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Ivresse :

Il ne faudrait pas que tu me blesses

Ni que je m’affaiblisse

Si je pars sans laisser d’adresse

C’est pour que mon cœur se hisse

En haut,  tout en haut de mes faiblesses

Il y a ton corps comme une caresse

Une caresse d’où je glisse avec délice

Chercher le vice comme un réflexe

Des lettres en esses soudain se dressent

Fauchant  l’enfance et la réglisse

Des fragments d’abscisses s’y ’immiscent

Perdus dans mes éternels abysses

De sévices en faiblesses

Dans lequel se noie le supplice

Des amours complices jusqu’à la lie des caprices

Jusqu’à la lie du calice,  liesse de l’ivresse.

 

 

 

 

 

 

 

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