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poésie - Page 4

  • Le musée de mon âme

    8ce6dd1640eeb66d5e395b8a3a7b1a5a.jpgAu cœur de mes entrailles subsiste la pérennité homérique

    Cette clameur lyrique de divinités très lacées

    Où quelques dieux et déesses plus vivants que jamais

    Se dressent,  parlant de beauté, par des sculptures enlacées

    Dans le nihilisme déployé d’un temps retardé qui est le nôtre

    Persiste la beauté frugale, le chant et l’espérance  nous escortent, hédoniques

    Séculaires et damnées, dévotes par défaut, femmes sublimées d’érotisme

    Remplissez ma vie de votre divin lyrisme

    Je ferai  de vos desseins des poèmes qui riment.

    "Le beau est toujours bizarre" Baudelaire

  • Que Pluton m'enlève...

    45671f67de0cdcc8f9b5f6d206955e01.jpgQue Pluton m’enlève et me défasse de toutes mes folies

     Lui,  le gardien des enfers à l’amère souffrance, illuminant mes nuits

    En quête d’un Olympe interdit, bien érigé, pas de Maudits en apparence

     Où jaillissent les vers,  la prose prendra son temps pour tenter sa chance

     Car elle n’a ni Dieu, ni Maître comme le dit Léo, ferrant avec élégance les pieds d’un  Baudelaire en errance

    Blafardes  meurtrissures  ne connaîtront pas de demi-mesure, entonne un air qui chantonne et murmure:

    "Tout en excès,  si vous voulez exister dans un surréalisme fortuné de par sa pureté

    Toujours trop, souvent peu, mais jamais assez, là est le Temple de mes secrets"

    Le temps ne passe pas, il est une rafale d’éternité

     Une sublime crucifixion  entre le rien et le vaut-rien

     Au musée de mon âme la tienne a pris mon cœur en panne

     Et là, souveraine et distante, Perséphone se love Juste au creux de ton alcôve.

  • Sur Mesure

    Nos deux cœurs battent la chamade

    Le rythme est effréné

    La pensée jamais ne se divise

    Même quand elle se tait elle est une balade incessante de sentiments forts

    C’est un défilé subtil, ton portrait tout craché, mon esthète adoré

    Une parade contre le mal qui se défile

    Guidée par la passion  qui se profile, irréductible

    Un bouche à bouche à distance

    Comme une touche d’élégance

    Malgré l’incendie de l’absence.

  • Rodin, ou la poésie parlante

    1b63484296547964ac7666a6a7d02d38.jpg> RODIN, dessins érotiques, ou la poésie parlante
    17 octobre 2007, par VB
    Sollers le Sacré possède tous les pouvoirs artistiques car il sait voir, et, comble de générosité, nous en fait part. De tous ces dessins érotiques de Rodin, sur fond de Mozart, il transporte le profane désireux de beauté, à la croisée de l’Art. Il doit bien exister un carrefour où Sollers fait la circulation ! Ses goûts, avides dans leur diversité nous éclairent sur le monde des artistes définitifs, complexe et pas toujours simple de décryptage. A croire que l’Art, muet, n’attendait que Sollers pour entrer en communion avec le commun des mortels, côté pile, avec les initiés, côté face. Paradoxe, quand tu nous tiens ! De Fragonard à Courbet, il nous emmmène en Chine, fera un détour par l’Allemagne afin d’affiner ses connaissances philosophiques, n’oubliera pas Cézanne et la Provence, pour arriver enfin à l’apothéose archi-texturale de Venise. Entretemps, grand seigneur, il nous aura invité au Crazy Horse, où, la Naissance du monde exposent ses divines créatures. Luz, (lumière en espagnol), doit éclairer notre Bordelais préféré, à très forte dose !
    Site Internet:

  • Poèmes éclectiques

    http://www.editionsmelonic.com/Virtuel/Poemes/romantique.htm