Le bonheur est à ceux qui se suffisent à eux-mêmes.
Aristote
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Le bonheur est à ceux qui se suffisent à eux-mêmes.
Aristote
"¨Pour éteindre un feu de pailles, quelques larmes feront l'affaire!"
Peintre français du XIX eme siecle, natif de la Rochelle. 1825-1905
Je m’étais promis de ne jamais aimer qu’un homme à la fois
mais la vie me joue des tours et te voilà
Le verbe Aimer est devenu un rébus
et me voici le cœur nu
écoute ces mots tels qu’ils arrivent jusqu’à moi
écoute ces mots comme un sortilège
chanter mon cœur qui se noie dans ton cortège
sans artifice et sans piège
Dans les abysses de l’émoi
Je me balance au bout de ta musique
je suis l’ombre portée de tes notes électriques
J’envoie au ciel mes sentiments
Ils me collent au corps depuis si longtemps
Qu’ils retombent en scintillant
comme une pluie de diamants, dangereusement !
Avant que l’on s’enlace
avant que l’on se lasse
Laisse-moi juste une place
Un espace, une trace, quelque chose d’indélébile
De ton antre fertile
Je me balance au rythme de tes compositions
Je suis l’autre côté du miroir, loin des conventions
j’entends le son de ta voix
rien qu’un peu de toi
Chanter ces mots que je t’ai donnés comme une prière
Alors laisse leur le choix et parle moi d’éternité éphémère
Écoute pousser mes pleurs, juste le temps d’arroser mon cœur (de jardinière.)