Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Sacha Guitry :

    "Si ceux qui disent du mal de moi savaient  exactement ce que je pense d'eux, ils en diraient bien d'avantage"

  • William Blake :

    "LA CULTURE TRACE DES CHEMINS DROITS; MAIS LES CHEMINS TORTUEUX SANS PROFIT SONT CEUX-LA MEMES DU GENIE".

  • Ta fumée, Gitane

    Est une fausse brune qui se farde de blondeurs exquises

    De sentiments qui s’attardent et te méprisent

    Sur les chemins torturés non signalés

    Où tu te pâmes jusqu’ à l’extase

    Ta fumée gitane

    De ton esprit rebelle et parfumé

    A des senteurs musquées qui embrasent

    Tes petits matins aux couleurs

    De drames sertis de satin

    Où tu vois  approcher la peur

    Tout doucement,  te tendre  la main

    Satan  fait son malin

    Ya pas d’erreur, Lucifer n’est pas un Saint

    L’envers de son je démasqué

    Est l’univers de ton moi en panne

    L’endroit de ton acte manqué qui te réclame

    Ta fumée gitane

    S’envoi  en l’air et tu planes

    Un  arôme  de plus qui enflamme

    Les ailes noires du désespoir

    D’une ex idole qui chante encore plus fort  dans le noir

    Le rideau est tiré  et le sort qui t’accable

    Joue à la roulette russe des illusions palpables

    Dans tes longues soirées indésirables

    Ta fumée gitane  te réclame et te consume

    Comme le  brouillard un soir de pleine lune

    Qui s’installe et enfume

    Ton visage qui se noie dans  la brume.

    Ta fumée gitane

    Est une vraie blonde famélique

    Aux  formes oblongues  et magiques

     À l’ombre de ton âme sans plus de flamme

    Les sanglots abondent et te désarment

    Car au fond de ses paroles vaines

    Tes mots endorment toute la peine

    Qui coule encore dans tes veines.

  • Jim Morrisson :

    02b5001e9b94f30c8f6eb6833447cbae.jpg"Quand les portes de la perception seront nettoyées, les choses apparaîtront comme elles le sont vraiment".

  • Amoureux d'elle

    Sa peau respire le vent du  large

    Celui qui balaie tout sur mon passage

    Et ses cheveux blonds  dans mon sillage

    Forment les sillons de mon disque sans âge

    Si je la connais par cœur

    C’est que j’ai pris un risque

    Celui  de pénétrer  son corps

    Quand je lui ai caressé le dos

    Elle m’a remis le La  en cadeau

    J’en ai fait une chanson à sensation

    Elle et moi à l’unisson

    R- Sa voix grave n’a rien de grave

    Je suis le volcan, elle est la lave

    Le mystère  de l’amour fou qui résonne

    De Nanterre à Lisbonne

    C’est un écho lointain qui me foule

    C’est  pour ça que je l’aime  loin des  foules

    Sa démesure et ses excès à toute allure

    Sont des messages instantanés sans demi  mesure

    Sorte de cage dorée d’où elle décode

    Les notes qui  me désaccordent

    Elle me garde bien au chaud

    Le rythme dans sa peau.

    Son souffle dans mon cou

    N’est pas fait pour vous

    Amoureux  d’elle je le suis même au bord du vide

    Et mon âme n’est plus avide, même si parfois je dérive

    Elle jette sur mon moi,  tous les feux qui  désarment

    Et m’attend sur l’autre rive, mon eau vive

    Je garde son brasier en flamme et de grâce

    Ne touchez pas à notre espace

    Elle est le feu, je suis la glace

    J’ai trouvé enfin ma place.

    Amoureux d’elle comme un viol à tire d’elle

    Je reste dans ses ailes et m’envole

    Car  je n’aime qu’elle,

    Sans refrain ni  couplet

    Ma chanson est confidentielle

    Je ne vis que pour elle, mon essentielle

    J’ai posé ma bouche sur ses lèvres

    Et depuis  la fièvre ne connait pas de trêve

     Dès que je  touche à mon rêve.

  • Une de plus...

    L'amour tue l'intelligence. Le cerveau fait sablier avec le cœur. L'un ne se remplit que pour vider l'autre.
    Renard (Jules)

  • Ma vérité :

    "Ne jamais avoir à choisir pour ne rien sacrifier"

  • Ma citation pour 2008

    « Le plus grand don que Dieu, dans sa largesse, fit en créant, le plus conforme à sa bonté, celui auquel il accorde le plus de prix, fut la liberté de la volonté. »

  • Un jour

    41232f1de3202f0121d87d6fe0edb0e2.jpgUn jour,  je repartirai

    Pour ne pas sombrer ni, cesser d’exister

    Libérée de toutes contraintes

    Pour ne pas cesser d’être

    Je m’en irai, poursuivre ma complainte

    Et  éviter l’ennui d’un sud qui pourrit

    Pendant que la bêtise humaine, florissante, continuera sa survie ensoleillée et sans éclaircie

    Je  poursuivrai mon délit d’initiales

    Et  mon cœur se refera la malle

    Alors adieu les idiots du village

    Où les chasseurs font rage

    Je quitterai mes attaches

    Et les juges me traiteront de lâche.