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  • André Breton : "L'amour fou" 1934-1935

    l'amour fou Breton.jpg"Je vous souhaite d'être follement aimée"
    "LA BEAUTE SERA COMPULSIVE OU NE SERA PAS"  André Breton

  • André Breton 1896-1966 :

    16-01-2009

    André Breton a dit...

    Le seul mot liberté est tout ce qui m'exalte encore.

    Je continue à ne rien apercevoir de commun entre la littérature et la poésie.

    Il faut être allé au fond de la douleur humaine, en avoir découvert les étranges capacités pour pouvoir saluer du même don de soi-même ce qui vaut la peine de vi­vre.

    La vie humaine ne serait pas cette déception pour certains si nous ne nous sentions constamment en puissance d'accomplir des actes au-dessus de nos forces. Il semble que le miracle même soit à notre portée.

    Il arrive que des esprits, généreux pourtant, se refusent à admirer une cathédrale terminée. Ceux-là se tournent vers la poésie qui, par bonheur, en est restée à l'âge des persécutions.

    J'ai opté en amour pour la forme passionnelle et exclusive, contre l'accommodement, le caprice et l'égarement.

    Il faut désocculter l'occulte et occulter tout le reste.

  • Ecriture et hallucination? la Doxa, équivalence de L'Enfer de Dante

    d471cb8a141bcd933f5cdc1ab4747c77.jpg> Ecriture et hallucination ? la Doxa, équivalence de L’enfer De Dante 12 octobre 2007, par VB

     

    Pauvres êtres surréalistes que nous sommes. Incapables de choisir un chemin bon ou mauvais, et de s’y tenir, sans jamais le rebrousser. Oui, l’écriture résulte d’une hallucination personnelle, tendancieuse narcissique et onirique, parce que justement illuminée et donc, subjective par sa non-existence. Toutes les sensations ressenties au moment où la mémoire vous retend sa main, afin d’affiner nos pensées, nos écrits, là où tombe le mot juste, là où nous jouissons cérébralement, aucune critique ne peut en venir à bout. Nous sommes les fortificateurs d’un monde auquel nous n’appartiendrons jamais dans sa réalité, et c’est là que se définie le surréalisme. De Breton à Artaud, nous nous perdons pour mieux nous retrouver, mais dans un autre registre, celui de la cohérence. Encore faut-il avoir le talent pour !...