L'album qui dépasse les frontières telle la bande originale d'un film pas encore sorti en salle
Une claque infinie résonne comme une symphonie
Biolay a pris les devants et il les garde
Cet album dont la musique vient de loin, des fins fonds de son âme Biolay ça désarme
Comme une braise qui jamais ne s'éteint Une source intarissable Un feu qui apaiserait de sa flamme les manques les plus tenaces au paradis des écorchés Biolay guérit les cœurs brisés
En écoutant les titres, les mélodies Nelson me reviennent et Biolay dégaine et tire à vue sans balle perdue
Les accords font s'envoler les mots qui déciment les arbres millénaires sur la plus haute branche Biolay s'épanche
Les chœurs se font l'écho d'un coeur qui vogue au vent mauvais Le vent est meilleur depuis peu
Il n'y a pas d'erreur Serge vous a bien passe le relais des immortels
De ceux qui dansent avec le ciel où les étoiles ne donnent que de bonnes nouvelles
Celles de ceux qui ne sauront jamais à quel point leur œuvre sont une caresse auditive et Biolay danse sur la plus belle rive La douceur de la brise sur la plus haute cime Biolay guérit de sa plume à titre posthume
Biolay la bouche en cœur
Le printemps est de rigueur.
PS: "Pas sommeil", Comme un film qui défilerait devant moi, Biolay c'est épidermique.