Quelquefois les images se suffisent à elles-mêmes
Il n’est point de nécessité à les intensifier
Leur vivacité est telle que les décrypter serait presque un blasphème
Laisser la poésie parler, la beauté déliée à une sincérité extrême
Les couleurs comme uniques présages
Enflamment ma vie et mes pages
Dont je me glorifie sans orgueil
Les cieux et rien qu’eux, leur bleu colorant mon recueil
Font de ma vie une éternelle éloquence
Font de mes jours un appel à l’espérance.