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Pour poursuivre ma route...

Le soleil comme un chapiteau

Recouvre la terre de ses oripeaux

Et dans la splendeur  printanière

Délivre le ciel de sa lourdeur d'hier

Pendant ce temps,

La munificence intellectuelle

Des âmes prolifiques qui s éveillent

Balade au hasard de quelques phrases   

Quelques alexandrins rhétoriques

Sonnets  litotes ou  pamphlets politiques

Quelques  figures de style se jouent des

Sermons bucoliques

Sur les pages noircies de versification

C’est la saison lourde de métaphores sans modification

Qui te lance un défi et déplore toute abréaction

Là où poussent des anaphores 

Là où l'on cueille les  métaphores

La vérité  vient d’éclore

Pour traverser les âges et dire encore

Dans un ciel aussi bleu que la mer se reflétant dans un ciel sans nuage

Ne voir que le mariage du firmament et de la terre

Et là une vision panoramique venant de naître

Incitera nos vers prosaïques inspirés par nos maîtres

A jaillir d’une fontaine de jouvence.

Après la peine s’en revient la quintessence

De nos cœurs lyriques.

Nos chants liturgiques récoltent après l’abstinence

L’écriture  éclectique de notre sort poétique, quelle éloquence !

Là, Dansons au rythme des saisons qui avancent

La valse vertigineuse des mots pourtant stoïques

 Là, des rimes langoureuses même si surannées

Résisteront à l'effet séculaire de la littérature et de sa liberté

L’apologie de la prose incendiaire des mots sans armure

La poésie est une drogue pure

La poésie est une drogue dure.

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