Art - Page 18
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ART-TISTIQUE :
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Le Noir et Blanc....Sublimation du réel.
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Gustave Klimt -1862-1918- Art contemporain :
"L'Amour" 1895Restreindre l’artiste est un crime. C’est assassiner la vie en germe. Egon Schiele -
Adolph-William Bouguereau -1825-1905- Peintre français académique, inspiré par Ingres :
"La danse" 1856 -
Karl Friedrich Schinkel -1781-1841- Peintre et Architecte prussien
"La reine de la nuit" 1815 -
Gustave Klimt -1862-1918-
"L'attente" 1909 (détail) -
Emile-Antoine Bourdelle -1861-1929-
"L'épopée polonaise" 1909 -
Gustave Moreau -1826-1898- Arts plastiques :
"L'apparition" 1876"Être moderne ne consiste pas à chercher quelque chose en dehors de ce qui a été fait".
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Anaïs Nin -1903-1977 Femme de lettre américaine :
"L'amour est le seul sentiment qui nous libère par l'étreinte."
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Luca Giordano -1634-1705- Peinture baroque :
"La création de l'homme" 1684-1686Fresque du Palazzo Medici Riccardi"Qui a su aimer la terre a aimé l'éternité" Stefan Zeromski -
Simon Vouet -1590-1649-Les années italiennes :
Vénus endormie 1630-1640 -
Serge Gainsbourg : 1928-1991...
Statue de François Xavier Lalanne"Il y a eu de l'orage dans l'air, maintenant il y a e l'horreur dans l'âge" -
Gustave Klimt 1862-1918, Peintre symboliste autrichien :
"La jeune fille" 1913"Tout l'art est érotique" Klimt -
Frederic Edwin Church 1826-1900 :
"Twilight wildeness" -
ECLATS DE TOI
Des éclats de toi se fondent dans des larmes de joie
L’art et la matière, ce que tu sais faire de mieux
Dans L’or et la manière, tu t’inspires dans le fond de mes yeux
Que tes jeux pernicieux revêtissent mon âme bleue camaïeu
A chaque battement docile
De deux cœurs en exil
Nos vies se déshabillent, se mettent à nue
Aussi élevés qu’un pied d’estal
A l’article de l’amour, toujours
Poursuivant des contre- allées
Pour te retrouver enfin sur d’autres contrées
Toujours à l’article de l’amour
Préférant les détours aux lignes déjà tracées
Toi, comme seul recours
Moi, comme seul amour
Quel est cette ombre sur mes jours défiant toutes lois obsolètes
Attendre juste un geste de toi, perdu dans ma mémoire refusant la défaite
Car je sais que l’Amour fusionnel est éternellement à la fête
Et le temps ne suffira pas à l’oubli
Rampant sur mes écrits, je sais qui je suis.