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"Diomède dévoré par les chevaux" 1865"Les aquarelles d'orfèvre-poète semblent lavées avec le rutilement, la patine des trésors des Mille et Une Nuits." Les Frères Goncourt
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Shi Tao, peintre et poète chinois 1630-1607
"She comes from new season""Je parle avec ma main, tu écoutes avec tes yeux et nous nous comprenons, n'est ce pas, en un seul sourire." Shi Tao -
Diego Velasquez à son apogée : 1599-1660
"Vénus à son miroir" 1651"Vélasquez a trouvé le parfait équilibre entre l’image idéale qu’on lui demandait de reproduire et l’émotion qui submerge le spectateur" (Francis Bacon) -
William Blake :
"Pegasus" 1809"Le désir réprimé s'évanouit peu à peu jusqu'à n'être plus que l'Ombre du désir" W.B -
Serge Gainsbourg, l'irremplaçable :
"Je connais mes limites. C'est pourquoi je vais au-delà". -
Rembrandt 1606-1669
"Le Cavalier Polonais" 1655 -
Le Baiser par Gustave Klimt, expressionnisme :
1907-1908 "L'âge dorée" -
Cézanne et la Montagne "Sainte-Victoire" :
"Je plains un homme sans vache, je plains un homme sans mouton, mais question d’un homme sans cheval, dur pour lui de rester au monde."
[ John Milington Synge ] -
Hommage à Bashung 1947-2009, "La nuit je mens"...
Artiste: Alain Bashung
Chanson: La Nuit Je Mens
On m'a vu dans le Vercors
Sauter à l'élastique
Voleur d'amphores
Au fond des criques
J'ai fait la cour à des murènes
J’ai fait l'amour j'ai fait le mort
T'étais pas née
À la station balnéaire
Tu t'es pas fait prier
J'étais gant de crin, geyser
Pour un peu je trempais
Histoire d'eau
La nuit je mens
Je prends des trains à travers la plaine
La nuit je mens
Je m'en lave les mains
J'ai dans les bottes des montagnes de questions
Où subsiste encore ton écho
Où subsiste encore ton écho
J'ai fait la saison
Dans cette boîte crânienne
Tes pensées
Je les faisais miennes
T'accaparer seulement t'accaparer
D'estrade en estrade
J'ai fait danser tant de malentendus
Des kilomètres de vie en rose
Un jour au cirque
Un autre à chercher à te plaire
Dresseur de loulous
Dynamiteur d'aqueducs
La nuit je mens
Je prends des trains à travers la plaine
La nuit je mens
Effrontément
J’ai dans les bottes des montagnes de questions
Où subsiste encore ton écho
Où subsiste encore ton écho
On m'a vu dans le Vercors
Sauter à l'élastique
Voleur d'amphores
Au fond des criques
J'ai fait la cour à des murènes
J’ai fait l'amour j'ai fait le mort
T'étais pas née
La nuit je mens
Je prends des trains à travers la plaine
La nuit je mens
Je m'en lave les mains
J'ai dans les bottes des montagnes de questions
Où subsiste encore ton écho
Où subsiste encore ton écho
La nuit je mens
Je prends des trains à travers la plaine
La nuit je mens
Je m'en lave les mains
J'ai dans les bottes des montagnes de questions
Où subsiste encore ton écho
Où subsiste encore ton écho ... -
Stendhal, filosofia nova :
"Les discours des hommes ne sont que des masques qu'ils appliquent sur leurs actions"
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William Blake 1757-1827
"Oh! Flames of furious desires" 1794"Ceux qui contrôlent leur désir, c'est que leur désir est assez faible pour être contrôlé ; et la raison qui contrôle prend la place du désir et commande à l'insoumis"
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Bruno Di Maio, peintre italien né en 1944, l'Homme aux multiples facettes :
"Le portail"
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André Breton : "L'amour fou" 1934-1935
"Je vous souhaite d'être follement aimée""LA BEAUTE SERA COMPULSIVE OU NE SERA PAS" André Breton -
Hans Makart 1840-1884 "Les cinq sens" :
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Le jour où je t'oublierai...
Le jour où je t’oublierai
Je recouvrirai la vie et ses sourires
De mes ennemis je n’en verrai plus le pire
Plus douce sera ma vie puisque j’aurais perdu mon pire ennemi
Oui, le jour où je t’oublierai, j’oublierai tout et bien plus encore
Je ne me souviendrai pas même de notre décor
Tissé de haine et de remords
J’aurai envie de rire et de chanter
Sans peur de hurler au monde entier
Que pour moi tu as cessé d’exister
Je ne jouerai plus à la roulette russe
Aussi folle que je fusse
Mes larmes n’inonderont plus mon visage
Sur lequel tu fis tant de ravage
Si je t’oubliais ce serait bien plus facile
Mais ce jour là, ce jour où, je t’oublierai
C’est moi qui aurais fini d’exister.