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Le ciel, à l'instant...
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Quand le ciel se donne en spectacle...
Photo Pascal Bergmann
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Rouge ciel...
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Ciel d'or -Le feu du ciel-
Ciel d'or
Splendeur de choses rares
Jamais ton ciel ne s'égare
Tout n'est qu'accord parfait
Entre le jaune et le mordoré
Ciel d'or
Réminiscenses de couleurs et de sens
Comme un volcan en fusion
Tons écarlates à profusion
Couleurs divinement belles
Ciel d'or
Tu m'ensorcelles!
Le pourpre et la nacre ne font qu'un
Les nuances gorgées de soleil
Jouent des accords majeurs sur l'étendue des merveilles
Que rien ne saurait davantage sublimer
Pas même le coeur le plus pur
Tous les goûts sont dans ta nature
Ciel d'or
A ce jour ma plus belle vue
A la nuit tombée persistera ta beauté nue
Dans les méandres de ma mémoire
Dans les tréfonds de mon âme
Mon poème te réclame
Et j'y verrai quelques flammes
C'est alors que les mots auront leur charme
Ciel d'or
Jamais ne s'endort.
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Au clair de la lune, à l'instant...
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Le jour s'oppose à la nuit...
Il y a une demi-heure,de ma fenêtre
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Eclat.
A peine éveillée, je me trouvais béate
devant le cadeau que m'offrait la nature écarlate
Il me semblait que durant la nuit, j'avais crée cette peinture flambante
J'immortalisai cet instant à l'infinie puissance
Avant de recouvrer l'univers de la providence.
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Nuances... Semblable à une Peinture romantique
Variation autour des cieux
Les Anges, seuls, semblent s'être enfui de la "toile"
Aucune couleur n'est absente
Tout est variable, tout en un instant
peut changer de sentiment
Tout en un éclair
peut changer de lumière
C'est selon la vison
C'est selon l'émotion.
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Les cieux, indéfiniment, tourbillonnant
A l'infiniment beau
Nulle limite au très haut
Tourbillon de nuances pastel
Valsant tout là-haut dans le ciel
Capricieux et transitoires
Les cieux ont leur mémoire
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Toucher le ciel...
Le ciel à l'instant
Dans un halo de lumières éclatantes
Ô mon auréole déferlante
Tu décores les cieux
Fais ce qu’il y a de mieux
Et pendant que je m’étourdis
J’entends le piano de Chopin
Et ses accords divins
Convolant au milieu d'un paradis
Où se couche l’infini…
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L'éternelle rencontre...
Ce cercle d'or à l'infinie beauté
Chaque jour attend que le soir l’appelle
Pour qu’à nos yeux enfin il se révèle
L’horizon se revêt de ses oripeaux
Et le ciel semble voler bien haut
Je caresse alors l’espoir d’une chimère
Qui se fiche pas mal de mes misères
Et brulante devant tant de beautés
C’est le carnaval des tons sacrés
Qui une fois par jour et pas une de plus
Fait que je me noie dans un ciel nu
Fait qu’à chaque fois je tombe des nues
Je suis le soleil derrière les collines
Espérant sans cesse qu’il me devine
Je fais un vœu, juste ce soir
Celui dans lequel mon cœur fatigué
Jamais ne finira d’aimer
ça s’appelle l’espoir…
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Dons des Cieux, don de Dieu...
Après m'être ressourcée : Il suffit de marcher un peu pour prendre de l'altitude, avec parcimonie. Ne pas se brûler les ailes, tel Icare, devant tant de beautés, j'ai le souffle coupé! Choisir quelle serait l'image que je partagerai...
Cet après-midi
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Je ne résiste pas ...
Quand la photo se fait passer pour un tableau impressionniste...
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Invitation au "repos"...
Ah, comme il fait beau, comme l’air est pur !
Allongée dans les herbes folles
Le soleil lumineux réchauffe mes gerçures
Un extrait de printemps furtif et miraculé
Nous offre la plus belle des hautes écoles
Celle de la vie et de la nature éclose
Le ciel est d’un bleu incroyablement éblouissant
Et la Belle verte caracole, cabriole furtivement.
Le vent a finit par s’endormir après avoir tant soufflé !
Il laisse place à un silence inachevé
Entre Vivaldi et le chant des oiseaux
C’est sûr il serait de trop !
Sise dans les herbes sauvages
La simplicité au creux des mains
Une fleur blanche et solitaire m’encourage
A contempler le moindre détail
Les couleurs du temps forment alors un éventail
De splendeurs et de décors sans âge
Et les journées passent si promptement
Que le futur est presque sans intéressement
Fermer les yeux et se laisser aller
Au doux partage des dons avérés.
Entourant nos vies qui en dépendent,
Tout n'est qu'à prendre, rien n’est abscons.
Il fait beau, ça sent bon,
Tel un jour de « leçon»
Tel un jour parmi les quatre saisons
Voilà mon InVitation!
« Le paradis est intérieur à l’âme. » André Chastel
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Si Dieu n'existe pas, quel est l'Artiste qui a peint tout ça?
Dieu est le plus grand de tous les Peintres, il fit de la Terre l'immensité de sa toile.
Jour de splendeur monumentale
Où la nature décline ses plus beaux chants
Et devient alors un magique récital au lyrisme étincelant
La Grande musique n'enf finit pas
Elle va crescendo sur les chemins de joie
Et fait de la vie et du temps
Des bouquets de notes par ses ombres portées
Jusqu'au seuil de nos portes, voici le don d'ubiquité
Des champs lyriques obstinément
Douce folie où l'on oublie ses tourments
Douce folie où l'on sent le Très-Haut
Planer au-dessus de nous
Planer au-dessus de tout
Chaque jour est une fête
Chaque jour que Dieu nous prête
Est une fontaine de jouvence
D'eaux sacrées et de jets d'espérance
Chaque jour que le Tout-Puissant nous prête
Ouvrir grand les yeux et entrer dans la Danse.