Un jour, je repartirai
Pour ne pas sombrer ni, cesser d’exister
Libérée de toutes contraintes
Pour ne pas cesser d’être
Je m’en irai, poursuivre ma complainte
Et éviter l’ennui d’un sud qui pourrit
Pendant que la bêtise humaine, florissante, continuera sa survie ensoleillée et sans éclaircie
Je poursuivrai mon délit d’initiales
Et mon cœur se refera la malle
Alors adieu les idiots du village
Où les chasseurs font rage
Je quitterai mes attaches
Et les juges me traiteront de lâche.