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politique

  • Nuit et jour... Mes nourritures célestes et terrestres.

    Une heure du matin, des trombes d'eaux sur le toit soudain m'arrachent à mon sommeil. Il pleut averse, enfin un semblant de déluge. Depuis ces derniers jours, on pouvait sentir l'aridité d'une terre jaunissante par un soleil inaugural et intense. L'herbe mouillée donnerait plus tard, le foin nécessaire aux animaux. Il fallait qu'il pleuve beaucoup. Le tonnerre grondait tel un animal féroce. Impressions belliqueuses. Bruits terrifiants. Vents forts et pluies ravageuses… Quelque chose semblait être sur le point d'exploser, puis sentiment de réconfort d'être à l'abri. Je pensai alors à ces moments de guerre pendant lesquels nos grands-parents meurtris par la terreur devaient se terrer. J’esquissai dans ma tête ce que pouvait ressentir tous ceux qui n’avaient pas choisi d’être sous les bombes, à chaque canonnage, quelle devait être leur peur. Indescriptible. Oui, les éclairs et ses bruits de fureur me laissaient imaginer cet espace dans le temps, cet abominable interstice qui dû laisser bien des séquelles. Tout raser pour tout reconstruire, que de temps perdu que la folie des hommes. Je cherchais dans mon tréfonds le pourquoi de tels actes. Un élément bien précis me chagrinait, comment des hommes pouvaient-ils obéir à la volonté de quelques diktats ? Cela me laisse perplexe quant à la question de l’âme humaine. A ce sujet, Oscar Wilde disait que « Quiconque a étudié l’Histoire sait que la désobéissance est la vertu première de l’homme, et que c’est par celle-ci et la rébellion qu’il a progressé ». Je vous laisse apprécier… Les abolitionnistes, eux seuls peuvent nous être d’un grand secours. Ne soyons plus des moutons, et mettons en mouvement et en pratique nos souvenirs à ce propos. Il est essentiel que tout cette Histoire serve à nous faire avancer. Ne plus se complaire mais aller vers une véritable subversion. Facile à dire, mais, si complexes sont ces colossales croyances.

     

    A défaut de transition, je file droit vers la digression, me suivez-vous ?

     

    J'attendais et préparais le moment où je serais vraiment indestructible et heureuse. Je suivais, je le pense le bon chemin.

    Cherchant autour de moi  les plus beaux sites d'une région dont je commençais seulement à percevoir la typique réelle des lieux mystiques, les pierres séculaires, les arbres millénaires, les sentiers escarpés et ombragés, les rivières claires et torrents rugissants, et si je faisais preuve d'un incroyable courage, c’est que tout cela m'était encore partiellement inconnu, et que je débordasse de vitalité et de volonté, c’était pour m'unir au concave de cette nature et de ces paysages panoramiques qui s’offraient à mon horizon. Certes, il fallait parfois marcher des heures, bâton en main, crapahuter sac à dos, essoufflée mais heureuse. Je rapportais quelques belles images de ces endroits que je parcourais, parfois même dans une solitude aimable car choisie. Il me fallait fermer les yeux quelquefois, l'espace d'un instant afin de vérifier mon équilibre, apprendre à me repérer dans les bois, parmi des illustres sapins, chênes, épicéas ancestraux, tilleuls ou châtaigniers. Sans parler des rocailles, des éboulis dont je pouvais dévaler la pente selon l'inclinaison. Parfois je m'étendais sous un ormeau balançant ses branchages, pourvu de feuillages encore nouvellement nés. Je reprenais un souffle court, puis repartais de nouveau vers les cimes souvent inachevées. Mon corps engourdit reprenait vie tout au long des ces allées. J'avais la sensation de traverser les âges. Parfois, des phrases ou des mots, à la description précise résonnaient en moi, et j'aurais du casser la cadence de mes pas pour pouvoir noter ces bribes de vie. J'apprenais ainsi le repérage, la mémoire, retenir jusqu'à mon arrivée les points nodaux, prédicats de ces instants passés avec lesquels je fusionnais littéralement.

    Le langage de la nature s’approfondissait en moi, et tel un « Promeneur solitaire », je m’étourdissais d’air pur, d’herbes joyeuses, de senteurs de terre imbibée et musquées, de tout ce qui fait un ensemble des renfoncements encore méconnus de notre magnifique courant tellurique. Tout ce qui ne finira jamais de nous émerveiller pour peu que l’on s’y penche, cela est infini, visionner avec attention chaque parcelle du sol, et renaître comme dans un film à la vie sauvage et éternelle, pour nous sauver.     

  • Ce dont je suis sûre...

    Doucement, j’avance vers la Lumière, je m’agenouille en m’élevant. Je suis dans mon élément. Dieu est universel, Dieu est mort pour nous, alors, je veux vivre pour lui. Et je vivrai, dans la douce éclaircie sur laquelle je prosodie, prenant soin à chaque rendez-vous de laver mes tourments, de donner en partage mon écoute, et ma foi. Je bénis ceux qui souffrent, je prie pour ceux qui sont sur ma route et qui ont faim. Je n’ai pas besoin de toucher de mes yeux la misère humaine dans les rues, dont chaque jour les médias nous envahissent. Je ne la connais que trop bien, par la lecture des journaux, et les actualités redondantes.  Et puis après, que faire ? Se rendre encore plus pauvre que ce qu’on l’est ? Quelle serait la différence ? Le fait d’en parler est d’autant plus hypocrite puisque apparemment, personne n’aurait le pouvoir de changer les choses. Alors, je laisse aux dirigeants, aux instances "supérieures" ce pourquoi on les a élus. La seule manière d’aider les sans-abris est de nous délester de quelques biens? ( encore faut-il en posséder), être malade est devenu un luxe. Cela est scandaleux. Je n’en parlerai plus car je le redis, je trouve cela d’une hypocrisie sans faille. En 2012, nous régressons, et je trouve cela pitoyable.

    Pourquoi, les obsédés du prosélytisme, n'acceuillent -ils pas chez eux un mendiant, celui-là même dont ils parlent tant? Il faut arrêter de culpabiliser les couches sociales moyennes, je le dis sans passer par la case diplomatie. La facilité a ses limites. Assez de cinéma...

    "Moïse et le buisson ardent"

    pauvreté, malheur, milieu, caste, social, politique

                                                       Jaume Huguet 1415-1492

  • SVP, arrêtez cette tentative de mise à mort :

    Le FN et les partis en perte de vitesse, s’acharnent  tels des charognards sur Mr Frédéric Mitterrand, avec ignominie, cela va à l'encontre du respect d'autrui, MR le Président Sarkozy en subit les répercutions, c'est le discréditer sur son choix du Ministère de la Culture. Acharnement politico-médiatique sur un homme (chose rarissime de nos jours), qui ose se dévoiler dans un récit littéraire des plus subtils.

    Quelle hypocrisie nous jouent les bien-pensants, il serait temps de stopper l'hémorragie, qui, en fait n'est que le sang du peuple. Non, sincèrement, il y a BIEN mieux à faire, en cette période difficile, ne croyez-vous pas? "Faux témoin en justice?" Le cauchemar se mue en une gigantesque fumisterie de la part du FN (ça rime avec hyène,) perdu et sans avenir. OBAMA  en est-il pas la plus grande des preuves?

  • "Esprits libres" émission de Guillaume Durand

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    "Travailler plus, non pas pour gagner plus, mais travailler plus pour penser moins". Sollersd1db0a682236736a234996929e526545.jpg