.
J’aimerais tant vous dire la beauté de ces paysages, imprégnés dans mon cœur et dans mon âme, mais quand la mort rode autour de vous, il est difficile de faire fi de tout cela. Cette peur infâme à laquelle personne ne devrait avoir droit ; Celle qui vous absorbe et vous happe littéralement jusqu’à vous sentir tout petit, pathétique et minable.
On ne le dira jamais assez aux jeunes, profitez de tout, mais n’abusez de rien, tôt ou tard les conséquences sont rudes et tonitruantes, telle la résonnance d’un chat miaulant la perte de sa mère sur un toit la nuit, ou bien la femelle qui aurait perdue ses petits. Mais je ne sais que trop bien que rien, non rien ne saurait remplacer le temps qui passe, et qui par là même s’en vient vous dire ses expériences. Ah ! si seulement je pouvais persuader un adolescent de mes dires et de mes mots, le contraindre à ne pas céder à la tentation de l’excès, je saurais, l’heure venue, ce pourquoi j'ai vécu.
En attendant, vive la vie, la nature dont je m'enivre chaque jour, les choses saines et simples, et ce visage dont je remplace (comme vous pouvez le voir) chaques jours l'avatar, car chaques jours les traits d'un visage sont plus parlants que des épithètes, et je souhaite que nous en soyons les témoins. Je continuerai à me battre jusqu'à mon dernier souffle, et bien que je fume, mes poumons ont encore de l'amplitude...
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Eglises Ardèche
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Ombres et lumières.
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Voltaire....
Les vrais passions donnent des forces, en donnant du courage.
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Ma passion, ma folie, ma douceur, mon énergie...
Plus que tout au monde ils font danser ma vie et colorent mes jours, par-delà les idiots, les vauriens, les vautours. Ma vie ne tient qu'à leur fil, mais ce fil là, on le tresse à l'infini, et si l'on rencontre qu'une seule fois dans sa vie, cette sorte de bonheur là, sorti du tréfonds de l'amour, c'est que le destin était déjà écrit au creux de nos chemins de vie, loin des livres d'écoles, loin des arts et des lettres, loin de la machine infernale qui dévore le moral et vous laisse nus. Je souhaite à tous ceux qui me lisent, d'aimer ne serait-ce qu'un instant ces Animaux qui n'en n'ont que le nom. Certains de nos humains bien plus bêtes, seraient-ils d'avantage à la fête? Que le Seigneur bénisse à jamais ces âmes pures et saines, qui vous apportent sérénité, paix et réconfort. Dieu, quand je vois le monde, je me dis qu'il y a quelque chose qui cloche... Hommage à mes petits, qui sans mièvrerie m'aiment au-delà de toute folie, au-delà de toutes maladies, mais du coté du coeur, très près.
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