paris
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Pas de mots...
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"Le Visionnaire" 1904 Serafino Macchiati
Exposition au musée d'Orsay sur" L''Ange du bizarre" ( jusqu'au 9 juin)
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Exposition Chagall
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Un nouveau regard porté sur la Peinture religieuse ...
"Sensualité et spiritualité, à la recherche de l'Absolu"
Musée Jean-Jacques Henner du 16 nov 2012 au 17 juin 2013
Jean-Jacques Henner 1829-1905
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Exposition Grand Palais Edward Hopper du 10-10 au 28-01-13
"New York Restaurant" 1922
Peintre réaliste Newyorkais 1882-1967
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Musée d'Orsay "L'impressionnisme et la mode" du 25-9 au 20-1-13
"Le Balcon" 1868-1869 Edouard Manet
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Sainte-Geneviève...
Sainte-Geneviève, est la Sainte Patronne de Paris. Ami de Watteau, Charles Dominique-Joseph Eisen, était un peintre graveur et dessinateur, né en 1720 et mort en 1778.
Une houlette à la main, (baton de bergers), elle n'était pourtant pas bergère, et semble lire un livre probablement La Bible. Elle apparaît ici, avec La Seine en arrière plan. On peut prétendre apercevoir Notre-Dame et La Bastille. Les moutons, au premier plan, et la Nature tiennent une place prépondérante sur la Toile. Le ciel est représenté de manière tourmentée, et très nuancé. Je n'ai pas la date à laquelle fut réalisée cette Peinture.
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Auguste Rodin ou la sensualité au bout des doigts :
"L'Eternelle Idole" achevé en 1889. Musée Rodin, Paris.
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La guerre de Troie...Homère :
Les Grecs se rendirent à Troie pour l'enlèvement d'Hélène... -
L'élégance par Malcolm mac Laren et Catherine Deneuve :
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Robert Doisneau -1912-1994-
"Distorsion d'optique" 1965 -
La Bête et les Parasites, Philippe Sollers, "Les Voyageurs du Temps" :
A propos de « Le Sujet » (Les Voyageurs du temps)
La Bête et les Parasites symbolisent le Sujet du livre, et distinguent les personnages Vrais , des Faux. Cela nous concernant tous, entretemps, pour oublier les Parasites, lire « Les Voyageurs du Temps » est un véritable enchantement pour ceux qui aiment aimer l’Art, dans toutes ses contenances. Les oubliés sont plus vivants que jamais, ils jalonnent la balade subtile dans un Paris archi-textural, entre mots et merveilles, entre vie et mort. On distingue dans ce livre la pauvreté du sens artistique actuel, et, Ph.Sollers parvient à balayer la catatonie ambiante, où les vivants sont plus morts que leurs ancêtres philosophes, peintres ou poètes, qui sont les seuls, à posséder l’Eternité. « Les grands hommes ne meurent jamais », dit Sollers. Il nous rappelle à l’Ordre, voilà, ce que Philippe Sollers tente de faire dans cet ouvrage : Viva la poésie, la beauté d’une rose éclose depuis si longtemps, sans que nous n'ayons pu la voir ni humer ses délicieuses senteurs, égarés dans les méandres épineuses et vaines de la bêtise environnante et délétère…